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Annaba. Université Badji Mokhtar:Infrastructure en développement

Publié le 18/12/2007

L’université Badji Mokhtar ne cesse de développer son infrastructure pour faire face à l’accroissement des effectifs à la faveur de l’accueil, chaque année, d’un nombre considérable de nouveaux bacheliers.

Les structures pédagogiques, comme les résidences universitaires, poussent à un rythme appréciable sur les sites de Sidi Amar, Sidi Achour ou encore sur celui du nouveau pôle d’El Bouni, qui est en phase de construction de sa deuxième tranche. Les différents projets en cours ne manqueront pas de propulser Annaba à une ville universitaire digne de ce nom. Le campus d’El Bouni, véritable joyau architectural, mais encore sous-équipé, comme c’est le cas pour les laboratoires de langues, non encore fonctionnels et ouverts à la dernière rentrée, drainera prochainement les étudiants de la faculté de médecine et ceux des sciences juridiques. Pas moins de 1 000 places pédagogiques sont en cours de construction pour desserrer un peu l’étau sur le site abritant actuellement la faculté de médecine, trop exiguë pour pouvoir répondre à la demande et faire face au flux prévisionnel des étudiants issus des différentes wilayas avoisinantes et même de celles lointaines, dans le cadre de la solidarité interuniversités. Il faut dire que le développement tous azimuts de l’infrastructure est localement entouré de tout l’intérêt requis. Aussi, les services en charge de la réalisation, en l’occurrence la direction du logement et des équipements publics, assurent-ils un suivi permanent aux différents projets qui relèvent de la pédagogie, de l’hébergement ou de la restauration, dans la perspective de voir ces projets livrés dans les délais impartis aux opérateurs, ou du moins maintenir la cadence pour contourner d’éventuels retards. La dernière visite du wali, Brahim Bengayou, effectuée dimanche dernier sur les différents sites de construction, s’inscrit dans cette volonté d’être au rendez-vous fixé par les cahiers des charges. Il en ressort que les travaux sont exécutés à un rythme jugé satisfaisant, et si la cadence venait à être maintenue, les projets seraient réalisés dans des délais acceptables, eu égard aux spécificités que présente l’assiette foncière. Des travaux additifs de confortement ont, quelque peu, contrarié les opérateurs dans l’avancement des projets. Il en est ainsi pour les 4 000 places pédagogiques de la faculté des sciences juridiques, où un retard de quelque quatre mois est accusé par l’entreprise tunisienne qui a décroché le marché. Ce projet, comme celui portant sur la réalisation de 1 000 places pédagogiques au bénéfice de la faculté de médecine qui ont été lancés en février dernier, et selon les prévisions, devra aboutir en juin 2008. Pour rattraper les retards, B. Bengayou a demandé aux opérateurs de renforcer la main-d’œuvre et de mettre en place l’organisation d’un travail à même de permettre la livraison de l’infrastructure dans les délais, pour que celle-ci soit opérationnelle à la prochaine rentrée universitaire. Le wali aura mis en garde les entreprises concernées, qu’en cas de défaillance, les clauses y afférentes dans les cahiers des charges seront appliquées.

El Watan > 18/12/07 > Arezki Saouli

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