Cela fait exactement trois ans que la rue Aïssaoui Mohamed, située au centre ville, car jouxtant les « Halles centrales » (marché couvert), s’est transformée en une plaie béante, rendant quasiment impossible toute circulation automobile et piétonne. Par temps de pluie elle devient un marais boueux. Par beau temps c’est une chaussée parsemée de « nids de poule ». Les femmes ne l’empruntent d’ailleurs plus car elles y ont toutes laissé les talons de leurs chaussures. Quant aux hommes, il faut les voir sautiller ou zigzaguer donnant l’impression d’être ivres. Les automobilistes quand ils s’y engouffrent c’est, la plupart du temps, pour s’y garer...
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