Héritée de la période coloniale, la cité Didouche Mourad de Annaba avec ses 3000 habitants représentait, il y a quelques années, une agglomération d’habitations individuelles, collectives et semi-collectives où il faisait bon vivre. Son espace vert bien entretenu sur une grande partie du boulevard de l’Afrique lui donnait même un air de cité résidentielle. Cela n’a pas duré. La situation de dégradation a atteint un point tel que des citoyens ont réagi en constituant une association de quartier. Ils ont multiplié les opérations de nettoyage et interpelle les services de la commune pour des réparations de leurs compétences. C’est le cas récemment pour le réseau d’éclairage public qui a finalement été remis en service au grand soulagement des habitants. Mais attention à ce chantier de mise en place d’un réseau d’évacuation des eaux qui dure et qui pose un problème de sécurité aux enfants et personnes âgées.
El watan > 11/07/07 > R. A. I.
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