" Lionel Messi 6e ballon d'or"

Quoiqu'on dise sur ce joueur, pour moi il reste à faire ses preuves. Encore une fois comme je l'avait au paravant, je voudrais bien voir ce joueur évoluer avec d'autres grands clubs européens autres que Barcelone.Je voudrais bien voir s'il réussi les mêmes explois que eux avec Barcelone. Il faut bien comprendre que toute l'équipe de Barcelone est construite autour de Messi. Tous les joueurs sont choisi en fonction du jeu de Messi. C'est-à-dire, qu'ils jouent tous pour lui, et ainsi ils lui apportent le soutien qui le fait briller. C'est justement pour cette raison que je souhaite le voir jouer dans d'autres clubs,là où il n'aura pas le même soutien qu'il trouve à Barcelone pour voir s'il réussi les mêmes prouesses. Moi je doute!
Quant à ses trois désastreuses participations à la coupe du monde,2010,2014,2018, il avait était à mes yeux, plus que médiocre.Il était presque inéxistant,pour ne pas dire éffacé.
La grande qualité des grands joueurs,c'est qu'ils répondent présent quand il s'agit des matchs décisifs. Ils sont là et déterminent l'issu du match en leur faveur parcequ'ils ont le vrai talent des seigneurs et le dernier mot leur revient souvent.

Pour moi, il lui reste un long chemin à parcourir pour rejoindre le panthéon des grands génies comme Maradona, zidane, pélé,franz beckenbauer, johan cruyff et encore bien d'autres grands noms du ballon rond.

Pour moi, encore une fois, il me fait rappeller le cheval de course de Vincennes trainant à quelques centimètres des pattes un ballon. Il joue toujours de la même manière. On ne voit pas de véritables variations dans son jeu, de changements entre les différents états successifs d'une action etc... Il n'y a pas de charisme dans son jeu. C'est presque ennuyeux, parcequ'on sait d'avance ce qu'il va faire. Encore une fois, il ne fait partie de la race des grands joueurs qui ont plus d'un tour dans leur jeu.
Pour moi, c'est un bon joueur mais pas plus. Il est loin d'être le génie qu'on veut nous faire croire.

"Salut ricrac"

Dans le fond tu as tout à fait raison, mais voilà, les choses dans le domaine du foot ont bien changé, c'est bien vrai jadis, les spectateurs se régalé de voir jouer certains joueurs comme Larbi Benbarek "la perle noir" bien avant Pelé, Garrincha, Zito, Didi, Vava...Kopa, Piantoni, , Just Fontaine recordman avec 13 réalisations en 1958 en Suède. A chaque décennie elle avait ses vedettes lorsque je pense à Di Stéphano, Gento, Puskas (tête d'or) d'un coup de tête dans le ballon, il avait cassé la barre transversale, dans une autre époque nous avons connu les fameux joueurs brésilens Socrates, Bebeto, Romario, Ronaldo...puis il y avait les étoiles algériennes bien de chez nous avec Melaksou, Belloumi, Makhloufi, lalmas, Dahleb, Madjer sans oublier les joueurs de notre ville d'Annaba Benaïsssa Sakraoui dit (Ben), Bouden avec l'ASB, Ali Attoui de l'AJBAC dit (Baba Ali), Tamérabed, et le souffre douleur du gardien de l'ASB Triglio...pour nommer Lahdi Bey...et sans oublier l'USMB avec Rouge, Brahimi, Jarmouli... Ali Doudou notre fameux portier que l'on comparé à Lev Yachine gardien de la Russie, puis il avait eu la Décennie avec Zidane, Djorkaeff, Deschamps, Mradona...il est bien vrai de nos jours ce n'est plus les mêmes spectacles qu'ont avait connu avec les dribbles, les feintes de corps, les petits ponts, grands ponts, le coup du foulard, le coup du sombréro, les panenkas, les reprises acrobatiques, le ciseau retourné, la bicyclette inventeur (Rivaldo)et comme le but de Zlatan, le petit vélo, les tacles (inventeur Attoui), une Madjer inventeur (Rabah), l'aille du pigeon, la roulette, l'Arc en ciel inventé par (Robinho)...et beaucoup d'autres feintes qui régalées les supporters...j'ai de quoi écrire un livre (rire).
Revenant aux jeux d'aujourd'hui pour revenir sur le cas de Lionel Messi avec le trophée de son sixième ballon d'or, a savoir tout d'abord que les critères du vote du ballon d'or et choisi par les entraineurs et les journalistes sportives par le nombre des buts marqués et pour cela cher ami ricrac la pulka le mérite largement, il faut que sache que les nouvelles techniques du foot font que le jeux se fasse sur des passent rapide entre coéquipiers et de garder le ballon le plus longtemps possible la tactique il s'agit de faire courir les adversaires pour les fatigués, certes là où je te rejoint que le jeux reste fade et lassant pendant ce temps les buteurs tel que Messi se tient à la limite du hors jeux pour attendre les longues passes tout juste le bon moment pour bondir et mettre le ballon dans la lucarne, bien sûr tu vas me dire c'est beaucoup grâce à ses coéquipiers là je dirais que ton point de vu est juste! mais voilà la pulka par sa corpulance et sa taille capable par ses tirs de ne pas rater le cadre des buts! il arrive même a marquer et faire passer son ballon par un trou de souris c'est sa technique dû beaucoup a son entrainement et son entourage soigneurs, entraîneurs, docteurs, repas diétiques et bien sûr à sa sobriété son sérieux le bon équilibre avec sa famille, son père qui veille sur lui, garde corps, conseillés etc...avec un salaire de 40 millions €uros sans compter les revenus des sponsors sa réussite c'est surtout son sérieux une preuve tout juste après son trophée direction l'aéroport pour le ramener a son club du Barça contrairement il faut le dire à certains qui finissent en bringue dans les discothèques jusqu'à l'aube, comme malheureusement le "gamin en or" et bien d'autres pour ne pas citer des noms!...bien sûr l'ami ceci reste que mon point de vu!. Pour conclure mon petit récit de welde la vieille ville d'Annaba sache que plusieurs clubs et joueurs dans la planète foot copient ou essaye d'imiter le style du Barça et de Messi tel que Benzema, Giroud, Griezmann, Neymar, Mbappé...il faut te dire aussi le mot clé c'est l'argent appel l'argent! remplir les stades et les caisses pour pouvoir acheter les meilleurs joueurs c'est la clé de la réussite des clubs...autre l'invention du ballon d'or ce n'est autre que France Football cela donne du spectacle télévisé et vendre des journaux sportive, ainsi va le Monde...

