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Annaba: RUE LARBI TÉBESSI ET ALLÉES DU 17 OCTOBRE - Des eaux usées à ciel ouvert

Publié le 26/08/2014
« Où sont passés les responsables du service communal chargé de l’entretien et du nettoiement ? », se sont interrogés les passants empruntant aussi bien la rue Cheikh Larbi Tebessi (ex-Bouscarein) et les Allées du 17 octobre, deux principales artères situées en plein centre-ville où des eaux usées débordent à longueur de journée voire des mois. Tel est le relent d’égouts. Ces eaux usées qui traversent de part en part le trottoir en amont de la rue Cheikh Larbi Tébessi dégagent des odeurs nauséabondes qui parviennent jusqu’aux foyers des riverains. Ces derniers se plaignent du danger auquel est exposée leur santé et celle de leurs enfants. Quant aux piétons, au moment de leur passage par cette rue, ils sont contraints de boucher leur nez tellement que l’odeur est infecte et d’enjamber ces eaux usées couvertes de planches de fortune pour ne pas salir leurs souliers et leurs pantalons. Même scène au niveau des Allées du 17 octobre très fréquentées en raison de ses activités commerciales. Le trottoir de cette artère plus exactement au n° 11, les eaux usées coulent à flots et obligent les gens qui font le lèche-vitrine d’emprunter la chaussée tout en s’exposant au danger de la circulation automobile. A la question de savoir pourquoi, les responsables ne sont pas  intervenus pour réparer la canalisation, une résidente nous dira que le service communal aurait demandé la somme de 8 millions de centimes pour tous travaux entamés. « Une somme faramineuse », nous a-t-elle dit. Et de continuer : « En tant que locataires, nous n’avons pas les moyens financiers pour pouvoir régler les travaux de réparation ». Sur cette déclaration, le commun des mortels reste bouche bée  mais la santé du citoyen n’a pas de valeur. C’est pourquoi les responsables locaux devront prendre en charge ce problème pour éviter le problème de la connexion des eaux usées avec l’eau potable, vecteur des maladies infectieuses telles que les maladies à transmission hydrique, notamment en cette période de grandes chaleurs où les moustiques prolifèrent sur ces eaux stagnantes aux relents malsains.   

lestrepublicain - 26 août 2014 - Nejmedine Zéroug
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