Aujourd’hui, c’est au tour des établissements scolaires des communes enclavées de Oued El Aneb, Tréat et Chetaïbi de faire l’objet de l’intéressement des autorités locales. Une visite de travail et d’inspection bien à propos dans des structures gérées par une direction totalement fermée sur l’extérieur. Si pour les parents d’élèves parler au premier responsable de ce secteur relève d’une utopie, les enseignants n’ont même pas le droit d’y penser.
En effet, alors que la chienlit s’installe dans la majorité des CEM et lycées où la drogue, les psychotropes et les armes blanches sont de plus en plus apparents, que des établissements du palier élémentaire sont dépourvus du nécessaire en commodités, au niveau de la direction de l’éducation de la wilaya, on préfère jouer à l’autruche.
Pas de commentaires, soyez le premier à commenter cette brève !