"M.O.F.Annabi"

Bonjour Mofannabi ! Merci pour ton exhaustive liste des noms de joueurs de légende, des clubs qui ont passionné notre passé, ainsi que ceux de notre jeunesse comme l'AJBAC, l'USMB et même L'ASB, alors que j'étais tout bébé.

Evidemment, que je suis conscient que le fotball d'aujourd'hui n'a rien a voir avrc le fotball d'hier. Ce que je reproche à la désignation de Messi comme détenteur du ballon d'or, par cette classe de professionnels appartenant au monde du fotball, c'est qu'ils essayent de nous faire croire que c'est le meilleur joueur d'Europe et de la planète, alors qu'il n'en est rien. Parcequ'il a encore tout à prouver! Il doit d'abord changer du club pour voir s'il réussit les mêmes exploits, car jusqu'ici il n'a connu que le FC Barcelone.Il doit ensuite gagner le mondial en prouvant au monde entier de manière irréfutable que dans les matchs décisifs c'est lui qui aura le dernier mot à l'instar des grandes légendes qui l'ont précédé. Il doit aussi démontrer de manière également incontéstable que c'est lui qui sera l'artisan de la victoire de l'Argentine en Copa América.
Il a donc à témoigner de toutes ces choses pour convaincre définitivement l'opinion mondial sur son indiscutable talent. Pour l'heure il n'a malheureusement rempli aucune de ces conditions pour prétendre entrer dans le panthéon des grands.
Je préfère par exemple de loin un Eden Hazard, un Neymar qui ont un fotball varié, plaisant, parcequ'ils ne jouent toujours de la même façon et changent constamment d'idées dans le jeu. Il ont plus d'un tour dans les jambes.

"La pulka, reste pour les Blaugranas, une machine a marquer des buts"

Le principal objectif d'un club c'est de gagner des matchs! Pourquoi il ne va pas ailleurs! tout simplement parce ce qu'avec son club, c'est le sportif le mieux payé au Monde, il a tout, l'admiration et le respect des supporters et de la population espagnole, ils ont avec l'Argentine la même langue, c'est lui le boss de l'équipe, c'est lui qui choisi ses coéquipiers, c'est lui qui a fait venir Antoine Griezmann!.
(article de presse BFM du 5/12/2019)

Barça: Suarez raconte ses dîners avec Griezmann et Messi Dans une interview donnée en Espagne, Luis Suarez a évoqué des "dîners" partagés avec Lionel Messi et Antoine Griezmann, pour mieux apprendre à connaître le Français. Et assure d'ailleurs que le natif de Mâcon est très à l'aise dans le vestiaire blaugrana.

