Relancer la machine économique
par El-Houari Dilmi
Rappelé par le président du Conseil de la nation Salah Goudjil lors de l'ouverture, lundi, de la session parlementaire ordinaire, 80% des 54 engagements portés dans le programme électoral du président Tebboune ont été réalisés sur le terrain, à un peu plus d'une année avant la fin de son mandat. Une bonne partie des analystes est d'avis que les fruits des efforts du président Tebboune sont aujourd'hui visibles sur le terrain de la réalité et traduits positivement dans la vie quotidienne des Algériens. Un effort colossal a, en effet, été consenti pour effacer les stigmates d'une gestion chaotique du pays pendant plus de deux décennies. Beaucoup reste cependant à faire. «Le moteur est trop puissant pour la carrosserie», selon cette belle métaphore employée par un ancien commis de l'Etat.
Autrement dit, le rythme soutenu imprimé par le chef de l'Etat pour faire changer les choses, et le plus rapidement possible, se heurte à des résistances de toute nature, puisqu'il est connu que tout changement fait peur. Fort de sa longue expérience en tant que serviteur de l'Etat ayant gravi tous les échelons jusqu'au sommet de l'Etat, le président Tebboune veut conduire le pays vers un avenir meilleur. Sans trop s'attarder sur la responsabilité des uns et des autres qui ont mal géré le pays jusqu'à l'emmener au fond du précipice, le président Tebboune a réussi à donner un nouveau visage à l'Algérie nouvelle, et renouvelée.
La méthode du chef de l'Etat qui a réussi, est justement celle d'avoir patiemment travaillé au renouvellement de l'ensemble de l'édifice institutionnel du pays, pour travailler sur un terrain déblayé et ouvrir le chemin devant des compétences longtemps marginalisées. Dire la vérité aux Algériens et leur donner périodiquement un état des lieux réel sur l'état du pays, est une autre stratégie qui a porté ses fruits. Sans flagornerie aucune, le président a montré et démontré qu'il est et reste un homme de parole. Son chantier politique terminé, il s'attelle, aujourd'hui, avec une hargne salutaire, à relancer la gigantesque machine économique. Et c'est là que se trouve justement le plus grand des défis.
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par El-Houari Dilmi
Rappelé par le président du Conseil de la nation Salah Goudjil lors de l'ouverture, lundi, de la session parlementaire ordinaire, 80% des 54 engagements portés dans le programme électoral du président Tebboune ont été réalisés sur le terrain, à un peu plus d'une année avant la fin de son mandat. Une bonne partie des analystes est d'avis que les fruits des efforts du président Tebboune sont aujourd'hui visibles sur le terrain de la réalité et traduits positivement dans la vie quotidienne des Algériens. Un effort colossal a, en effet, été consenti pour effacer les stigmates d'une gestion chaotique du pays pendant plus de deux décennies. Beaucoup reste cependant à faire. «Le moteur est trop puissant pour la carrosserie», selon cette belle métaphore employée par un ancien commis de l'Etat.
Autrement dit, le rythme soutenu imprimé par le chef de l'Etat pour faire changer les choses, et le plus rapidement possible, se heurte à des résistances de toute nature, puisqu'il est connu que tout changement fait peur. Fort de sa longue expérience en tant que serviteur de l'Etat ayant gravi tous les échelons jusqu'au sommet de l'Etat, le président Tebboune veut conduire le pays vers un avenir meilleur. Sans trop s'attarder sur la responsabilité des uns et des autres qui ont mal géré le pays jusqu'à l'emmener au fond du précipice, le président Tebboune a réussi à donner un nouveau visage à l'Algérie nouvelle, et renouvelée.
La méthode du chef de l'Etat qui a réussi, est justement celle d'avoir patiemment travaillé au renouvellement de l'ensemble de l'édifice institutionnel du pays, pour travailler sur un terrain déblayé et ouvrir le chemin devant des compétences longtemps marginalisées. Dire la vérité aux Algériens et leur donner périodiquement un état des lieux réel sur l'état du pays, est une autre stratégie qui a porté ses fruits. Sans flagornerie aucune, le président a montré et démontré qu'il est et reste un homme de parole. Son chantier politique terminé, il s'attelle, aujourd'hui, avec une hargne salutaire, à relancer la gigantesque machine économique. Et c'est là que se trouve justement le plus grand des défis.