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Annaba: HÔPITAL IBN ROCHD - Violences aux urgences

Publié le 17/02/2015
Le service des urgences du CHU Ibn Rochd a été, hier, le théâtre de violences commises par des parents d’un patient décédé après son admission au service réanimation. Un surveillant médical  a  été pris à partie par plusieurs individus accompagnant les parents du défunt alors que d’autres ont tenté de saccager un bureau occupé par deux médecins.  L’incident  a requis l’intervention de la force publique pour  restaurer le calme dans l’hôpital. Cet acte n’est pas un cas isolé. Le personnel du service des urgences a dû affronter à plusieurs reprises des situations du genre.  Il faut dire que si l’accueil dans nos hôpitaux n’est pas le fort du personnel de santé, ce dernier subit aussi les effets de l’absence de  conditions de travail à même de lui permettre de s’acquitter de sa tâche  sans pression.      

lestrepublicain - 17 février 2015 - BSE
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Les Commentaires

ce n’est pas la faute aux parents du défunt, c est plutôt le manque de professionnalisme du personnel médical, ont doit former les jeunes médecins et les techniciens a savoir gérer les situations difficiles, ils ne sont pas sérieux la plus part du temps, ils suffit de dire je suis dessole je ne suis pas le responsable, c est pas mon service, etc...moi même j ai eu de genre de situation, si ont n est capable de coincer le medecin ou infirmier, il cède et devient coopérant, le cas contraire , ils s enfiche de ses gents la, et la c est la pagaille. c est un être cher qui décède, ce n est pas un chat ou chien, il faut se mettre a la place de l accompagnateur du malade.
un malade opérer , il a sa sortie de l hôpital ou clinique pour le lendemain, sa explique tout de la conscience de notre équipe de santé . même l imbécile des imbéciles sait que la torture est au plus haut degré, le lendemain de l opération. et on ose déplacer se pauvre malade sans même une chaise roulante, se sont des monstres pas des médecins. ils n ont pas un grain d islam dans leur sang. c est une honte honte pour nous. aucune conscience, qu est ce qu on leur apprend a la fac. sacage les bureau c est faible comme mot a dire, plutôt les brules vivants.pour leur faire sentir la peine de ses pauvres malades.
a votre avis si la réception des urgences et correctement installée, il n y aurai ni bagarre ni casse, "lssan lahlou, yerdaa3 ellaba". les gents ne s énerve pas pour rien. il faut qui il ya provocation pour tout. pas de feu , pas de fumee,c est le même cas que la dame qui a failli accoucher ds le taxi. et et et...Mrs les respensables faites payer les casses par le service medical. c est eux la cause de tout.
je vous colle cette article copiee du soir d algerie : Voxpopuli : Que vaut la vie humaine en Algérie ?

De nos jours, la vie humaine est devenue banale et le code de déontologie des médecins, dont on a longuement entendu parler, obsolète. Le 23 janvier 2013, Atmane Smiri, 50 ans, nous a quittés pour un monde meilleur. Il était célibataire (problème de logement). Il habitait le 10e Groupe. Son seul capital était sa mère et sa santé.

