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Annaba: ASSOCIATIONS CARITATIVES - Au secours des enfants diabétiques

Publié le 23/10/2013
Des enfants diabétiques sous insuline issus de familles pauvres continuent de souffrir le calvaire, a-t-on appris. Ils se comptent par centaines, voire par milliers selon des associations caritatives et de bienfaisance. Leur santé risque de s’aggraver et leurs parents désemparés, ne savent plus à quel saint se vouer. Ces associations ont maintes fois demandé de l’aide et de l’assistance aussi bien auprès de la DAS (Direction de l’Action Sociale) qu’auprès des autorités locales et sanitaires pour une réelle prise en charge médicale de ces enfants dont la plupart d’entre d’eux sont scolarisés. Le sort de ces chérubins malades est entre leurs mains car le diabète est une maladie grave, latente et imprévisible, qui nécessite de grands soins journaliers. « Chaque malade a besoin d’au moins trois injections par jour c’est-à-dire l’utilisation de trois seringues par jour, ce qui donne 90 seringues par mois pour la somme de 1800 DA », a-t-on encore appris. Cette même source nous révèle qu’en raison de la situation précaire de leurs parents, certains diabétiques utilisent jusqu’à 15 fois la même seringue. « Mon fils atteint de cette maladie dès l’âge de 3 ans n’utilise en tout et pout tout que 6 seringues par mois. A vrai dire, je ne suis pas en mesure de lui payer 90 seringues à raison de 20 DA l’unité », nous dira un père de famille qui n’arrive pas à boucler ses fins de mois. De plus, nombre de médicaments réservés aux enfants et nourrissons, dont ceux des diabétiques ne sont pas remboursables par la Sécurité sociale. « Comment feront-elle alors les familles démunies ayant des enfants malades ou qui tombent malades si elles ne se font pas remboursées par la Caisse ? », s’interroge-t-on. Par ailleurs, le commun des mortels se demande pourquoi les pouvoirs publics continuent de refuser le remboursement de ces médicaments et fait savoir à l’opinion publique que les parents pauvres font toujours abstraction sur ces produits médicamenteux au détriment de la santé de leurs enfants. En somme, les citoyens qui sont en mesure d’apporter leur aide et assistance aux enfants diabétiques en collectant des seringues, glucomètres, cotons, alcool, aiguilles-filtres à insuline, lancettes, etc. sont les bienvenus au niveau de ces associations.

L'EST - 23/10/2013 -
Nejmedine Zéroug
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Les Commentaires

Je pense que c’est très grave que l’état n’assure pas son rôle face en ce qui concerne la prise en charge des maladies chroniques comme le diabète etc. ces maladies doivent être prie en charge en totalité car les soins sont très coûteux pour le commun de mortel . et ce n’est pas avec un salaire qu’on perçoit en Algérie que les gens arriveront à s’occuper de leur santé. Les gens qui utilisent des seringues à soin unique plusieurs fois par jour. S’exposent à d’autres maladies comme les hépatites qui posent énormément des difficultés à toute la population.
Avec ses prises en charge partielles , l’état prend des risques et expose les familles aux contaminations .
Le bénévolat n’est pas la solution . On peux faire un geste un fois pour aider une personne qui est dans le besoin mais pas pour toujours. L’Algérie est un pays très riche . il peut assumer sa responsabilité. Quand on sait qu’un simple appariteur envoyer par d’Algérie dans ses différents consulats à travers le monde (pour une durée de 3 ans ) perçoit environ 5000 euros. On est en droit de se poser des questions sur la santé des algériens est sur la valeurs de l’être humains dans ce pays. L’avenir d’une nation est liée à la santé de son peuple. Si le peuple manque de moyens pour vivre comment le pays avancera dans ce cas.
Rectif :

Je pense que c’est très grave que l’état n’assure pas son rôle en ce qui concerne la prise en charge des maladies chroniques comme le diabète etc. ces maladies doivent être prie en charge en totalité car les soins sont très coûteux pour le commun de mortel . et ce n’est pas avec un salaire qu’on perçoit en Algérie que les gens arriveront à s’occuper de leur santé. Les gens qui utilisent des seringues à soin unique plusieurs fois par jour. S’exposent à d’autres maladies comme les hépatites qui posent énormément des difficultés à toute la population.
Avec ses prises en charge partielles , l’état prend des risques et expose les familles aux contaminations .
Le bénévolat n’est pas la solution . On peux faire un geste un fois pour aider une personne qui est dans le besoin mais pas pour toujours. L’Algérie est un pays très riche . il peut assumer sa responsabilité. Quand on sait qu’un simple appariteur envoyer par d’Algérie dans ses différents consulats à travers le monde (pour une durée de 3 ans ) perçoit environ 5000 euros. On est en droit de se poser des questions sur la santé des algériens et sur la valeurs accordée à l’être humains dans ce pays. L’avenir d’une nation est liée à la santé de son peuple. Si le peuple manque de moyens pour vivre comment le pays avancera .
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