Des difficultés d'intégration pour Antoine Griezmann au Barça? Aucune, selon Luis Suarez. Dans une interview accordée à BeIn Sports Espagne, l'attaquant uruguayen du club catalan a évoqué la situation de son partenaire français, arrivé durant le mercato estival en provenance de l'Atlético. Et d'après lui, tout se passe pour le mieux.
"Des moments que nous apprécions"

"Il se sent très à l'aise, assure Luis Suarez. Il a reçu un très bon accueil dans le vestiaire, tout le monde lui a vite fait comprendre qu'il venait pour nous aider à gagner des titres."Tout le monde, et particulièrement Lionel Messi et lui, si l'on en croit l'Uruguayen. En effet, l'ancien joueur de Liverpool a expliqué qu'Antoine Griezmann dînait parfois avec eux. "Ce sont des moments que nous apprécions, glisse-t-il. Des moments qui nous permettent de mieux faire connaissance, de partager des anecdotes et des souvenirs." Reste désormais à concrétiser de manière plus régulière cette entente sur le terrain.

En plus (rire)dans un pays ou ils ont 300 jours de soleil dans une année il se trouve nettement mieux que d'autres pays ou il pleut des trombes et ou il fait froid!.











"Revenant à Ryad Mehrez"

"L'EXPRESSION" du 6/12/2019 à 14h29mn11


En signant son 50e but en Premier League

Mahrez répond à Guardiola

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, quelques heures après avoir été classé 10e meilleur joueur mondial, Riyad Mahrez s’est retrouvé sur le banc des remplaçants de Manchester City face à Burnley (victoire 4-1), mardi dernier.

La 10e place occupée par l’Algérien Riyad Mahrez dans le classement du Ballon d’or 2019 ne semble pas pour autant changer la donne pour le joueur avec Manchester City. La preuve a été donnée, quelques heures après, par son entraîneur, Pep Guardiola, qui l’a laissé sur le banc des remplaçants lors du déplacement chez Burnley. Au moment où tout le monde s’attendait à une titularisation du champion d’Afrique algérien, le technicien espagnol a eu un autre avis, puisqu’il ne l’a incorporé que lors des 20 dernières minutes. 20 minutes qui ont largement suffi à Mahrez pour tirer son épingle du jeu. Alors que son équipe dominait (3-0) grâce à un doublé de Gabriel Jesus et un but de Rodrigo, Mahrez prend la place de Sterling. 5 minutes après, Mahrez réussit à trouver le chemin des filets d’une frappe croisée à ras de terre du pied droit depuis les 20 mètres. Avec cette réalisation, Mahrez atteint un record inédit pour un joueur algérien, en totalisant 50 buts en Premier League. Ses performances, chaque fois qu’il est aligné, poussent les supporters de son club à faire le forcing sur l’entraîneur Guardiola pour lui donner plus de temps de jeu, étant donné, selon eux, que cela ne peut qu’être bénéfique pour leur équipe. Mais le technicien ibérique ne semble pas l’entendre de cette oreille, lui qui a indiqué récemment que « Mahrez est un excellent joueur, mais qui peut encore mieux faire ». Une manière pour lui de justifier ses choix, qui ne cessent d’être critiqués pour un joueur qui, malgré le temps de jeu réduit dont il dispose, donne entière satisfaction et apporte le plus escompté quand on lui fait appel. Samedi prochain, place au grand derby de Manchester, lorsque les Skyblues recevront les Reds Devils à partir de 18h30. Une rencontre où Mahrez n’a que peu de chances de débuter avec le « Onze » de départ selon la conception de Guardiola. Chose qui a poussé plusieurs observateurs à prédire déjà un éventuel départ du capitaine de l’EN algérienne des rangs des Cityzens. Une option qui n’est pas à écarter, surtout que la situation ne semble pas se régler pour lui.

M

"Moi je dis"

Que Pepsi cola...à besoin d'un coup de boulet!.

"PSG"

Les rumeurs vont bon train: avec le retour de Carlos Ancellotti.

Mbappé dans le viseur du Réal:

par Taboola


Foot - Mercato - PSG

Mercato - PSG : Le Real Madrid a bien fixé une grande condition à Kylian Mbappé !
Publié le 4 décembre 2019 à 10h15 par A.M.
Toujours dans le viseur du Real Madrid, Kylian Mbappé ne pourra toutefois pas rejoindre le club madrilène si facilement. Pour cela, il doit refuser de prolonger au PSG.

