Les rentrées scolaires passent et se ressemblent avec leurs sempiternels problèmes qui diffèrent d’une commune à une autre. Si certaines communes font face à la surcharge des salles de classe du fait qu’elles abritent une population rendue importante avec la création de nouvelles zones d’extension urbaine (ZEU), d’autres enregistrent, par contre, des difficultés dans le domaine du transport scolaire en raison de l’éloignement des établissements éducatifs des localités rurales éparses . Dans cette dernière catégorie de communes, l’on peut citer Chorfa dont les élus ont été contraints de faire appel aux transporteurs privés dans le but de couvrir les déplacements des élèves issus des zones rurales éloignées. Des conventions ont été signées dans ce cadre avec les transporteurs privés, permettant ainsi aux élèves concernés des perturbations dans leur scolarité. Les bus de transport scolaire dont dispose la commune de Chorfa, sont tous en panne, selon le PAPC, qui signale dans ce cadre qu’un appel à l’aide de la tutelle, a été lancé. Le problème de transport scolaire qui n’est pas spécifique à la commune de Chorfa, se pose, au début de chaque rentrée, alors que les pouvoirs publics et les élus ont suffisamment le temps nécessaire pour évaluer et renforcer le parc roulant destiné à la couverture de ce module. La commune de Chorfa, située au Sud Ouest à plus d’une trentaine de Annaba, compte pas moins de cinq zones éparses telles Labidi, Sellami et Ouled Attallah.
lestrepublicain - 16 septembre 2014 - Hocine Akli
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