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Annaba: Violence dans la rue - Les femmes, principales victimes

Publié le 23/12/2013

En dépit de la répression sévère des tribunaux contre la délinquance, les arrestations de voyous et autres malfrats qui écument les rues d’Annaba malgré la surcharge des prisons pleines à craquer, s’opèrent quotidiennement. La violence, ce phénomène social récurrent qui ne cesse de prendre de l’ampleur malgré les efforts déployés par les services de sécurité et les lois régissant ce fléau qui menace nos enfants et nos aînés essentiellement la gente féminine.

Dans ce sens, il y a lieu de mentionner la violence à proximité des établissements scolaires que les collégiens et lycéens subissent quotidiennement principalement à la sortie des écoles comme ce fut le cas de la lycéenne R.M.A qui a été victime d’une agression devant les portes du lycée ‘’Moubarek’’ où le malfrat lui a arraché le portable de la main et a pris la fuite. Une forme de violence que les spécialistes dénomment ‘’violence urbaine’’ qui doit être impérativement dénoncée car chacun a le droit de vivre en sécurité. Les actes de violence sont inacceptables et ne débouchent sur rien de constructif, ils doivent être pris au sérieux et il faut lutter contre eux. Les victimes de ces actes sont nombreuses et le constat de visu qu’on a pu faire atteste que les chiffres sont alarmants surtout pour les mineurs, les femmes et les personnes âgées. Pour cela, un grand nombre de parents dont les enfants ont été victimes de ces pratiques brutales demandent de remédier à ce problème. ‘’Intensifier les dispositifs de sécurité par la multiplication des patrouilles et les fouilles policières sur le périmètre des établissements scolaires’’, déclare un parent d’une collégienne victime d’agression. Autre forme de violence très prisée de nos jours et que le mode opératoire de l’auteur relève du harcèlement et de l'intimidation commis sous la menace d'une arme blanche comme l’attestent les différents rapports de police lors des arrestations des voleurs et des agresseurs se déroulent lors des flagrants délits. Autre phénomène déplorable dans ce contexte, l’indifférence, la passivité voire la lâcheté des passants qui le plus souvent restent inactifs les bras croisés devant des actes d’agressions commis sur notamment des femmes dans la rue. ‘’C’est la lâcheté de certains citoyens qui a encouragé la recrudescence de la délinquance dans la rue et qui empoisonne aujourd’hui la vie de la gent féminine, première victime des agressions’’, s’indignent un des parents d’élèves du lycée Saint Augustin. Egalement, l’on se demande à quoi servent les associations prétendument féministes censées prendre la défense des femmes victimes des violences et dont le silence sidéral intrigue bon nombre d’observateurs. La sécurité incombe donc aujourd’hui à toute la société et non seulement aux seules forces de l’ordre.

Seybouse times - 22 Décembre 2013 - Écrit par B.A

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Les Commentaires

La lâcheté prend son sens le plus complet lorsqu'on s'attaque à plus faible que soit, à des êtres sans défense que sont les mineurs, les femmes et les personnes agées. Parcequ'il est plus facile pour un trouillard de faire le fort devant une personne qui ne peut se défendre que contre quelqu'un avec lequel il risque de laisser des plumes.
En attendant que les autorités trouvent des solutions adéquates et sécurisent d'avantage la ville en protégeant les personnes citées dessus, pourquoi ne pas ouvrir des salles d'arts martiaux pour permettre par exemple aux personnes les plus exposées que sont les femmes de s'autodéfendre contre les vols, les violes ou ou toutes autres agressions.
Cette démarche a fait ses preuves ailleurs. En plus elle a un effet doublement dissuasif: Si par malheur un de ces froussard s'attaque à une femme pour la voler et que celle-ci sait se défendre, il n'aura d'abord pas atteint son but et en plus il portera l'humiliation d'avoir été rouler dans la boue par justement une femme.
j'ai passé un bon moment en écoutant les jeunes Aissaouas !!!!c'est fait maintenant. je suis heureux d'avoir fait le plein de ma musique locale.
sur la radio annaba
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