Jamais, il ne s’est plaint d’aucune maladie ; pourtant, en ce 23 janvier, il avait pris son petit-déjeuner comme d’habitude aux côtés de sa maman, après quelques instants, il se retourna vers elle pour lui dire qu’il avait une légère douleur au bras et un peu mal au niveau du thorax, côté gauche. La maman a vite remarqué que Athmane est soudainement devenu pâle. Elle lui demande d’aller avec elle à l’hôpital Mustapha-Bacha qui est à 5 minutes de chez eux. Une fois arrivés, ils s’adressent au service des urgences. Athmane est parti de chez lui conscient, encore mieux, il discutait avec sa mère. Au niveau des urgences, il est pris en charge par un médecin réanimateur en neurochirurgie. Après une consultation qui a duré 10 minutes, le médecin l’oriente vers les urgences de cardiologie. Il était 8h, et à notre grand malheur, les médecins de garde étaient absents. La maman, la grande sœur qui les a accompagnés et Athmane, qui était jusque-là encore conscient, étaient choqués et déçus. La douleur augmentait et Athmane s’impatientait et marquait son étonnement par rapport à la lenteur qui caractérise «le service des urgences de cardiologie» et pourquoi les médecins du service sont absents. Et en une fraction de seconde, Athmane rend l’âme à 8h 45mn, après plus de 45 mn d’attente. La maman crie : «Athmane mon fils !» Elle est dans tous ses états, elle est désarmée. Elle voit son fils partir devant ses yeux, elle qui a toujours été là pour le couver, elle est incapable de le sauver. Les médecins cardiologues ne sont toujours pas arrivés. Un citoyen court dans tous les sens demandant du secours, mais trop tard, Athmane était en train de partir en l’absence des médecins du service. Athmane est parti pour de bon. Sa mère continue à le pleurer. Il est parti si brusquement en laissant un vide incroyable. Mais ce n’est pas pour cela que nous avons décidé de vous raconter ces faits tragiques. Nul n’est à l’abri. Ce qui est arrivé à Athmane peut arriver à chacun de nous. Pourquoi se vanter de la médecine gratuite en Algérie alors qu’on n’est même pas capable de porter secours à quelqu’un qui aurait pu, avec un peu plus de chance, être encore parmi nous ? Si au moins les médecins des urgences étaient là, si au moins le matériel médical était disponible. Vous allez me dire c’est sa destinée... Mais combien d’Algériens sont partis à cause de l’inconscience de certains de nos médecins et la mauvaise gestion du secteur sanitaire dans notre pays, et si on doit se taire, combien d’autres partiront en laissant les leurs les pleurer avec chagrin ? A travers cet article et en tant qu’Algérienne, je souhaite que les choses changent dans notre pays et que justice soit faite.
Nacéra Ibarissen


Désolé, pour être honnête avec vous, laissez moi vous dire que si la médecine était au top chez nous. Pourquoi nos dirigeants viennent ils en France ou en Belgique pour se faire soigner ? Ils n’ont pas confiance dans nos hôpitaux et nos médecins .Voila pourquoi, ils se tirent avec une prise en charge en Europe dans l’espoir d’être bien soignés. J’ai vu une personne mourir comme un chien. Mon frère aussi est mort dans les mêmes conditions que la personne qui vient de perdre la vie en réanimation. Les journaux ne révèlent pas quelques chose d’extraordinaire. Ils soulèvent une fois de plus ces situations inquiétantes qui persistent encore chez nous. La violence dans les hôpitaux est aussi un grand problème car les gens n’arrivent pas à comprendre ce qui leur arrive dans cette institution. En effet, il faut dire que les urgences en algerie et particulièrement à Annaba c’est une calamité. Des malades qui s’entassent à même le sol. Les professionnels qui ne savent plus ou donner de la tête dans cet univers. L’absence de matériel et de médicament ne facilite pas les affaires de malades. La souffrance des uns fait les affaires des spéculateurs des propriétaires des cliniques et des labos extérieurs. Ces accumulations d’événement et de maladresse ne font pas le bonheur de nos concitoyens. Il est temps de revoir notre système de soins dans sa globalité pour y remédier. Ce sera très dur pour rompre avec nos mauvaises habitudes. Je ne voie pas la sortie du tunnel dans un court terme. Nos générations futures vont souffrir pour longtemps !!! Avant de trouver la sérénité dans ce domaine.
pour nous on voit la chose de l exterieur, mais pareil pour moi, ma mere a ete operee ds une clinique privee. et la sortie le lendemain. inchallah sa changera. la ou je suis c est le paradis, je me demande parfois si l islam ne s est pas trompe de porte, " desolee pour les fautes"
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