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"Coronavirus: l’Europe à l’heure des premières tentatives de déconfinement"

Publié le 19/04/2020
"La NATION" Il ya 5 jours" Coronavirus: l’Europe à l’heure des premières tentatives de déconfinement.
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"Une petite lueur d'espoir"


Après l’Espagne lundi, l’Autriche a commencé mardi à sortir de son confinement avec une réouverture prudente de ses petits commerces et de ses jardins publics, à la faveur d’un ralentissement de la pandémie de coronavirus constaté en Europe mais aussi à New York.

« Je me réjouis de pouvoir acheter à nouveau des fleurs », confie Anita Kakac, 75 ans, une retraitée sortie tout exprès sous un soleil printanier, près de la gare Westbahnhof de Vienne.

Après l’Espagne lundi, l’Autriche a commencé mardi à sortir de son confinement avec une réouverture prudente de ses petits commerces et de ses jardins publics, à la faveur d’un ralentissement de la pandémie de coronavirus constaté en Europe mais aussi à New York.

Parmi les premiers pays de l’UE à avoir invité ses habitants à rester chez eux, la petite république alpine se veut aussi à la pointe en matière de déconfinement, avec une reprise d’activité des commerces non essentiels.

« Je me réjouis de pouvoir acheter à nouveau des fleurs », confie Anita Kakac, 75 ans, une retraitée sortie tout exprès sous un soleil printanier, près de la gare Westbahnhof de Vienne.

Fatih Altun, gérant d’un petit magasin de réparation de téléphones portables, se réjouit également de pouvoir réouvrir son échoppe: « J’ai perdu 5 à 6.000 euros de chiffre d’affaires et j’ai dû licencier mon unique employé », soupire-t-il.


APA/AFP / Erich SPIESSDes clients font la queue devant un magasin à Innsbrück, le 14 avril 2020
Les clients doivent cependant impérativement porter un masque. L’Autriche compte moins de 400 morts du Covid-19 pour un population de 9 millions d’habitants, comparable à celle de la seule ville de New York.

Plusieurs pays envisagent désormais de lui emboîter le pas dans les prochaines semaines.

– « Plateau » –

Lundi, le président français Emmanuel Macron a évoqué une levée des restrictions et une réouverture progressive des écoles à compter du 11 mai en France, premier des grands pays les plus touchés (près de 15.000 décès) à s’engager dans cette voie.

« L’épidémie commence à marquer le pas », a relevé le chef de l’Etat français. Les bars, restaurants ou cinémas y resteront toutefois fermés jusqu’à nouvel ordre, tout comme les frontières avec les pays non-européens.

"Il est certain"

Que plus rien ne sera comme avant!.

1) que le port du masque restera obligatoire.
2) ce serrer les mains et les embrassades seront terminées.
3) maintenir une distance d'1 m obligatoire.
4) certaines précautions seront nécessaires tels le port des gants dans le transport en communs.
5) désinfecter les mains à l' entrée de tous les magasins sera obligatoire.
6) les réunions, cinémas, théâtres, Zénith...seront a éviter.
7) les restaurants!...il vaut mieux manger chez soi.
8) ensemble des hôtels et centres de vacances devront être désinfectés avec affichages d'attestations.
9) boulanger, et autre commerçants devront porter obligatoirement des gants.
10) les piscines a voir?.
11) les restaurants asiatiques?...de quoi se gratter la tête avant d'y renter?.
12) les cabinets médicales et les salles d'attendes...il faudra se blinder avant d'y rentrer? et de ne pas toucher les magazines remplis de microbes!.
Et certainement milles autres choses à prévoir!.
cabinets médicaux,
"L Q O" très bonne analyse"

Solidarité, maître-mot de la situation
par Abdelkrim Zerzouri


Le cadre juridique régissant les relations de travail, qui fait polémique depuis une décennie, revient s'imposer durant cette période inédite, marquée par le confinement imposé par la pandémie du Covid-19, engendrant un changement de la notion de travail avec le risque de fermeture des entreprises et des pertes d'emploi par milliers. Comment s'adapter à ce nouvel environnement socioéconomique très fragile, dès lors que la législation en vigueur n'offre aucune accroche juridique « loyale », ni aux employeurs ni aux travailleurs ? Des voix d'experts commencent à se faire entendre, soulignant l'impératif renforcement du cadre juridique régissant les relations de travail à travers des mesures qui donneraient la permission aux employeurs de mettre en place un mécanisme adaptée à la situation d'urgence, dont le recours au travail partiel et le télétravail, avec tous corollaires sur le plan du contrat de travail et du salaire. Ces mêmes experts soulignent dans ce contexte l'urgence de mettre au point une telle législation, car les employeurs font face actuellement à un effarant vide juridique en matière de gestion du personnel qui pourrait donner lieu à d'innombrables conflits individuels. A commencer par cette obligation faite aux employeurs publics et privés de libérer 50% du personnel des entreprises des secteurs publics et privées dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus, dont l'application reste « appréciée » selon les humeurs des uns et des autres. Car, certains employeurs, pour éviter de payer des travailleurs mis au « repos forcé », ont trouvé l'astuce de mettre les concernés en congé, soit en liquidant les reliquats de jours de congé ou d'anticiper le congé annuel. Pas question, donc, de les payer sans travail effectif accompli. Pourtant, le décret exécutif relatif aux dispositions de prévention et lutte contre la Covid-19 du 22 mars 2020, et celui complémentaire datant du 25 mars de la même année, parle dans ce contexte d'un « congé exceptionnel rémunéré » pour la période arrêtée par lesdits décrets, totalement en contradiction, donc, avec la pratique en question qui consiste à mettre les

