Le centre de formation professionnelle de Oued Kouba, implanté au chef-lieu de la wilaya, fait face à un déficit criard en équipements pédagogiques.
A en croire ses responsables, ce problème qui a été porté à la connaissance de la tutelle, est resté jusqu’à ce jour sans solution, pénalisant principalement les stagiaires de la section de formation dans l’art culinaire et la restauration collective. Les pavillons pédagogiques qui devraient être démolies puis reconstruits, représentent une menace à cause de leur vétusté.
Les Commentaires
QUE FONT NOS ÉLUS ?
Tu sais par exemple cher ami Mofannabi, que notre beau et joli port, pour ne citer qu'un exemple parmi d'autres, qui est l'une des fiertés de notre ville avait été construit en 12 années de 1889 à 1911. À l'époque avant les travaux, la mer avancait jusqu'à la falaise de la place d'armes côté sud. L'eau arrivait jusqu'aux pieds de passerelle actuelle. Et côté Ouest, il y avait un delta d'une rivière et des marécages, là où ce trouve aujourd'hui la gare etc...Les ingénieurs de l'époque ont bataillé pour gagner du terrain sur la mer en la repoussant à coup de remblais et de terre-pleins pour servire de base de constructions aux docks, aux hangars, aux grues etc...
Vous vous imaginez, cher ami la somme d'intelligences, de travails, et de volontés qu'il avait fallu pour réaliser une oeuvre pareille. Imaginez-vous également le travail titanesque des énormes blocs de pierres qu'on avait transporté et alligner pour former les quais et tout le reste. Il ne faut par oublier que nous sommes en 1889, les travaux ont été réalisé avec les moyens de l'époque qui n'ont rien à voir avec ce que nous connaissons aujourd'hui. Alors que nous, 101 années plus tard, nous avons toutes les peines du monde à seulement édifier, comme il se doit, une simple clinique de santé.
Tous comme ils le sont cherche la place pendant les compagnes électorales en s’engageant sur des projets de sociétés et de vie sans nous informer comment ils peuvent les mettre en place ces leurs projets.
1. Les budgets sont décidés en haut lieu , les maires n’ont rien à dire, ils doivent fermer leur gueule devant le waly.
2. Les élus n’ont aucune expérience dans le domaine de gestion d’une ville.
3. Les associations sont des concurrents et non une entité complémentaires au développement
4. Une ville ou la confiance ne règne pas est vouée à l’échec.
5. Certaines activités doivent être du ressort des associations , sans financement une association ne peut rien faire .
6. Tant que nos élus ne comprennent pas que le monde associatif et important pour le vie de la cité on passera à coté du développement économique et social. car , se sont en vérité les petites mains qui font bouger les choses.
Nous sommes incapable de faire vivre le seul centre de formation de cette ville. Nous sommes incapable de gérer un centre d’équitation à tel point que les chevaux sont mort de faim. Nous sommes incapable de gérer une circulation dans une agglomération.
Je vie entouré de centaines d’associations, franchement ils font du bien dans tous les domaines. les villes se dégagent des petits bouleaux et laissent le tissu associative générer des emplois d’insertion . financer les association , c’est aussi une manière , de palier au problèmes de l’emploi des jeunes sans qualification dans la Cité.