Dans les prochains mois, Kylian Mbappé va être au centre de nombreuses rumeurs de transfert. Il faut dire que l’attaquant du PSG est l’une des priorités du Real Madrid qui serait disposé à réaliser un transfert record pour attirer le Champion du monde l’été prochain. Une situation qui inquiète et qui agace du côté du Paris Saint-Germain, à tel point que Leonardo a récemment reconnu avoir entamé les discussions avec le clan Mbappé pour une prolongation.

Le Real Madrid ne veut pas que Mbappé prolonge




Et c’est bien là le problème. Sous contrat jusqu’en juin 2022 avec le PSG, Kylian Mbappé ne semble pas encore concerné par cette question. Et pourtant, selon les informations de Marca, le Real Madrid aurait fixé une condition à l’attaquant français, à savoir ne pas prolonger son bail avec le club de la capitale. En effet, s’il signe un nouveau contrat au PSG, son prix, déjà ahurissant, risque d’encore augmenter. Et surtout, cela offrirait un atout de poids à Leonardo dans les négociations pour conserver Kylian Mbappé. Par conséquent, s’il souhaite partir, l’attaquant français sait ce qu’il lui reste à faire.

"Il n'y a pas de miracle"

Celui qui achète les meilleurs joueurs reste en tête et fait les meilleurs recettes!...c'est la loi dans le sport./

"Mercato - PSG : Neymar, Griezmann… Zidane ne craindrait pas le Barça pour Mbappé !"

Publié le 6 décembre 2019 à 10h45 par A.D.
Le FC Barcelone aurait l’intention d’offrir un chèque de 120M€ en plus d’Ousmane Dembélé et Antoine Griezmann pour s’attacher les services de Kylian Mbappé. Le Real Madrid de Zinedine Zidane ne prendrait pas au sérieux le projet barcelonais.

Zinedine Zidane ne redouterait en aucun cas le Barça en ce qui concerne Kylian Mbappé. Depuis son éclosion à l’AS Monaco, le Real Madrid serait prêt à tout pour attirer le natif de Bondy vers le Santiago Bernabeu. Selon les informations d’OK Diario, divulguées ce mercredi, le FC Barcelone serait prêt à concurrencer la Maison-Blanche pour Kylian Mbappé. Dans cette optique, le club blaugrana serait prêt à offrir Ousmane Dembélé et Antoine Griezmann en plus d’une enveloppe de 120M€ pour faire plier Nasser Al-Khelaïfi et Leonardo, respectivement président et le directeur sportif du PSG.

Une vengeance du Barça après le feuilleton Neymar ?

Malgré tout, Zinedine Zidane ne serait pas du tout inquiet. A en croire les dernières indiscrétions d’OK Diario, le coach du Real Madrid resterait confiant. Zinedine Zidane s’attendrait à un coup de bluff de la part du Barça. Une stratégie motivée par la vengeance et dans le but de faire gonfler le prix de Kylian Mbappé. D’après le média espagnol, le club blaugrana n’aurait pas apprécié l’entrée en scène du Real Madrid dans le dossier Neymar lors de la dernière fenêtre de mercato.

On dit que Nasser Al-Khlelaifi veut 1 milliards € pour Mbappé!.

"Tuchel comme Pep"

l'un qui laisse Cavani et l"autre Mahrez sur les bancs...des tas de Combines! pour le mercato...chacun cours après les meilleurs offre...c'est comme la bourse?.

"C'est pourquoi, la raison du Barça"

La machine a marquer des buts; reste le meilleurs!.

"Le parisien: avec un peu de nostalgie!"

Exposition : qui était Larbi Ben Barek, la première star du football arabe ?

Bien avant Kopa, Platini ou Zidane, la «perle noire» de Casablanca, encensée par Pelé, fit briller le football français. Une exposition à l’Institut du monde arabe, inaugurée ce mercredi, met à l’honneur cette étoile oubliée.

Si Ben Barek, ici en 1958, n’a été sélectionné que 17 fois en équipe de France, il reste le joueur détenteur de la plus longue carrière en Bleu, 15 ans et dix mois au total.
Si Ben Barek, ici en 1958, n’a été sélectionné que 17 fois en équipe de France, il reste le joueur détenteur de la plus longue carrière en Bleu, 15 ans et dix mois au total. PRESSE SPORTS

Par un étonnant alignement des dates, la venue de Pelé à Paris a précédé de quelques jours l'ouverture, à l'Institut du monde arabe (IMA), d'une exposition où il est largement question de Larbi Ben Barek. Si la jeune génération ignore tout, ou presque, de ce dernier, l'icône brésilienne s'était montrée dithyrambique à son sujet au mitan des années 1970.

