Les éléments des garde-côtes de la station maritime principale de Annaba ont intercepté et arrêtés, hier, vers 5h du matin, une embarcation artisanale dans laquelle ont pris place 21 jeunes candidats à l’émigration clandestine dont un mineur, apprend-on auprès de la Protection civile.
Agés de 16 à 35 ans, ces jeunes infortunés naviguaient à 6 miles nautiques au nord de Ras El Hamra. Ils ont été reconduits après une course poursuite, alors qu’ils tentaient de rejoindre les côtes de la rive européenne, notamment l’île de la Sardaigne. Ils sont tous venus de Annaba avec la ferme intention de fuir le pays. Il était 2h du matin, lorsqu’ils ont appareillé depuis Oued Bagrat, une plage déserte dans la commune de Séraïdi (Annaba), pour s’assurer de l’absence des gardes-côtes de Annaba.
Mais c’était sans compter sur la vigilance de ces derniers qui, depuis plusieurs mois, sont sur le qui-vive. A l’arrivée au port de Annaba, les malheureux harraga ont été pris en charge par le médecin de la Protection civile. Après les formalités d’usage, ils seront présentés aujourd’hui devant le procureur de la République du tribunal de Annaba.
Les Commentaires
Non, c ps bo El-Harga, c n'est + 1 plaie k'on panse et ki cesse de saigner, c'1 hemorragie ouverte dans ntre education, ntre communote, ns traditions.
L'Algerie, ntre riche pays est devenu cet ogre ou c monstre ki devore c enfants des k'il ls accouche. C enfants deviennent certainemnt ds condamnes de la misere, chomeurs, dealers, sarafas, vendeurs de l'informel, zafafas ou... terros ki st recherches & dont l'unike solution est de fuir lr sentence.
L'Algerie detruit c enfants et chake jour ki c leve, accroit lr desespoir et ls conduit a 1 mort certaine, lente et... atroce, car ok1 perspective d'1 vie digne ne lr est permise dans c bled maintnt, demain... et dans l'avenir le + lointain. N'e-c ps utopike, pretentieux et arrogant?
Le droit de manifester est un droit fondamental des pays démocratique, la manifestation est une réunion organisée sur la voie public dans le but d'exprimer une conviction collective, la manifestation constitue aussi un moyen de pression, néanmoins, les manifestations sont réglémentées, de façon a prévenir les troubles de l'ordre public, les organisateurs de la manifestation doivent au minimum trois jours avant l'évènement déposer un déclaration à la mairie ou à la préfecture indiquant le jour, l'heure et l'initéraire de la manifestation.