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"Le CREPS sera géré par un cadre local "

Publié le 25/02/2019
"E.R 25 Février 2019  Annaba Le CREPS sera géré par un cadre local 400 milliards pour préparer l’élite de demain "« L’État Algérien a opté, dans le domaine sportif, pour l’’investissement sur l’être humain. Et c’est une première. Il a injecté, dans ce cadre, pas moins de 400 milliards de centimes pour préparer l’Élite nationale pour les jeux olympiques 2020 et les jeux méditerranéens 2021. » C’est ce qu’a révélé, avant-hier, le ministre de la jeunesse et des sports Mohamed Hattab, lors d’un point de presse animé, en marge de sa visite de travail et d’inspection d’une journée. Le représentant du gouvernement a souligné « qu’il est inconcevable d’abriter les jeux méditerranéens, sans voir des athlètes algériens sur le podium et l’emblème algérien. », précisant que c’est dans cet ordre d’’idée qu’un « accélérateur destiné à l’accompagnement financier pour la formation des champions de demain a été mis en branle. » S’adressant aux athlètes et responsables du secteur, l’orateur a dit que « Les jeunes athlètes algériens dans différentes disciplines sportives ont montré qu’ils sont des champions. La preuve sont les résultats obtenus dans les derniers jeux de la jeunesse africaine où plus de 270 médaillés, dont 70 en or, ont été raflés par nos sportifs. Ce sont là des faits de champions. S’ils ont réussi à obtenir des médailles sur le continent africain, ils peuvent le concrétiser également dans les jeux olympiques et méditerranéens. À l’exception de la formation et le travail qui demandent des moyens financiers, Il n’y a pas de différence entre un athlète d’outre-mer et un sportif algérien. Aujourd’hui les moyens existent (argent et centres de formation). Nous attendons en retour des résultats qualitatifs. Je sais que vous en êtes capables et vous devriez être optimistes. » Le ministre a annoncé qu’en 2019, on va réceptionner 4 grands complexes sportifs à Tizi-Ouzou, Beraki, Douira et Oran, chose qu’on n’a pas vue depuis les années 70. En plus, a-t-il ajouté, pas moins de 214 nouvelles infrastructures sportives ont été réceptionnées entre 2017 et 2018, ce qui donne un total de 7.396 infrastructures au profit des jeunes aux normes internationales et 1.116 milliards au projet du secteur. Ceci n’est pas rien, c’est le budget de leur pays. À Annaba ce sont 118 projets au profit du secteur de la jeunesse et des sports qui ont été réalisés ces dernières années. Aux responsables du secteur, le ministre a lancé qu’il « faut être fier d’être algérien. Car le pays, a-t-il souligné, occupe les 3 premières places en Afrique en matière de structures sportives après l’Afrique du Sud et le Nigeria. » 17 milliards pour équiper le CREPS Le ministre de la jeunesse et des sports, Mohamed Hattab, s’est montré amplement satisfait de la situation des infrastructures sportives en cours de réalisation à Annaba ou ayant fait l’objet d’importants travaux de réaménagement, réfection et restauration. Il a tenu d’ailleurs, lors d’un point de presse animé sur le site du centre régional de rééducation physique et sportive (CREPS) de Sériadi, à féliciter, les autorités locales, pour les efforts et le suivi au quotidien dont ont fait l’objet les fondements de la jeunesse. Le point fort de la visite du ministre de la jeunesse et des sports, reste incontestablement le CREPS de Séraïdi, une infrastructure pour la formation des sportifs de haut niveau, située en pleine forêt à quelque 800 mètres d’altitude sur les hauteurs d’Annaba et disposant d’une qualité climatique exceptionnelle. Celle-ci, a souligné Hattab, qui sera opérationnelle tout prochainement, a vu son budget d’équipement revu à la hausse. De 7 milliards de centimes, le montant global pour son équipement a été augmenté de 10 milliards de centimes, a indiqué le même responsable. Un cadre local de la jeunesse et des sports à la tête du CREPS Mohamed Hattab a, d’autre part, rassurer les responsables Annabis que la gestion du CREPS sera assuré par un cadre de la jeunesse et des sports. « C’est la décision que j’ai prise dernièrement en collaboration avec les autorités de la wilaya », a-t-il révélé, ajoutant que c’est dans le but de mieux gérer ce somptueux centre de préparation pour les équipes nationales des différentes disciplines, à la traîne depuis près de deux décennies. Il a cependant averti que « cette infrastructure a besoin de gens responsables pouvant adopter notre démarche consistant à rationaliser une gestion participative des infrastructures sportives au profit des jeunes. » Une fois opérationnelle, les équipes nationales de différentes disciplines n’auront plus le souci quant aux stages de préparation et éviter au pays de fortes sommes en