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Suite à une bavure médicale, 6 médecins auditionnés à Annaba

Publié le 04/05/2009

Pour négligence médicale, 6 médecins de l’hôpital Dorban du CHU d’Annaba et 2 autres médecins exerçant dans une clinique privée ont reçu une citation à comparaître et ont été entendus hier matin. Un ambulancier et un brancardier cités comme témoins ont, eux aussi, été auditionnés par le juge d’instruction du tribunal d’Annaba.

Après avoir été entendus et relâchés par un juge d’instruction, les médecins, le brancardier et l’ambulancier sont appelés à assister éventuellement à leur procès. Cette comparution fait suite à l’ouverture d’une enquête ordonnée par le procureur général présent sur les lieux du décès de N. K. âgé de 45 ans, souffrant d’une hépatite et mort subitement lors de sa triste évacuation pour une éventuelle prise en charge.
En effet, dans la matinée du 11 mars dernier à 6 heures, le défunt, pris de malaise, avait fait appel à une entreprise privée de transport médical ne soupçonnant guère le calvaire qu’il allait vivre. Il fut d’abord transporté à l’hôpital Ibn-Sina, mais faute de place, on l’évacua vers une clinique privée où les médecins lui ont délivré une lettre d’orientation vers le service d’hémodialyse du lieu initial c’est-à-dire l’hôpital Ibn-Sina. Son état de santé a nécessité une seconde orientation, cette fois-ci en direction de l’hôpital Dorban. Arrivé sur les lieux vers 10h30, le malade accompagné de son épouse est resté cloîtré dans l’ambulance sans être examiné par le professeur chef de service, absent ce jour-là, et auquel la lettre d’orientation était destinée. Deux heures après, le malheureux N. K. a rendu l’âme après une virée de 6h30 dans les différents centres hospitaliers relevant du CHU d’Annaba en quête d’une vaine prise en charge. Contactée par nos soins, l’association SAFA des insuffisants rénaux de la wilaya d’Annaba, par la voix de son président, s’est dit touchée, par ce malheureux événement. A la suite de quoi, elle a saisi par écrit la direction générale du CHU pour faire toute la lumière sur cette négligence médicale qui a coûté la vie à un citoyen faisant partie des 366 dialysés d’Annaba et de sa région.

Le jeune indépendant > 04/05/09 > A. Ighil

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Les Commentaires

"Qd ls ignares diplomes proliferent, la betise fleurit joyeusmnt" J-L DION

C curieux qd mm de savoir komnt c debarrasser de ttes c salo..ries et "Moussibettes" ki st tombees sr la Coquette???
Vs ns racontez ojrd'hui l'hyper Mega Grosse betise de ns medecins, c ca ya Mr A. Ighil??
C assez deprimant de voir komnt l'histoire a si p d'imagination, chz ls italiens c le retour du fascisme chz ls allemands du nazisme, chz ls francais du napoleonisme MAIS chz ns c l'avance dans le bouhalisme, le tmerdisme, le tmanyekisme, le khbethisme et le kofrisme ... c-a-d tt court le Jahilisme de haines et de betises!... et ca ns protege ca??
Mais Mr le journaliste, on aimerait ossi connaitre la grosse betise de c Mr le Procureur de la Coquette jste k'on rigole 1 peu!... De t c'la, mieux vo en rire, mm si parfois, il y orait de koi pleurer.
Il faudrait aussi enqueter sur une mort à Annaba, d'un patient venu faire une analyse de la gorge et qui est resté sur la table, celui-ci est un ancien joueur de la JSMS de Skikda. Un comble ! venir pour une analyse sur ses 2 pieds pour analyse et revenir la seconde d'après les pieds devant dans une boite.
L'hôpital des derviches et du thazrich ! Un tablier blanc, une chemise décolletée laissant entrevoir une chaine de femme en or.. Et l'on appelle celui un Médecin hachakoum ! Ou sous le vocable péjoratif des infirmiers ; ya t'bib !!!
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