En matière de dilapidation de deniers publics, la trémie d’El Hattab, sur le boulevard Bouali Saïd, est l’exemple parfait puisqu’elle est devenue plus problématique pour la circulation que jamais auparavant sur cet axe important vers et hors de la ville. La précipitation et l’à peu-près qui avaient présidé à la réalisation de cet «ouvrage d’art», expliquent dans une moindre mesure l’état actuel de cette réalisation. Mais cela n’explique pas tout, surtout pas les malfaçons, l’infiltration perpétuelle d’eau et les inondations, quelle que soit la saison qui rend cette voie impraticable certaines fois et son passage laborieux quand on y parvient....
Lire la suite »