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"«Le port du masque peut être dangereux»"

Publié le 26/05/2020
"Algériepatriotique" mai 23, 2020 "Des médecins occidentaux alertent : «Le port du masque peut être dangereux» La décision du port du masque obligatoire est-elle irréfléchie ? PPAgency Par Houari A. – A l’heure où les autorités politiques algériennes, sur conseil du ministère de la Santé, imposent le port obligatoire du masque en accompagnant cette contrainte de menaces de poursuites judiciaires et d’amendes, de nombreux médecins dans les pays développés mettent en garde contre le port permanent de bavettes car cette pratique entraîne des maladies graves. Aux Etats-Unis, des scientifiques ont révélé que cette pratique, devenue systématique et censée protéger contre le Covid-19, comporte pourtant d’importants risques. Selon ces médecins, dont le propre conseiller du président américain Donald Trump, le Dr Ron Paul, le port du masque fait que «les virus exhalés ne peuvent pas s’échapper et vont se concentrer dans les passages nasaux, entrer dans les nerfs olfactifs et dans le cerveau». Le neurochirurgien américain Russell Blaylock a assuré, quant à lui, qu’«aucune étude ne démontre la protection du virus grippal par les masques». De son côté, l’ancienne cheffe de clinique française, Nicole Deléphine, rappelle que «les recommandations initiales de l’OMS étaient que les personnes non malades n’avaient pas besoin de porter un masque», en soulignant que ces recommandations «reposent sur l’expérience de la grippe habituelle et l’on a vu que rien ne démontre l’efficacité du masque généralisé». De nombreuses conséquences négatives du «port prolongé» du masque ont été relevées par ces scientifiques : aggravation de céphalées préexistantes conduisant à médications antalgiques dans 60% des cas pour cause d’hypoxie et hypercapnie, manque d’oxygène, trop de gaz carbonique, céphalées de novo, etc. Ils précisent qu’une baisse de l’oxygénation conduit à des pertes de conscience, génératrices d’accident si le sujet est au volant de sa voiture et que «les patients atteints de cancer du poumon ou ayant subi une intervention pulmonaire, les emphysémateux, les malades de fibrose pulmonaire sont particulièrement en danger». Enfin, ajoutent-ils, «ces mesures visant à protéger les individus sont associées avec une altération des défenses immunitaires car l’hypoxie peut inhiber la fonction des principales cellules immunitaires luttant contre les infections virales, ce qui peut faciliter l’infection et la rendre plus grave». Ces médecins font savoir que, paradoxalement, le masque pourrait rendre son porteur «plus fragile aux infections, en particulier au coronavirus». Le port excessif du masque «favorise l’inflammation qui elle-même peut promouvoir la croissance des cellules cancéreuses et leur dissémination», tandis que «l’hypoxie (manque d’apport en oxygène, ndlr) répétée peut augmenter le risque de crises cardiaques ou d’accidents vasculaires cérébraux». «Chez les personnes infectées portant longtemps le masque, les virus expulsés vont être respirés à nouveau et augmenter la concentration du virus dans les poumons et les fosses nasales», indique-t-on encore, en notant que «les patients ayant les pires réactions au coronavirus sont ceux qui ont eu très vite une forte concentration de virus, conduisant à la tempête de cytokines chez certains et à la mort». Nos responsables qui ont décidé de procéder au masquage de tous les Algériens sont-ils au courant de ces séquelles graves ? Nous sommes en droit de nous interroger sur la pertinence de cette décision politique accompagnée de mesures répressives incompréhensibles". H. A
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"La décision du port du masque obligatoire est-elle irréfléchie ? PPAgency"

Par Houari A. – A l’heure où les autorités politiques algériennes, sur conseil du ministère de la Santé, imposent le port obligatoire du masque en accompagnant cette contrainte de menaces de poursuites judiciaires et d’amendes, de nombreux médecins dans les pays développés mettent en garde contre le port permanent de bavettes car cette pratique entraîne des maladies graves. Aux Etats-Unis, des scientifiques ont révélé que cette pratique, devenue systématique et censée protéger contre le Covid-19, comporte pourtant d’importants risques.

Selon ces médecins, dont le propre conseiller du président américain Donald Trump, le Dr Ron Paul, le port du masque fait que «les virus exhalés ne peuvent pas s’échapper et vont se concentrer dans les passages nasaux, entrer dans les nerfs olfactifs et dans le cerveau».