Lors d'un séjour au Maroc, Pelé lui avait même offert, en signe de déférence, un maillot de Santos floqué du 10 avant de s'exclamer, péremptoire : « Si je suis le roi du football, alors Ben Barek en est le dieu. » L'ampleur et la qualité de l'éloge étaient à la mesure du gamin pauvre du quartier de la Ferme-Blanche à Casablanca, surnommé, au temps de sa splendeur, la « perle noire ».

Décédé dans l'indifférence générale en septembre 1992, Ben Barek était un artiste dans l'acception même du terme. Il a incarné le football à l'état pur dans ce que ce sport peut proposer de beau et de joyeux. Pendant près de deux décennies, il subjugua les foules par sa détente de félin, son habileté de passe et ses dribbles incomparables. Tout en lui était élégance, fluidité, harmonie, équilibre, mais aussi sens de l'esthétique et du spectacle. Il aurait, à l'évidence, rencontré la même gloire que Pelé si les médias et la télévision avaient eu à son époque l'impact qui est le leur de nos jours.

Mélange de Zidane et Mbappé

Il y a quelques années déjà, l'ancien footballeur Just Fontaine livrait un témoignage édifiant : « Il était de la trempe de Pelé et de Di Stefano, assurait le meilleur buteur du Mondial 1958 (13), qui l'avait affronté avec Nice en finale de la Coupe de France 1954 (2-1). Pelé reste pour moi le plus grand, mais il a été la première idole parce que la télé existait. Ce qui n'était pas le cas de Ben Barek, dont le génie n'a donc pas pu être connu, vu de tous. Et pourtant, autant à l'OM, qu'au Stade Français comme à l'Atlético de Madrid, il a inventé des gestes, des feintes que j'ai vu d'autres imiter plus tard. Il marquait, faisait marquer. Et c'était un remarquable athlète, aux abdos impressionnants. »

Jean Molla, l'ex-défenseur de Marseille âgé aujourd'hui de 85 ans, abonde. « J'ai eu, à 21 ans, l'immense honneur de jouer mon premier match en D1 à ses côtés à Lens, en mars 1955, nous dit-il. Cela reste un souvenir mémorable, un privilège. Quel talent. Il avait près de 40 ans (NDLR : il est né officiellement le 16 juin 1917), mais il demeurait au-dessus du lot, doté d'une technique hors du commun comparable à celle de Zidane. »

«Il était d'une rare simplicité»

Débarqué à Marseille à l'âge de 20 ans, Ben Barek devint très vite international. Mais il ne remporta aucun trophée national en raison notamment du second conflit mondial. Avant-centre à ses débuts, il scintilla de mille feux dans un rôle d'inter, c'est-à-dire une sorte de milieu offensif actuel. L'Espagne, de 1949 à 1953, a su l'apprécier à sa juste valeur comme, avant elle, le public parisien.

« J'ai rejoint le Stade Français un an après son départ. Il y avait laissé une trace indélébile. C'était un très grand, insiste Dominique Colonna, l'ancien gardien de but international. Je l'ai affronté à la fin de sa carrière. Mon beau-père, l'ex-international Edmond Delfour, l'avait également connu à son arrivée en métropole à la fin des années 1930 et il m'en parlait aussi en des termes très élogieux. Il y a un peu de Ben Barek chez Mbappé. Il avait tous les dons mais aucune once de suffisance. Il était d'une rare simplicité, d'une immense gentillesse. »


L'ami de Marcel Cerdan


En 1949, l'Atlético de Madrid, à la faveur d'une tournée à Paris et Reims, tombe sous le charme du joyau marocain, qui vivait alors avec sa famille dans un deux-pièces à Boulogne-Billancourt, en face des usines Renault. Cette cour assidue irrita la presse sportive hexagonale : « On peut vendre la tour Eiffel et l'Arc de triomphe, mais Ben Barek jamais ! »


Peine perdue. Celui-ci devient le transfert le plus onéreux de l'époque (17 millions de francs). Chez les Colchoneros, il gagne un nouveau surnom, « le pied de dieu », rafle deux fois la Liga avant un retour aux sources du plaisir à Marseille, à l'été 1953, là où tout avait commencé.