devises, a-t-il ajouté. Le CREPS, implanté sur un terrain de 7 hectares, dont 3 bâtis, le reste a été aménagé en espaces verts et forêts, a vu l’injection des dizaines de milliards pour sa réhabilitation. Aujourd’hui, pratiquement tous les travaux tirent à leur fin, aussi bien des salles d’hébergement et les champs de jeux que les réfectoires, les auditoriums, la piscine olympique, les deux stades l’un gazonné et l’autre en tartan qui sont prêts ainsi que la salle omnisports. Ce qui laisse estimer que le site renouera certainement une fois équipé. Selon certaines indiscrétions, le projet de réhabilitation du CREPS a nécessité une enveloppe financière de plus d’environ 120 milliards de centimes. Une question qui ne cesse, par ailleurs, d’intriguer le milieu sportif local et qui reste sans réponse : où sont passés les importants budgets et les rallonges accordés il y a plus d’une décennie pour la réhabilitation du CREPS, et qui s’élèvent à plusieurs milliards ? Les dernières enveloppes évaluées à 500 millions de dinars et 136 milliards de centimes, remontent respectivement, à septembre 2013 et au mois de mars 2012, semblent avoir été détournés de leur destination initiale et que personne ne s’en inquiète. Un acquis à protéger À l’issue d’une tournée d’inspection, le ministre très impressionné par le CREPS, a invite tous les acteurs à le protéger. C’est un complexe sportif au sens propre du terme, l’un des rares existant au monde, avec un écosystème unique. « L’État a mis les moyens nécessaires pour le réhabiliter totalement et le mettre au service des sportifs, à vous maintenant d’assumer vos responsabilités et le protéger. » a-t-il lancé en direction des cadres du secteur. Le CREPS, une infrastructure pour la formation des sportifs de haut niveau, située en pleine forêt à quelque 800 mètres d’altitude sur les hauteurs d’Annaba et disposant d’une qualité climatique exceptionnelle, a été créée en 1964 par décret no : 64.198, soit plus d’un demi-siècle d’existence. Abandonné depuis des années et livré aux aléas du temps, ce centre, autrefois, haut lieu de la préparation des athlètes de niveau dans toutes les disciplines sportives et particulièrement des équipes nationales de football et d’athlétisme, semble avoir aujourd’hui retrouvé son âme. Il est doté de plusieurs structures et équipements sportifs destinés aux sports collectifs, deux terrains de football, dont un doté de gazon naturel, une piste d’athlétisme, un second plateau à l’air libre pour les sports-co et une splendide piscine couverte. D’autres structures viennent compléter le bâti qui en constitue le bloc administratif, entre-autres, 3 pavillons-dortoirs de 150 places, 3 salles de cours, la bibliothèque, l’amphithéâtre de 198 places. Dépendant initialement du ministère de la Jeunesse et des Sports, le CREPS de Séraïdi, avait été affecté, rappelle-t-on, au début des années 80 au ministère de l’Éducation nationale. Sa gestion par la direction de l’Éducation de la wilaya de Annaba n’aura abouti qu’à un échec, puisque ses équipements ont périclité par manque d’entretien et de laisser aller. La décision de le restituer à son propriétaire légal, le MJS n’a été prise qu’en mars 1999. Les travaux de réaménagement et de restauration pris en charge par le ministère, à travers le fonds national et lancés en 2001, n’ont pas été menés à terme. Depuis c’est la valse des budgets et des responsables… Plusieurs anciennes stars sportives Annabies honorées Une sympathique soirée dîner, animée par le maître incontesté de la musique « Malouf » de la ville d’Annaba, Hamdi Benani en l’occurrence, a regroupé la famille sportive de la wilaya, au complexe touristique « Sabri ». Au cours de cette soirée agréable, caractérisée par le charme exquis de la musique andalouse, a enchanté l’assistance, sous la baguette de celui que l’on surnomme «l’ange blanc», en raison de la couleur de son violon. Plusieurs stars Annabies notamment des anciens footballeurs et DJS, ont été honorées, à l’occasion par le ministère de la jeunesse et des sports Mohamed Hattab et le wali d’Annaba, Toufik Mezhoud. Ainsi, des cadeaux ont été offerts aux anciennes gloires du football Annabi à l’image d’Atoui Ali, Tadjet, Bouden, Ali Messaoud et Rabet, ainsi que des anciens DJS, entre-autres, Chebli Bachir, Cherkaski et Djouini". B. Salah-Eddine
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Les Commentaires

"Enfin, voilà une bonne nouvelle"

En présence des anciens gloires du football Annabi Ali Atoui, Tadjet (JBAC), Bouden (ASB)...'ensemble dans une soirée dîner animer par notre l'ange blanc du "Malouf" Hamdi Benani...formidable, formidable ça donne un peu de baume au cœur....nous sommes très heureux pour nos futur athlètes olympique.
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