Les 220 logements Bélaïd Belgacem de Pont Blanc,communément appelés «cité militaire», ont frôlé la catastrophe jeudi, à la suite d’un glissement de terrain qui a fait dévaler la pente, à un rocher de dimension impressionnante, heureusement,sans qu’il ne touche aucune habitation. Malgré la catastrophe évitée par miracle,les résidents de cette cité vivent depuis, dans la hantise d’un autre glissement de terrain. Un problème touchantà cette cité et que les résidents n’ont cessé de dénoncer, notamment depuis le lancement d’un projet LSP dont le maître d’ouvrage est l’OPGI. En effet, le terrassement, selon les résidents ainsi que les précipitations du week-end pourraient être à l’origine du glissement de terrain. Quoi qu’il en soit, l’alerte sitôt donnée, jeudi, les éléments de la protection civile ont rapidement intervenu pour déplacer le bloc de pierre alors que les services de la Sonelgaz avaient, pour leur part, sécurisé la partie encore à nu d’une conduite de gaz. Encore un problème oublié malgré moult réclamations sachant que cette cité est habitée depuis 1988. Pour le présent, il s’agit de calmer les inquiétudes des habitants de la cité touchant au problème d’un sol instable qui risque à tout moment de céder avec toutes les conséquences dramatiques que l’on peut imaginer.
L'est républicain > 04/02/07 > BS
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