S'il ne compte, au total, que 17 sélections en équipe de France (pour trois buts), il reste le joueur détenteur de la plus longue carrière en Bleu. Quinze ans et dix mois séparent sa première sélection, le 4 décembre 1938 à Naples de la dernière, le 16 octobre 1954 face à l'Allemagne championne du monde. Pour sa première, sous les sifflets de supporteurs transalpins fascisants, l'ami de Marcel Cerdan, avec lequel il avait tapé à Casablanca ses premiers ballons de fortune, avait entonné la Marseillaise à tue-tête et renoncé aux chaussures à crampons, dont il n'avait pas l'habitude, pour se produire en savates.


Pour l'anecdote, il doit son ultime cape à Hanovre au public : nous sommes alors à l'automne 1954, Ben Barek n'a plus évolué en sélection depuis 1948 quand il se produit au Parc des Princes pour un match amical France-Afrique du Nord… sous le maillot de l'Afrique du Nord. Il brille tellement que les spectateurs réclament, et obtiennent le retour chez les Bleus de celui qui est pourtant resté, toute sa vie, de nationalité… marocaine.

"Légende: la race des seigneurs" Wikipédéa

Lakhdar Belloumi






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Lakhdar Belloumi
Image illustrative de l’article Lakhdar Belloumi
Belloumi avec GC Mascara.

Biographie


Nom
Lakhdar Belloumi

Nationalité
Drapeau : Algérie Algérien

Naissance
29 décembre 1958 (60 ans)

Lieu
Mascara (Algérie)

Taille
1,78 m (5′ 10″)

Poste
Meneur de jeu

Parcours junior

Saisons Club

1973-1974 Drapeau : Algérie OS Mascara

Parcours amateur

Saisons Club

1974-1976 Drapeau : Algérie OS Mascara
1976-1977 Drapeau : Algérie SKAF El Khemis

Parcours professionnel1

Saisons Club M.(B.)

1977-1987 Drapeau : Algérie GC Mascara 86 (56)
1978-1979 Drapeau : Algérie MC Oran 25 (11)
1979-1981 Drapeau : Algérie MC Alger 30 (10)
1987-1990 Drapeau : Algérie MC Oran 83 (48)
1988 Drapeau : Qatar Al-Arabi SC 6 (5)
1990-1999 Drapeau : Algérie GC Mascara 92 (37)
1991-1992 Drapeau : Algérie USM Bel-Abbes 40 (20)
1993-1994 Drapeau : Algérie MC Oran 27 (6)
1996 Drapeau : Algérie MC Oran 11 (2)
1997-1998 Drapeau : Algérie ASM Oran 17 (9)
1977-1998 Total 417 (213)

Sélections en équipe nationale2

Années Équipe M.(B.)

1977-1978 Drapeau : Algérie Algérie juniors 4 (2)
1978-1989 Drapeau : Algérie Algérie 100 (27)1
1989 Drapeau : Algérie Algérie futsal 3 (1)

Équipes entraînées

Années Équipe Stats

2001-2002 Drapeau : Algérie MC Oran
2002-2003 Drapeau : Algérie USM Bel-Abbès
2003 Drapeau : Qatar Umm-Salal SC
2004-2005 Drapeau : Algérie Algérie
2005-2006 Drapeau : Algérie GC Mascara
2017-2018 Drapeau : Algérie GC Mascara
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels.

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Lakhdar Belloumi (en arabe : لخضر بلومي), né le 29 décembre 1958 à Mascara, est un footballeur international algérien, jouant au poste de milieu offensif. Il compte 100 sélections en équipe nationale entre 1978 et 1989 (147 sélections non reconnus par la FIFA)2 et un total de 27 buts (34 buts non reconnus par la FIFA)3.

Sacré Ballon d'or africain en 1981, il est considéré comme le meilleur joueur algérien de tous les temps4, et l'un des meilleurs au niveau africain et mondial, Il est l'inventeur de la passe aveugle5,6. Il formait avec Salah Assad et Rabah Madjer, le trio de joueurs excellents techniquement de l'équipe nationale d'Algérie des années 1980 qui a particulièrement marqué le football algérien7. Il a été élu quatrième footballeur africain du siècle derrière George Weah, Roger Milla et Abedi Pelé.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et début de carrière[modifier | modifier le code]

Né dans une famille modeste au Faubourg Faidherbe à Mascara, Lakhdar est le cadet des fils de Si Bachir Belloumi, ouvrier agricole. Il signe sa première licence à 14 ans au sein de la catégorie minime de l'Olympique Sempac de Mascara, équipe d'une entreprise nationale évoluant à l'époque en DH. Un an plus tard il est repéré pour être surclassé chez les cadets. À 16 ans, il est titularisé en équipe senior, son premier match contre CRB El-Amria (Ain Témouchent) se solde par une victoire 3-0.

