Alors que des familles qui sont toujours en deuil attendent le rapatriement de leurs progénitures, d’autres ne l’ont jamais fait depuis la disparition d’un proche, il y a de cela une dizaine d’années. A Annaba des jeunes déterminés d’atteindre clandestinement l’autre rive de la Méditerranée continuent de braver l’interdit sans pour autant se soucier de ce que peuvent ressentir les autres, les parents en particulier. En effet, 24 heures seulement après l’annonce mercredi dernier des conditions assez particulières dans lesquelles 15 harraga avaient été interceptés par les autorités tunisienne et la mort d’un d’entre eux, les gardes-côtes de la façade maritime...
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