Vol de tuyauterie en cuivre à Benaouda Benmostfa : Sonelgaz dépose plainte La Rédaction by La Rédaction 21 nov

Vol de tuyauterie en cuivre à Benaouda Benmostfa : Sonelgaz dépose plainte
La Rédaction by La Rédaction 21 novembre 2023in Annaba
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L’Unité de Sonelgaz de la wilaya a déposé plainte contre X suite à d’importants actes de vandalisme survenus au niveau du pôle urbain Benaouda Benmostfa (Draa Errich).


Ces actes de vandalisme concernent la tuyauterie d’alimentation en gaz au niveau des logements AADL du pôle urbain de Draa Errich. Deux immeubles, relevant des cités 1380 logements et 2000 logements AADL, ont été privés de gaz suite au vol du réseau en cuivre pour l’alimentation en gaz.

Cible privilégiée des voleurs, ces tuyaux sont vendus au prix fort sur le marché noir du fait de la valeur du cuivre. Malheureusement, cette pratique très répandue au niveau des nouveaux chantiers, coûte cher aux entreprises publiques. Mais, également aux citoyens qui voient les chantiers de leurs habitations être retardés en raison des réinstallations à reprendre par Sonelgaz, dans le cas échéant.

Il est à préciser que la Sonelgaz intervient sur les sites vandalisés dès la réception de la notification de détérioration de ses réseaux. En effet, par mesure de sécurité, il convient d’intervenir rapidement, des fuites de gaz ou des masses électriques pouvant causer de graves dégâts après leur trafic.

Draa Errich ne fait donc pas l’exception, puisque à l’instar des nouveaux sites urbains, les cités que compte cette circonscription sont quasiment toutes concernées par des actes de vandalismes. Vols d’équipements, branchements illicites, accidents lors de travaux de construction effectués par des opérateurs privés, sont autant de paramètres qui coutent cher à la Sonelgaz. Ces éléments poussent ladite direction à avoir recours à la justice. Les voleurs de ces équipements publics encourent de lourdes peines de prison s’ils venaient à être identifiés, étant donné la gravité de cet acte qui pourrait coûter la vie à plusieurs familles résidant au niveau des immeubles visés.

Ceux qui volent sont certainement sans travaille alors ils volent pour faire vivre leurs familles...

Le premier coupable c'est le président et son gouvernement? c'est à LUI DE CREER des emploies pour diminuer le chômage et les voles c'est la REALITE?.

Selon les dernières statistiques, le taux de chômage dans le pays a atteint un niveau record de 15,6 % en 2022, contre 11,4 % en 2021. Cette augmentation est due à un certain nombre de facteurs, notamment la pandémie de COVID-19 qui a frappé l'économie algérienne de plein fouet.17 avr. 2023

Quel est le taux de chômage en Algerie ?
Données
Années Valeurs Variations (%) **
2017 10,334 1.27
2018 10,416 0.871
2019 10,495 0.768
2020 12,248 1.6,7

Allocation Chômage Et Recrutements À Annaba : La Formation Professionnelle Porte Ses Fruits
EDITEUR - 16 MAI 2023
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Le programme de formation professionnelle destiné aux demandeurs d’emploi semble commencer à donner des résultats, comme en témoigne la formation de 62 personnes, ainsi que la mise à jour de leurs dossiers de demande d’emploi. Il s’agit ici de sessions de formation accélérée et de programmes spéciaux destinés aux demandeurs d’emploi de la wilaya d’Annaba, bénéficiaires de l’allocation chômage. Ces formations, stages et sessions d’apprentissage sont réalisés dans le cadre d’une convention signée entre la direction de la Formation professionnelle et la direction du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale, ainsi que leurs ministères respectifs. Depuis la mise en place de cette allocation d’aide financière aux demandeurs d’emploi en 2022, le nombre de bénéficiaires est passé de 12.000 au départ à plus de 30.000 en 2023, sur la base des personnes inscrites à l’Agence Nationale de l’Emploi (ANEM). Les personnes éligibles à cette pension doivent impérativement être âgées de moins de quarante ans. Parmi les 30.000 bénéficiaires, dès les premiers jours de dépôt de dossiers, la direction de l’Emploi a enregistré un nombre important de demandeurs d’emploi sans formation ni diplôme, ce qui complique les démarches de recrutement aux agences. C’est pourquoi les ministères de la Formation professionnelle ainsi que du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale ont décidé d’intégrer des sessions de formation professionnelle comme condition d’attribution de l’allocation chômage, depuis octobre 2022, uniquement pour les demandeurs d’emploi sans diplôme. Si un bénéficiaire sélectionné refuse de suivre une formation ou l’abandonne en cours de session, il sera automatiquement radié de la liste des bénéficiaires de l’allocation. L’annexe l’ANEM à Annaba a d’ailleurs retiré, en début d’année, 220 personnes de la liste des bénéficiaires de l’allocation chômage en raison de leur refus de suivre une formation professionnelle. Cependant, 62 demandeurs d’emploi ont terminé avec succès leur cursus de formation, obtenant ainsi des diplômes qui leur ouvriront des opportunités de recrutement. Par ailleurs, lors de sa récente visite de travail à Annaba, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale, Fayçal Bentaleb, a annoncé une augmentation de 14 % des offres d’emploi au cours du premier trimestre de 2023, avec l’enregistrement de 137.600 offres d’emploi et 96.750 recrutements depuis le début de l’année. En 2022, l’Algérie comptait plus de 1.700.000 demandeurs d’emploi, dont près de 1.080.000 bénéficiaires de l’allocation chômage.