À 17 ans il doit s'exiler à 150 km du foyer familial pour signer au SCAF El-Khemis en Division 2. Son choix aurait été guidé par le besoin d'alléger la charge de son père en ramenant un revenu supplémentaire à la famille, et surtout par la fait que pour opter pour le Ghali Club de Mascara, la licence B est de rigueur. Cette même année il est convoqué en Équipe nationale algérienne Junior aux côtés déjà de Merezkane, Kaci-Saïd et Madjer.

Un an plus tard il revient dans sa ville natale pour intégrer le GC Mascara. Puis il rejoint le MC Oran sous les ordres de Saïd Amara, une année après son retour à Mascara.

Carrière de joueur[modifier | modifier le code]

Révélation[modifier | modifier le code]

Au MC Oran, il évolue aux côtés de Miloud Hadefi, Sid Ahmed Belkedrouci ou encore Tedj Bensaoula. Cette saison il finit co-meilleur buteur du championnat avec 11 buts avec Bousri Abdeslem MPA et Guemri Redouane ASCO, avant d'être convoqué en équipe nationale A. Il n'a pas encore 20 ans (19 ans 3 mois et 7 jours) quand il disputa sa première rencontre officielle avec l'EN de Khallef Mahieddine (le 05/04/1979 Algerie 1-0 Mali qualification aux JO 1980 et il marqua son premier but. du 01/01/79 au 31/12/79 il participa à 10 des 11 rencontres officielles de l'Algérie et marqua 5 buts au total (Année 1979).

En 1979/1980, il rejoint le MP Alger le champion d'Algérie des 2 précédentes saisons, dans le cadre de son service militaire qu'il effectue à Alger où il jouera deux saisons le temps qu'il termine son service. Il ne disputera qu'à peine la moitié des 68 matchs de son équipe et ne marquera que 10 "petits buts". Depuis son arrivée il a porté la poisse à ce club qui cessera de gagner des titres.

En décembre, il est le meneur de l'équipe nationale d'Algérie qui battra le Maroc 5-1 à Casablanca et 3-0 à Alger lors des qualifications aux Jeux olympiques.

Belloumi l'africain[modifier | modifier le code]

En mars 1980, il emmène l'équipe nationale9 jusqu'en finale de la CAN pour la première fois de son histoire et malgré la défaite face au pays organisateur, en l'occurrence le Nigeria, au stade du Suruleré il sera élu meilleur attaquant du tournoi10. En juillet, ce sont les Jeux olympiques de Moscou où il se distingue menant l'Algérie en quarts de finale se faisant ainsi connaître sur le plan international [1] [archive]. En septembre, il souffre de sa première grande blessure, face à l'USM El Harrach qui l'éloigne des terrains pendant quatre mois, le contraignant à une opération du ménisque. Il manque les quarts de finale du MPA face au Canon Yaoundé de Thomas N'Kono.

Son retour en 1981 est décisif11 en équipe nationale puisque après un doublé face au Niger et un autre face au Burkina Faso, il participe à la qualification au Mondial 1982 inscrivant un but lors de chacune des deux parties face au Nigeria au mois d'octobre. Il reçoit un Ballon d'or africain remis par France Football avant la rencontre retour contre le Nigéria à Constantine où il marque le premier but, l'Algérie sortant vainqueur par deux buts à un. Bien que convoité par de grands clubs tels que le FC Barcelone, le Paris SG, la Juventus et le grand Real Madrid dès années 1980 [2] [archive], il retourne chez lui en signant au modeste GC Mascara lors de la saison 1981-1982.

Coupe du monde de football 1982[modifier | modifier le code]

L'année 1982 débute mal, puisqu'à la CAN, Belloumi est gêné par une pubalgie. Trois mois plus tard c'est le Mondial en Espagne de 1982 où il marque le but de la victoire (2-1) face aux Allemands de l'Ouest champions d'Europe en titre, le 16 juin 1982. La rencontre suivante, entre l'Allemagne de l'Ouest et l'Autriche donne lieu à un non-match retentissant surnommé par la suite « Le match de la honte ». Une victoire 1-0 de l'Allemagne de l'Ouest permet aux deux équipes de se qualifier et a pour conséquence l'élimination de l'Algérie. Certaines voix dénoncent un accord entre les deux équipes. Pour éviter le renouvellement de ce genre de problème, la FIFA décide qu'à l'avenir, les deux derniers matchs de chaque groupe auront lieu en même temps12. Ce principe est plus tard étendu aux derniers matchs des phases de qualification.