Le neurochirurgien américain Russell Blaylock a assuré, quant à lui, qu’«aucune étude ne démontre la protection du virus grippal par les masques». De son côté, l’ancienne cheffe de clinique française, Nicole Deléphine, rappelle que «les recommandations initiales de l’OMS étaient que les personnes non malades n’avaient pas besoin de porter un masque», en soulignant que ces recommandations «reposent sur l’expérience de la grippe habituelle et l’on a vu que rien ne démontre l’efficacité du masque généralisé».

De nombreuses conséquences négatives du «port prolongé» du masque ont été relevées par ces scientifiques : aggravation de céphalées préexistantes conduisant à médications antalgiques dans 60% des cas pour cause d’hypoxie et hypercapnie, manque d’oxygène, trop de gaz carbonique, céphalées de novo, etc. Ils précisent qu’une baisse de l’oxygénation conduit à des pertes de conscience, génératrices d’accident si le sujet est au volant de sa voiture et que «les patients atteints de cancer du poumon ou ayant subi une intervention pulmonaire, les emphysémateux, les malades de fibrose pulmonaire sont particulièrement en danger».

Enfin, ajoutent-ils, «ces mesures visant à protéger les individus sont associées avec une altération des défenses immunitaires car l’hypoxie peut inhiber la fonction des principales cellules immunitaires luttant contre les infections virales, ce qui peut faciliter l’infection et la rendre plus grave». Ces médecins font savoir que, paradoxalement, le masque pourrait rendre son porteur «plus fragile aux infections, en particulier au coronavirus». Le port excessif du masque «favorise l’inflammation qui elle-même peut promouvoir la croissance des cellules cancéreuses et leur dissémination», tandis que «l’hypoxie (manque d’apport en oxygène, ndlr) répétée peut augmenter le risque de crises cardiaques ou d’accidents vasculaires cérébraux».

«Chez les personnes infectées portant longtemps le masque, les virus expulsés vont être respirés à nouveau et augmenter la concentration du virus dans les poumons et les fosses nasales», indique-t-on encore, en notant que «les patients ayant les pires réactions au coronavirus sont ceux qui ont eu très vite une forte concentration de virus, conduisant à la tempête de cytokines chez certains et à la mort».

Nos responsables qui ont décidé de procéder au masquage de tous les Algériens sont-ils au courant de ces séquelles graves ? Nous sommes en droit de nous interroger sur la pertinence de cette décision politique accompagnée de mesures répressives incompréhensibles.

H. A.


"Qui peut répondre?"

Tu ne le portes pas tu es contaminé!.
Tu le portes tu es contaminé!.
Mort pour Mort Que faut il choisir?.

La seule solution c'est de quitter cette planète qui devient trop polluée! le problème comment? et pour aller où?

Quelle est la température du vide interstellaire?.

Présentement l’Univers a une température de 2,7 degrés Kelvin ( 0 Kelvin = -273 Celcius) soit 2,7 degrés au-dessus du zéro absolu.

Comme tu vois, il ne fait pas trop chaud là haut. Cependant à une autre époque, il y a de cela très très longtemps, soit quelques instants après le Big Bang (-15 milliards d’années) , l’Univers était incroyablement chaud, plusieurs milliards de degrés Kelvin.

L’Univers primitif était alors une soupe d’énergie pure et de particules subatomiques, quarks et antiquarks.

Suite à son expansion, l’Univers se refroidit et le rayonnement commence à se convertir en matière, créant des particules plus lourdes (neutrons et protons) et permet ainsi aux atomes de se former.

Un million d’années après le Big Bang, l’Univers a une température voisine de 4000 degrés Kelvin.

A -12 milliards d’années, apparaissent les premières galaxies et la température est de 5 degrés Kelvin. A -4,6 milliards d’années notre Soleil engendrait neuf planètes dont la Terre.

Pour terminer, disons que cette température de 2,7 degrés Kelvin qui englobe l’Univers, est en fait la trace résiduelle laissée par le Big Bang il y a 15 milliards d’années. Les astronomes l’appellent le "rayonnement fossile".

Il faut que je pense à envoyer un message à Albator maitre de l'univers où à E T!.
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