travailleurs concernés en congé annuel ou en liquidant leurs reliquats des congés. Un dossier potentiellement conflictuel, selon les affirmations de juristes, que dire alors du recours au congé sans solde, dont l'idée germe dans certains esprits, soutenus par des experts qui veulent saisir cette opportunité pour réformer un Code de travail élevé au rang de sacre en Algérie, du fait de ses dispositions sociales. Pour mémoire, un nouveau Code de travail est en gestation depuis les années 2000, on affirmait même que ses textes étaient fin prêts ces deux ou trois dernières années, mais personne n'a osé s'aventurer à lui faire voir le jour. Pourquoi ? Tout simplement parce que les syndicats qui s'opposent farouchement à toute nouvelle législation touchant aux sacro-saints acquis sociaux, font planer la menace de la protestation musclée si le nouveau Code de travail n'est pas conforme à ces principes. Situation d'urgence sanitaire ou pas, le moment n'est pas bien choisi pour tenter de forcer un quelconque changement dans la législation de travail. Une législation appelée forcément à connaître de profonds changements, mais pas sans concertation avec les partenaires sociaux et à tête reposée du fardeau coronavirus. Quant à cette conjoncture difficile et inédite, la solidarité reste le maître-mot de la situation.
"A P P"
By ABDOU SEMMAR 18 APRIL 2020


"Etude. L’Algérie totalement absente dans le classement des pays les plus sûrs face au Covid-19"

L’Algérie ne figure même pas dans le classement des pays les plus surs face à l’épidémie du coronavirus COVID-19. Une étude mondiale a été réalisée par Deep Knowledge Group, un consortium international privé intervenant dans la high-tech, notamment sur les questions de santé. Et malheureusement, dans cette étude qui répertorie les pays les plus sûrs et efficaces contre la pandémie du COVID-19, l’Algérie est totalement absente.

Pour établir ce classement, des analystes de données ont rassemblé différentes informations, notamment sur la période de confinement et sur la fréquence des infractions aux mesures de restriction. Parmi les autres indicateurs, citons, l’équipement des hôpitaux en temps de crise, le caractère plus ou moins strict des restrictions de déplacements et l’étendue des tests Covid-19. L’Algérie ne fournit aucune donnée fiable et vérifiable à cause du sous-développement archaique de son système de Santé. Les chiffres des autorités algériennes ne sont pas considérées comme fiables par les scientifiques et les spécialistes de la santé publique car l’Etat algérien ne dispose pas de base de données régulièrement actualisées et vérifiables par les experts de l’OMS.

Dans ces conditions, l’Algérie ne peut pas faire partie des 70 pays sûrs et dotés de système de Santé efficaces contre la pandémie du coronavirus COVID-19. L’absence tout simple de l’Algérie dans cette étude internationale démontre le caractère très arriéré de son système de santé et l’incompétence des dirigeants algériens en charge du secteur de la Santé.

Et pourtant, plusieurs pays arabes ont été retenus par l’équipe de Deep Knowledge Group, à l’image d’Oman, le Koweit, Les Emirats Arabes-Unis, l’Arabie Saoudite, la Jordanie ou même la Palestine occupée ! Cela signifie que ces pays sont beaucoup plus développés et sûrs que l’Algérie face à la pandémie du COVID-19. La Palestine, un pays occupée et ravagée par l’occupant Israélien, fournit davantage de données fiables et d’informations crédibles sur la Santé publique que l’Algérie. C’est tout simplement honteux.

En Afrique, le Nigeria ou le Cameroun ont été jugés beaucoup plus fiables que l’Algérie en matière de données scientifiques sur la santé publique. Et de ce fait, ils sont considérés comme des pays beaucoup plus sûrs que l’Algérie.

Sur le plan mondial, l’Allemagne est l’un des pays les plus sûrs face à la crise du coronavirus. Le Luxembourg se classe dans le quart supérieur du tableau. Seul Israël fait mieux que l’Allemagne au classement des Etats les plus sûrs face à la crise sanitaire actuelle.

L’Italie et l’Espagne figurent tout en bas du classement européen. Ces deux pays ont été fortement critiqués ces dernières semaines pour la mauvaise gestion de crise dans leurs hôpitaux. Les Etats-Unis se classent en 70e position. Soulignons enfin que les données collectées profitent au monde de l’économie et de la finance. Grâce à un tel classement, les entreprises peuvent mieux s’orienter en période de crise et savoir quelles sont les régions les plus sûres pour investir à court ou à long terme.
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