Les sollicitations pleuvent pour le maestro algérien, mais le règlement de la Fédération algérienne de football interdisait à l'époque tous joueur Algérien de moins de 28 ans de quitter le pays pour un club étranger sans une autorisation spéciale, sur décision du président de l'époque Chadli Bendjedid.

En juillet, il est sélectionné dans l'équipe du reste du monde aux côtés de Zico, Sócrates ou encore Falcão pour jouer contre les meilleurs joueurs européens à New York13, il marque, à Dino Zoff le gardien italien champion du monde 1982, l'un des deux buts de son équipe tout en jouant les 90 min. Pélé, très impressionné par l'incroyable talent de Belloumi lui aurait dit ces mots en fin de partie « you are a great player »
Le 15 mars 1985 à Tripoli, lors de la manche retour de la Coupe des Clubs Champions. Il est victime d'une fracture de la jambe causée par le libéro d'Al Ittihad Tripoli Abu-Bakr Bani qui l'aurait déjà menacé à Mascara15. Il revient sur les terrains six mois plus tard. Il est au rendez-vous avec son club dès le mois de septembre et surtout avec l'équipe nationale. Son « come-back » pour le dernier tour des éliminatoires de la Coupe du monde face à la Tunisie est comme cinq ans auparavant à Casablanca marqué par une victoire 4-1 à l'extérieur et 3-0 à domicile.

En 1986 l'équipe du Real Murcie qui joue en première division espagnole tente de le recruter, mais les négociations échouent. Lakhdar signe par la suite au MC Oran (MCO) pour y décrocher son deuxième titre de champion d'Algérie. La CAN 1988 qu'il prédit déjà comme sa dernière prestation, il est deux fois buteur dans le tournoi, mais il rate pourtant le dernier tir au but en demi-finale face au Nigeria. Il termine quand même meilleur buteur du tournoi avec Roger Milla, Abdoulaye Traoré et Gamal Abdel Hamid.

Après la coupe d'Afrique des nations, il signe son seul contrat professionnel de sa carrière dans un club étranger au Qatar avec le prestigieux club Al-Arabi Sports Club ou il terminera quatrième au classement du championnat.

Il retourne après au MC Oran où il essaie de décrocher la coupe d'Afrique des clubs champions renommé actuellement ligue des champions de la CAF, mais le club sera battu en finale aux tirs au but par un ténor marocain, le Raja CA.

Belloumi qui brille avec le MCO10,16 est écarté par Abdelhamid Kermali lors de la phase finale de la coupe d'Afrique en 1990 à Alger car en décembre 1989, lors du fameux Égypte-Algérie décisif pour la coupe du monde, match perdu par 1 à 0, il fut injustement accusé par les médias égyptiens d'avoir blessé un médecin égyptien, alors qu'il se trouvait au 7e étage de l'hôtel en compagnie justement de Kermali. Ce dernier mit 20 ans pour affirmer que Belloumi était avec lui lors de l'incident dont le coupable était Kadri, le gardien remplaçant. Déjà, le courant ne passait pas entre Belloumi en Kermali qui l'écarta carrément de l'équipe nationale et ce fut la longue traversée du désert pour la sélection algérienne avec l'affaire Kharouf (JSK) et le fameux discours de Kermali " El mouhim, hiya el moucharaka" c'est-à-dire l'essentiel est d'y participer 17,18.

Sa dernière saison avec le grand club du MC Oran se termine en 1993/1994 avant de rentrer définitivement dans sa ville natale pour y jouer encore cinq saisons à l'échelon inférieur avant de raccrocher définitivement en 1999 à l'âge de 40 ans. Rongé par le démon du football et courtisé par l'ASM Oran, il signa pour cette formation pour 6 mois. L'année d'après, il rempila pour le RCG Oran.
Lakhdar Belloumi est l'un des rares joueurs au monde à avoir joué avec toutes les catégories nationales, il commence en 1974 avec les cadets, passant par les juniors en 1977, l'équipe olympique en 1979 ainsi que l'équipe militaire en 1979.

Avec l'équipe A, Il compte en totalité 147 selections dont 98 fois contre des pays et 46 fois contre des clubs étrangés et compte 34 buts mais selon la fifa, il totalise un chiffre record de 100 sélections de 1978 à 1989 faisant de lui le joueur le plus capé de l'équipe nationale d'Algérie et 27 buts inscrits car beaucoup de matchs n'étaient pas reconnus par la fédération internationale.