Les malades et tous ceux qui s’adressent aux services se plaignent de la mauvaise prise en charge, de l’attente et du manque de moyens. Y a-t-il un moyen de sauver de ce qui reste de ces services et réhabiliter les urgences dans leur vraie vocation, à savoir une prise en charge adéquate et à temps ? Les malades se plaignent d’être mal pris en charge. Les structures chargées de l’accueil des urgences sont insuffisantes et insalubres
L’impatience des malades qui veulent toujours être les «premiers servis» et l’agitation des uns et des autres ont fini par transformer ces urgences en une cocotte-minute en ébullition. Les actes de violence sont fréquents et le personnel médical en est toujours victime. C’est à l’intérieur que les mauvaises surprises vous attendent, à commencer par le personnel d’hygiène, dont la majorité porte un gilet bleu foncé comme les agents de sécurité, Dans les salles visitées censées être aseptisées où l’on reçoit les cas graves, il n’y a malheureusement ni propreté, ni clarté, ni confort. Les lits sont sales et mal faits, des appareils vétustes sont placés à côté de ces lits. Les sanitaires ou lieux pour effectuer des tests d’urine, sont repoussants de saleté. L’incurie et le laisser-aller au niveau des différents services ne cessent de nous rappeler que notre pays est bien un pays du Tiers Monde.
Seybousetimes - 24/06/2013 - BF
Les Commentaires
Nos dirigeants préfèrent un shératon hôtel de luxe pour dormir que de s'occuper d'un hôpital qui date de l'homme des cavernes parce que pour eux lorsque ils sont malades il n'y a pas le moindre souci!.
Dans la peine, ne demandez pas conseil à celui qui est heureux.
Qui peut répondre?.
Des eaux usées déversées sur les plages d'Annaba!...Les estivants, dont certains se baignaient encore alors que d'autres attablés consommaient des boissons, ont dû quitter les lieux indisposés par les odeurs nausées abondes qui se dégageaient...les baigneurs sortirent rapidement de l'eau et s'essuyèrent pour enfiler très vite leurs vêtements avant d'aller très vite en ville à la recherche de douches pour se débarrasser des saletés qui leurs collaient à la peau... (M.Rahmi).