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Annaba: POUR NON ASSISTANCE À PERSONNE EN DANGER - Une gynécologue devant le juge

Publié le 20/01/2015
Les graves violations de l’éthique de déontologie de la profession de médecin donnent de temps à autre lieu à l’ouverture d’une instruction judiciaire ordonnée par le procureur de la République à l’issue des plaintes déposées par des patients, telles que la poursuite judiciaire engagée par le parquet contre une gynécologue accusée de non assistance à personne en danger. Il s’agit d’une femme enceinte qui était hospitalisée dans un établissement de santé publique et autorisée à quitter pour quelques heures l’hôpital pour une auscultation en extrême urgence chez un spécialiste privé. L’incriminée aurait refusée d’intervenir rapidement auprès de cette patiente en présence de son mari. L’affaire a pris une tournure grave puisque la tension était montée d’un cran chez les deux individus. L’époux avait même menacé de mettre le feu à l’intérieur du cabinet de la gynécologue. Celle-ci devant les menaces sérieuses et les injures de cet homme qui était visiblement dans tous ses états, avait fait appel à la police. Une visite médicale qui se termine malheureusement dans les couloirs de la justice, où l’un accuse et l’autre récuse. Dans cette affaire il est permis d’ouvrir une parenthèse sur les difficultés qu’endurent des années durant les patients dans les hôpitaux. L’on s’interroge comment un hôpital qui devait être bien équipé oriente les malades vers le privé pour des analyses ou d’autres détails importants dont il n’a pas les moyens appropriés pour le faire. Il va sans dire, que les propos avancés par les responsables de la santé de Annaba et la réalité dans les hôpitaux sont loin de la vérité. Cela expliquer aussi, que la médecine d’une manière générale est malade dans une ville où les établissements publics n’arrivent toujours pas à répondre aux besoins des malades et des médecins privés qui courent derrière le gain rapide au point qu’à Annaba, aucune visite médicale n’est au dessous de 1000 DA.

lestrepublicain - 20 janvier 2015 - Boufessioua Sofiane
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Les Commentaires

CE N EST PAS DES MEDECINS , LA PLUS PART JE DIRAI DES MARCHANDS DE LEGUMES. AUCUNE CONSCIENCE PROFESSIONNELLE, DES CHIRURGIENS HORRIBLES, MEME L IMBECILE DES IMBECILES ARRIVE A DISTINGUER ENTRE DANGEREUX OU PAS, EUX |||||ILS FONT PASSER LA CHOSE.
EVIDEMENT CE N EST PAS TOUT LES MEDECINS , MAIS LES VRAIS SONT DEVENUS RARES.
j'ai pu fait l'experience pour une douleur de dent. le praticien m' a demandé d'aller faire une radio panoramique faciale. cette radio coutait plus chere que les soins (environ 4000 DA). une histoire de faire travailler les amis. Denden el hadi a ouvert un labo d'analyse . il a du fermer boutique car il ne savait pas faire manger les medecin d'ou sa mise à l'index.
l'hopital ne manque de rien. j'ai aussi vu une personne residente à constantine venir sur recommandation d'un specialiste de cette ville pour se faire soigner à l'hopital de pont blanc. toutes les analyses ont ete faite sur place YA BOUSAH!!!!!!!!!!
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