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"LES CANDIDATS PROMETTENT DE RÉCUPÉRER L’ARGENT VOLÉ"

Publié le 25/11/2019
"L J I" H B 25/11/2019"LES CANDIDATS PROMETTENT DE RÉCUPÉRER L’ARGENT VOLÉ, C’est un dossier que l’opinion publique considère comme primordial. La question de la récupération des fonds transférés illicitement à l’étranger par des hommes d’affaires, des politiciens et des parties influentes incarcérés pour corruption s’est imposée aux cinq candidats en lice pour la Présidentielle du 12 décembre prochain. Ce sont des dossiers que personne parmi ces candidats ne pouvaient occulter ou ignorer. D’ailleurs, tous se sont engagés lors de leur campagne électorale à ne ménager aucun effort pour leur rapatriement. Contrairement aux dossiers habituellement évoqués par les candidats lors de leurs campagnes électorales, la question de la récupération des fonds transférés illicitement, ces deux dernières décennies, estimés par les experts à des centaines de milliards de dollars, a été mise en exergue par les cinq candidats lors de leurs sorties médiatiques et leurs meetings. Cependant, la plupart d’entre eux n’ont pas dévoilé les détails techniques de ce dossier complexe. Dans l’une de ses sorties médiatiques, le candidat indépendant à la Présidentielle, Abdelmadjid Tebboune a affirmé, avec une grande assurance, qu’il comptait "récupérer les fonds volés", déclarant "si je ne parviens pas à récupérer leur totalité, je veillerai à récupérer une bonne partie de ces fonds". Tebboune affirme "connaitre les lieux de placement de ses fonds" qui permettront une fois rapatriés de couvrir une grande partie des dépenses programmées dans le cadre de son programme électoral. De son côté, le président du parti Talaie El Houriyet, Ali Benflis s’engage, dans son programme électoral, à "lancer des initiatives à l’adresse des institutions financières et pays concernés pour récupérer les fonds transférés illicitement par des Algériens à l’étranger". Pour sa part, le candidat Azzeddine Mihoubi, président par intérim du Rassemblement national démocratique (RND) a promis la mise en œuvre de procédures rigoureuses afin de restituer les fonds pillés, et ce en poursuivant la traçabilité de leurs transferts à travers des canaux internationaux". Quant au président du Mouvement Bina, Abdelkader Bengrina, il a promis ses électeurs d’organiser des référendums pour trancher dans les affaires sensibles, notamment les modalités de restitution des fonds détournés. De son côté, le Candidat, Abdelaziz Belaid, président du Front Moustakbel a estimé inadmissible d’évoquer les fonds détournés avant que la justice ne statue sur le sort des personnes impliquées dans ces affaires", ajoutant que les personnes qui prétendent être capables de restituer ces fonds, "ne font qu’avancer des slogans politiques". Lors des différents séminaires tenus au préalable, plusieurs juristes et économistes ont affirmé que le rapatriement des fonds était possible sur le plan juridique mais complexe à appliquer, nécessitant de longues années de travail et un long souffle, une forte volonté politique, une expérience technique de pointe et une coopération internationale intense. Un expert propose de prendre exemple des expériences russe, égyptienne et saoudienne qui ont tenté de restituer des fonds ayant été pillés et détournés vers l’étranger, à travers le recours à un accord tacite avec les individus impliqués dans le vol, le pillage de l’argent public, en vue de récupérer une partie de ces fonds".
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"LES CANDIDATS PROMETTENT DE RÉCUPÉRER L’ARGENT VOLÉ"
"Pour l'investir dans les comptes bancaires offshores"... on rigole bien!

C’est un dossier que l’opinion publique considère comme primordial. La question de la récupération des fonds transférés illicitement à l’étranger par des hommes d’affaires, des politiciens et des parties influentes incarcérés pour corruption s’est imposée aux cinq candidats en lice pour la Présidentielle du 12 décembre prochain. Ce sont des dossiers que personne parmi ces candidats ne pouvaient occulter ou ignorer. D’ailleurs, tous se sont engagés lors de leur campagne électorale à ne ménager aucun effort pour leur rapatriement.


Contrairement aux dossiers habituellement évoqués par les candidats lors de leurs campagnes électorales, la question de la récupération des fonds transférés illicitement, ces deux dernières décennies, estimés par les experts à des centaines de milliards de dollars, a été mise en exergue par les cinq candidats lors de leurs sorties médiatiques et leurs meetings. Cependant, la plupart d’entre eux n’ont pas dévoilé les détails techniques de ce dossier complexe.


Dans l’une de ses sorties médiatiques, le candidat indépendant à la Présidentielle, Abdelmadjid Tebboune a affirmé, avec une grande assurance, qu’il comptait "récupérer les fonds volés", déclarant "si je ne parviens pas à récupérer leur totalité, je veillerai à récupérer une bonne partie de ces fonds".


