L’entrée Sud de la ville de Sidi Amar à partir de l’intersection , située à proximité des tours de l’Agence d’Amélioration du Logement (AADL) et desservant l’ancien complexe sidérurgique d’El Hadjar, aujourd’hui ArcelorMittal Annaba (AMA) et les villes d’El Hadjar et de Annaba, présente de jour comme de nuit, des risques omniprésents d’accidents de la circulation en raison de la densité du trafic routier. Ce passage est devenu, au fil du temps, un véritable supplice pour les chauffeurs de véhicules qui doivent s’armer de vigilance et de sang froid au risque de provoquer l’irréparable. Le danger d’accidents de la circulation est surtout apparent aux heures de pointe où l’initiative de céder le passage devient rare et chacun veut gagner du temps pour rejoindre sa destination sans se soucier des autres, ni des risques qu’il encourt en refusant de libérer quelque instants la voie à d’autres usagers qui doivent attendre parfois plus d’un quart d’heure pour bénéficier de la priorité de circuler. Ce sont surtout les femmes, plus prudentes que les hommes au volant qui vivent avec une acuité particulière, ce danger en permanence lequel augmente de jour en jour avec l’agrandissement du parc roulant. Certains automobilistes estiment que la mise en place de feux de signalisation réglementerait une fois pour toutes, au niveau de cette intersection, à l’instar de la présence de policiers de la circulation aux heures de pointe. Des mesures s’avèrent donc nécessaires pour réglementer et sécuriser la circulation routière au niveau de cette intersection qui est source de dangers d’accidents. L’aménagement d’un carrefour ou d’une bretelle au niveau de ladite intersection, serait la bienvenue, en premier lieu pour les habitants de Sidi Amar.
L'Est republicain - 28 avril 2014 - Hocine Akli
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