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"Panama Papers : nouvelles révélations sur Farid Bedjaoui et Chakib Khelil"

Publié le 10/02/2020
"Panama Papers" Yacine Babouche: nouvelles révélations sur Farid Bedjaoui et Chakib Khelil: Le Consortium International des Journalistes d’investigation (ICIJ) à l’origine des révélations des « Panama Papers » a découvert que l’entreprise panaméenne Mossack Fonseca a créé 12 des 17 sociétés-écrans liées à Farid Bédjaoui sur lesquelles la Justice italienne enquête pour des faits de corruption entre 2007 et 2010. De nouvelles révélations entrant dans le cadre du scandale des « Panama Papers » mettent en lumière l’utilisation de sociétés écrans par des entrepreneurs et officiels de pays africains, dont l’Algérie, pour dissimuler les profits générés par la vente de ressources naturelles et les pots-de-vin payés pour avoir accès à celles-ci, rapporte le New York Times ce lundi. Le journal américain cite notamment le cas majeur de Farid Bedjaoui, accusé par la justice italienne d’avoir distribué 275 millions de dollars en pots-de-vin pour permettre à Saipem de remporter des contrats en Algérie d’une valeur de 10 milliards de dollars. Surnommé « Mr. 3% » au titre de sa commission présumée, Farid Bedjaoui a nié les accusations, rappelle le journal. 15 millions de dollars aux associés et à la famille de Khelil Le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), à l’origine des révélations des « Panama Papers », a découvert que l’entreprise panaméenne Mossack Fonseca a créé 12 des 17 sociétés-écran liées à Bedjaoui sur lesquelles la justice italienne enquête pour des faits de corruption entre 2007 et 2010, explique le New York Times. L’une de ces entreprises, Collingdale Consultants Inc., a été utilisée pour détourner jusqu’à 15 millions de dollars aux associés et à la famille de Chakib Khelil, selon les accusations de la justice italienne rapportées par le journal. Farid Bedjaoui est accusé d’avoir tissé une toile complexe pour dissimuler son argent, avec seize comptes bancaires en Algérie, à Dubaï, à Hong Kong, au Liban, à Londres, à Singapour et en Suisse, indique le New York Times qui rappelle également que ses actifs ont été saisis au Canada et en France, où la police a saisi un yacht de 42 mètres et des peintures artistiques d’Andy Warhol, Joan Miró et Salvador Dalí. Les autorités américaines examinent également trois propriétés acquises par Bedjaoui, incluant une propriété sur la célèbre Cinquième Avenue de Manhattan (New York) d’une valeur de 28.5 millions de dollars. Bien que l’enquête ayant visé Bedjaoui a été rendue publique en février 2013, des emails internes de Mossack Fonseca suggèrent que la firme n’a remarqué ses déboires que sept mois plus tard, en effectuant une recherche internet sur un autre client. Alors que Mossack Fonseca a signalé les activités de Farid Bedjaoui aux autorités des Iles Vierges Britanniques en 2013, la firme a tout de même continué à travailler avec l’une de ses entreprises, Rayan Asset Management, au moins jusqu’au mois de novembre 2015".
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"Panama Papers : nouvelles révélations sur Farid Bedjaoui et Chakib Khelil"

Panama Papers : nouvelles révélations sur Farid Bedjaoui et Chakib Khelil
Aguelid Aguelid, 4 ans de cela 3 min de lecture 134
farid_bedjaoui_chakib_khelil

Le Consortium International des Journalistes d’investigation (ICIJ) à l’origine des révélations des « Panama Papers » a découvert que l’entreprise panaméenne Mossack Fonseca a créé 12 des 17 sociétés-écrans liées à Farid Bédjaoui sur lesquelles la Justice italienne enquête pour des faits de corruption entre 2007 et 2010.

De nouvelles révélations entrant dans le cadre du scandale des « Panama Papers » mettent en lumière l’utilisation de sociétés écrans par des entrepreneurs et officiels de pays africains, dont l’Algérie, pour dissimuler les profits générés par la vente de ressources naturelles et les pots-de-vin payés pour avoir accès à celles-ci, rapporte le New York Times ce lundi.

Le journal américain cite notamment le cas majeur de Farid Bedjaoui, accusé par la justice italienne d’avoir distribué 275 millions de dollars en pots-de-vin pour permettre à Saipem de remporter des contrats en Algérie d’une valeur de 10 milliards de dollars. Surnommé « Mr. 3% » au titre de sa commission présumée, Farid Bedjaoui a nié les accusations, rappelle le journal.