Tebboune affirme "connaitre les lieux de placement de ses fonds" qui permettront une fois rapatriés de couvrir une grande partie des dépenses programmées dans le cadre de son programme électoral.


De son côté, le président du parti Talaie El Houriyet, Ali Benflis s’engage, dans son programme électoral, à "lancer des initiatives à l’adresse des institutions financières et pays concernés pour récupérer les fonds transférés illicitement par des Algériens à l’étranger".


Pour sa part, le candidat Azzeddine Mihoubi, président par intérim du Rassemblement national démocratique (RND) a promis la mise en œuvre de procédures rigoureuses afin de restituer les fonds pillés, et ce en poursuivant la traçabilité de leurs transferts à travers des canaux internationaux".


Quant au président du Mouvement Bina, Abdelkader Bengrina, il a promis ses électeurs d’organiser des référendums pour trancher dans les affaires sensibles, notamment les modalités de restitution des fonds détournés.


De son côté, le Candidat, Abdelaziz Belaid, président du Front Moustakbel a estimé inadmissible d’évoquer les fonds détournés avant que la justice ne statue sur le sort des personnes impliquées dans ces affaires", ajoutant que les personnes qui prétendent être capables de restituer ces fonds, "ne font qu’avancer des slogans politiques".


Lors des différents séminaires tenus au préalable, plusieurs juristes et économistes ont affirmé que le rapatriement des fonds était possible sur le plan juridique mais complexe à appliquer, nécessitant de longues années de travail et un long souffle, une forte volonté politique, une expérience technique de pointe et une coopération internationale intense.


Un expert propose de prendre exemple des expériences russe, égyptienne et saoudienne qui ont tenté de restituer des fonds ayant été pillés et détournés vers l’étranger, à travers le recours à un accord tacite avec les individus impliqués dans le vol, le pillage de l’argent public, en vue de récupérer une partie de ces fonds.

"LES CANDIDATS PROMETTENT DE RÉCUPÉRER L’ARGENT VOLÉ"
"Pour l'investir dans les comptes bancaires offshores"... on rigole bien!

C’est un dossier que l’opinion publique considère comme primordial. La question de la récupération des fonds transférés illicitement à l’étranger par des hommes d’affaires, des politiciens et des parties influentes incarcérés pour corruption s’est imposée aux cinq candidats en lice pour la Présidentielle du 12 décembre prochain. Ce sont des dossiers que personne parmi ces candidats ne pouvaient occulter ou ignorer. D’ailleurs, tous se sont engagés lors de leur campagne électorale à ne ménager aucun effort pour leur rapatriement.


Contrairement aux dossiers habituellement évoqués par les candidats lors de leurs campagnes électorales, la question de la récupération des fonds transférés illicitement, ces deux dernières décennies, estimés par les experts à des centaines de milliards de dollars, a été mise en exergue par les cinq candidats lors de leurs sorties médiatiques et leurs meetings. Cependant, la plupart d’entre eux n’ont pas dévoilé les détails techniques de ce dossier complexe.


Dans l’une de ses sorties médiatiques, le candidat indépendant à la Présidentielle, Abdelmadjid Tebboune a affirmé, avec une grande assurance, qu’il comptait "récupérer les fonds volés", déclarant "si je ne parviens pas à récupérer leur totalité, je veillerai à récupérer une bonne partie de ces fonds".


Tebboune affirme "connaitre les lieux de placement de ses fonds" qui permettront une fois rapatriés de couvrir une grande partie des dépenses programmées dans le cadre de son programme électoral.


De son côté, le président du parti Talaie El Houriyet, Ali Benflis s’engage, dans son programme électoral, à "lancer des initiatives à l’adresse des institutions financières et pays concernés pour récupérer les fonds transférés illicitement par des Algériens à l’étranger".


Pour sa part, le candidat Azzeddine Mihoubi, président par intérim du Rassemblement national démocratique (RND) a promis la mise en œuvre de procédures rigoureuses afin de restituer les fonds pillés, et ce en poursuivant la traçabilité de leurs transferts à travers des canaux internationaux".


Quant au président du Mouvement Bina, Abdelkader Bengrina, il a promis ses électeurs d’organiser des référendums pour trancher dans les affaires sensibles, notamment les modalités de restitution des fonds détournés.


De son côté, le Candidat, Abdelaziz Belaid, président du Front Moustakbel a estimé inadmissible d’évoquer les fonds détournés avant que la justice ne statue sur le sort des personnes impliquées dans ces affaires", ajoutant que les personnes qui prétendent être capables de restituer ces fonds, "ne font qu’avancer des slogans politiques".


Lors des différents séminaires tenus au préalable, plusieurs juristes et économistes ont affirmé que le rapatriement des fonds était possible sur le plan juridique mais complexe à appliquer, nécessitant de longues années de travail et un long souffle, une forte volonté politique, une expérience technique de pointe et une coopération internationale intense.


