Composer le 19 pour avoir un renseignement ou le numéro d’une telle ou telle administration relève de la galère à Annaba. Jour de semaine ou week-end, les préposés à ce poste sont constamment absents, au point où l’on s’interroge si ce numéro existe réellement. Les plus chanceux, une fois sur mille, pourraient tomber sur une voix féminine, mais combien désagréable, qui vous demandera sèchement et brusquement ce que vous voulez. Si vous hésitez deux secondes, elle vous raccrochera au nez. A la poste de Annaba, ce service public s’est transformé en un service dépendant de l’humeur de celles, dont le salaire est pourtant assuré par le contribuable. Les solliciter un jeudi ou un vendredi pour une quelconque information relève de l’utopie, ces personnes, préposées au 19, sont toujours aux abonnés absents.
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