15 millions de dollars aux associés et à la famille de Khelil

Le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), à l’origine des révélations des « Panama Papers », a découvert que l’entreprise panaméenne Mossack Fonseca a créé 12 des 17 sociétés-écran liées à Bedjaoui sur lesquelles la justice italienne enquête pour des faits de corruption entre 2007 et 2010, explique le New York Times. L’une de ces entreprises, Collingdale Consultants Inc., a été utilisée pour détourner jusqu’à 15 millions de dollars aux associés et à la famille de Chakib Khelil, selon les accusations de la justice italienne rapportées par le journal.

Farid Bedjaoui est accusé d’avoir tissé une toile complexe pour dissimuler son argent, avec seize comptes bancaires en Algérie, à Dubaï, à Hong Kong, au Liban, à Londres, à Singapour et en Suisse, indique le New York Times qui rappelle également que ses actifs ont été saisis au Canada et en France, où la police a saisi un yacht de 42 mètres et des peintures artistiques d’Andy Warhol, Joan Miró et Salvador Dalí. Les autorités américaines examinent également trois propriétés acquises par Bedjaoui, incluant une propriété sur la célèbre Cinquième Avenue de Manhattan (New York) d’une valeur de 28.5 millions de dollars.

Bien que l’enquête ayant visé Bedjaoui a été rendue publique en février 2013, des emails internes de Mossack Fonseca suggèrent que la firme n’a remarqué ses déboires que sept mois plus tard, en effectuant une recherche internet sur un autre client. Alors que Mossack Fonseca a signalé les activités de Farid Bedjaoui aux autorités des Iles Vierges Britanniques en 2013, la firme a tout de même continué à travailler avec l’une de ses entreprises, Rayan Asset Management, au moins jusqu’au mois de novembre 2015.
"Le golden boy"

Il vit paisiblement comme son acolyte le zouiman....entre Manhattan, Beyrouth, et les pays du golfe...depuis des décennies la DRS algérienne n'arrive pas à mettre la main dessus!.
Mandat d'arrestation d'Interpol contre Farid Noureddine Bedjaoui








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Radio-Canada
Publié le 26 avril 2014
L'homme d'affaires Farid Noureddine Bedjaoui, qui détient la citoyenneté algérienne, française et canadienne, est recherché par Interpol pour « associations de malfaiteurs ». Il est mis en cause dans l'affaire des pots-de-vin impliquant la compagnie pétrolière Saipem et le groupe public algérien Sonatrach.

C’est à la demande des autorités italiennes que le mandat d’arrêt a été lancé, précise le site de l’organisation internationale de police, qui compte 190 États membres.

Le nom de Farid Bedjaoui, neveu de l’ancien ministre algérien des Affaires étrangères, est également cité dans des allégations de corruption impliquant la firme d'ingénierie montréalaise SNC-Lavalin pour laquelle il agissait à tire de consultant.

L'homme de 44 ans aurait aidé la compagnie québécoise à obtenir des contrats d'une valeur de près de 1 milliard de dollars avec l'entreprise publique algérienne des hydrocarbures, Sonatrach, en échange de pots-de-vin(Nouvelle fenêtre).

SNC-Lavalin avait alors admis que Farid Bedjaoui était lié à certaines entreprises qui avaient des contrats avec ses filiales. « Ces contrats étaient négociés par d'anciens salariés de notre entreprise et, autant que nous sachions, étaient à l'époque des ententes d'affaires ordinaires », avait précisé la porte-parole de SNC-Lavalin Leslie Quinton, en février 2013.

Que reproche-t-on à Farid Bedjaoui?

Les autorités suisses et italiennes soupçonnent le Canadien Farid Bedjaoui d'avoir servi d'intermédiaire dans des paiements suspects de près de 200 millions de dollars provenant de diverses entreprises.
SNC-Lavalin ferait partie du lot, mais également Saipem, une importante compagnie de services pétroliers, filiale du groupe pétrolier italien ENI.
L'Algérie et l'Italie ont lancé un mandat d'arrêt international contre lui. Il est soupçonné de malversations, de corruption et de détournement de biens publics.
"Un véritable fennec"

Il ne dort jamais deux nuits dans le même endroit...
Interpol aux trousses du Canadien Farid Bedjaoui

Arrête moi si tu peux...il a même inspiré Steven Spielberg Arrête-moi si tu peux est un film réalisé par Steven Spielberg avec Leonardo DiCaprio, Tom Hanks.
il possède toutes les nationalités

Rusé ...son oncle un ancien ministre deMohamed Bedjaoui, né le 21 septembre 1929 à Sidi-Bel-Abbès, est un juriste, haut fonctionnaire, diplomate et homme politique algérien. Il a occupé plusieurs postes d’importance en Algérie et à l’étranger.
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