Soufiane Sadouki

Cadre De Vie Dans Les Quartiers Populaires D’Annaba : Les Citoyens Laminés Par Mille Et Un Problèmes
EDITEUR - 13 AOÛT 2023
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Les quartiers Auzas, Lauriers roses, M’Haffeur, Jebette Lihoud, Bormette El Gaz, la Colonne et Pont blanc, datant de l’époque coloniale, sont connus pour les conditions de vie très précaires dans lesquelles leurs habitants vivotent. « Je vis ici, dans cette cité où je suis né. Aujourd’hui, je suis marié et père de six enfants. Mon épouse, mes enfants et moi, nous continuons à utiliser les toilettes communes, tout comme mes voisins. Lorsque nous avons envie de prendre une douche pendant les périodes froides, nous faisons chauffer de l’eau et fermons la pièce où nous dormons avant de le faire. Sinon, nous allons au hammam ou au bain-douche. Vous vous rendez compte qu’en 2023, nous continuons à endurer des conditions de vie difficiles. Quel sera le sort de mes enfants dans quelques années ? C’est la question à laquelle je ne trouve pas de réponse », a expliqué un habitant de la cité Auzas. Ces quartiers populaires et populeux, où les conditions de vie les plus élémentaires sont presque inexistantes, doivent être démolis pour être remplacés par des constructions modernes destinées à un usage résidentiel et administratif, estiment certains citoyens. « Cette situation doit constituer la priorité des priorités pour les autorités locales. Nous sommes confrontés à de multiples problèmes tels que les inondations, l’infiltration des eaux pluviales, l’exiguïté et la promiscuité, qui nous rendent nerveux et vulnérables. Il faut qu’elles nous attribuent des logements décents où nous pourrons mener une vie, voire la vraie vie telle que nous la désirons », dira un autre résident du quartier la Colonne. Effectivement, les conditions de vie dans ces quartiers, qui souffrent également d’un manque d’infrastructures de base, laissent à désirer. Les riverains, végétant dans des logements dépourvus de commodités pour la majorité d’entre eux, ne savent pas où donner de la tête, et la plupart de leurs enfants a payé un lourd tribut : l’échec scolaire. Pour rappel, une délégation d’hommes d’affaires d’un pays du Golfe s’est rendue dans le quartier Bormet El Gaz au début des années 2000. Elle s’était intéressée aux conditions de vie des habitants de ce vaste quartier populaire et avait exprimé l’intention d’acheter cette cité. Elle comptait évacuer les résidents de cette dernière et les reloger dans des habitations dignes de ce nom, afin de transformer ce quartier en une cité résidentielle moderne comprenant des logements, des bureaux, un supermarché, des locaux commerciaux, des cinémas et des théâtres entre autres. Cependant, depuis lors, cette délégation n’a plus donné signe de vie. Il est possible qu’un problème bureaucratique l’ait dissuadée de poursuivre ses démarches dans notre pays. Il faut dire que les autorités locales doivent dès à présent envisager de faire de ces cités et quartiers qui contribuent à la renommée de la ville des jujubes des zones à vocation résidentielle et administrative, où la modernité rime avec l’authenticité.

Nejmedine Zéroug

CHACUN se débrouille comme il peut?...le premier ministre, les ministres, wali le maire les élus font ils vraiment ce qu'il faut?????????????????????????