Il y a comme un mouvement d’impatience et de ras-le-bol qui gagne les nouveaux candidats au prétoire.
Depuis 3 ans qu’ils attendent leur agrément en provenance de la Cour suprême, les 200 jeunes avocats inscrits au barreau de Annaba n’en finissent pas de prendre leur mal en patience depuis 1994. Ils ne comprennent rien à cette situation que bon nombre d’entre eux imputent à la bureaucratie, d’autant que la durée d’exercice de 10 années, nécessaire pour l’obtention de cet agrément, est largement dépassée. « Vos agréments sont en instance de signature dans le bureau du ministre de la Justice et garde des Sceaux », leur répond-on à chaque fois que ces jeunes avocats tentent d’en savoir plus.
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