Un expert propose de prendre exemple des expériences russe, égyptienne et saoudienne qui ont tenté de restituer des fonds ayant été pillés et détournés vers l’étranger, à travers le recours à un accord tacite avec les individus impliqués dans le vol, le pillage de l’argent public, en vue de récupérer une partie de ces fonds.

D'abord, le réveil est tardif, et puis ensuite, il ne s'agit pas seulement de récupérer l'argent volé pour calmer la colère. Le vole de l'argent n'est que la partie émergée de l'iceberg. C'est tout le reste du pays avec ses immenses cortèges de problèmes délaissés depuis des décénnies qu'il va falloir réparer afin de le redresser. Et ça ce n'est pas possible avec le système de l'ancienne garde. Il faut du neuf! du nouveau!
"Tout a fait"

Je suis sur la même longueur d'onde.
Comme dit le proverbe: "avec du vieux coton on ne fait pas de toile neuve".

On six décennies nous avons vu et connu "des vertes et des pas mûres"!.
"ont travaillé sous l'autorité d'Abdelaziz Bouteflika"

Ali Benflis, directeur de cabinet à la présidence puis premier ministre, Abdelmaldjid Tebboune, plusieurs fois ministre puis premier ministre, et Azzedine Mihoubi, ministre. Le quatrième candidat est Abdelkader Bengrina, ancien ministre du Tourisme (1997-1999) et ancien député d'Alger, issu d'un parti qui a soutenu Abdelaziz Bouteflika. Le cinquième, Abdelaziz Belaïd, a notamment fait partie d'organisations de jeunes qui ont aussi soutenu l'ancien président. (publié sur Le Figaro).

Ali Benflis, 75 ans, se présente depuis 15 ans comme le principal opposant de Abdelaziz Bouteflika, dont il fut chef du gouvernement en 2000. Limogé en 2003, il est candidat contre Abdelaziz Bouteflika l'année suivante, puis en 2014. Il arrive à chaque fois deuxième, très loin derrière un président réélu avec plus de 80% des voix. Ancien Secrétaire général du Front de Libération Nationale, il a fondé le Parti Avant-garde des Libertés.

De son côté, Abdelmaldjid Tebboune, 73 ans, a été haut fonctionnaire, puis plusieurs fois wali (préfet) avant d'être nommé ministre de la Communication d'Abdelaziz Bouteflika à son arrivée au pouvoir en 1999. Ce dernier le rappelle au gouvernement en 2012 et lui en confie la tête en mai 2017, avant de le limoger trois mois plus tard sur fond de lutte de clans dans son entourage. Abdelmaldjid Tebboune se définit comme candidat «indépendant».

Azzedine Mihoubi, 60 ans, dirige depuis quelques mois le Rassemblement national démocratique (RND), pilier de la coalition ayant soutenu Abdelaziz Bouteflika durant sa présidence. Il était son ministre de la Culture jusqu'en mars.

Abdelkader Bengrina, représente El-Bina (Construction), petit parti membre d'une coalition islamiste, dont l'un des députés a été élu en septembre à la présidence de l'Assemblée nationale.

Abdelaziz Belaïd, ancien cadre du Front de libération nationale (FLN) a fondé le Front El-Moustakbel, micro-parti proche du pouvoir.





"LE FIGARO"
"sans la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur" (Beaumarchais)

Des élections rejetées par les contestataires

L'élection du 12 décembre est rejetée par le mouvement de contestation inédit né fin février et sous la pression duquel Abdelaziz Bouteflika a été forcé par l'armée à démissionner à deux semaines de la fin de son quatrième quinquennat. Le pouvoir a dû annuler, faute de candidats, un premier scrutin prévu le 4 juillet. Pour les contestataires, ces élections ne doivent pas être organisées par le pouvoir, toujours aux mains de figures ayant participé aux 20 ans de présidence de Bouteflika. La liste des candidats ne devraient pas les faire changer d'avis.
"L'ANIE"
"Autorité Nationale Indépendante des Elections"
aurait du choisir des candidats jeunes!, avec des doctorats en science politique! parlant également langlais...type (Emmanuel Macron 39 ans qui va à l'encontre des problèmes pour causer face à face avec la population)c'est l'exemple que l'on souhaite pour notre pays, un vrai visage de la démocratie.
"message à Malek"

Bonjour soit sympa, de ne pas censurer des articles vrais...c'est comme si tu cherchais à cacher la Vérité:

1.
Ce à quoi l'esprit peut et doit donner son assentiment (par suite d'un rapport de conformité avec l'objet de pensée, d'une cohérence interne de la pensée) [opposé à erreur, illusion].

2.
Connaissance conforme au réel ; son expression (opposé à erreur, ignorance ou à mensonge).
Connaître, dire la vérité sur qqch.

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