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Condamnation du journaliste Drareni : le FFS dénonce un verdict «irresponsable»

Publié le 13/08/2020
ALGERIEPATRIOTIQUE Condamnation du journaliste Drareni : le FFS dénonce un verdict «irresponsable»Le Front des forces socialistes (FFS), aile de Hakim Belahcel, a dénoncé ce qu’il a qualifié de «verdicts de la honte», suite aux «sentences démesurées et arbitraires» contre le journaliste Khaled Drareni et les deux militants Samir Belarbi et Samir Hamitouche. «L’appareil judiciaire Algérien a une fois de plus sévi», a commenté le FFS, selon lequel ces verdicts «outranciers et injustifiables, vu les charges infondées retenues contre les mis en cause», constituent un «nouveau cap de répression et d’atteinte aux droits de l’Homme qui vient d’être franchi, sans état d’âme et sans scrupule». «Cette entreprise graduelle et savamment orchestrée qui s’applique à reproduire les pratiques despotiques dénoncées et combattues par la révolution populaire du 22 Février ne fera qu’exacerber la crise multiforme dans le pays», estime le FFS, qui se soulève contre ces verdicts «irresponsables» et «conteste la criminalisation de l’acte politique et le musellement des voies libres et autonomes». Le FFS condamne également «l’usage de la violence et de la répression contre la famille du militant Ziani Rabah et ceux qui sont venus le soutenir devant le tribunal de Tizi Ouzou à l’occasion de son procès» et «exige la libération de tous les détenus politiques et d’opinion». N. D.
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Le Front des forces socialistes (FFS), aile de Hakim Belahcel, a dénoncé ce qu’il a qualifié de «verdicts de la honte», suite aux «sentences démesurées et arbitraires» contre le journaliste Khaled Drareni et les deux militants Samir Belarbi et Samir Hamitouche.



«L’appareil judiciaire Algérien a une fois de plus sévi», a commenté le FFS, selon lequel ces verdicts «outranciers et injustifiables, vu les charges infondées retenues contre les mis en cause», constituent un «nouveau cap de répression et d’atteinte aux droits de l’Homme qui vient d’être franchi, sans état d’âme et sans scrupule».

«Cette entreprise graduelle et savamment orchestrée qui s’applique à reproduire les pratiques despotiques dénoncées et combattues par la révolution populaire du 22 Février ne fera qu’exacerber la crise multiforme dans le pays», estime le FFS, qui se soulève contre ces verdicts «irresponsables» et «conteste la criminalisation de l’acte politique et le musellement des voies libres et autonomes».

Le FFS condamne également «l’usage de la violence et de la répression contre la famille du militant Ziani Rabah et ceux qui sont venus le soutenir devant le tribunal de Tizi Ouzou à l’occasion de son procès» et «exige la libération de tous les détenus politiques et d’opinion».

N. D.

CONTRE L'injustice ....la justice joue avec le "FEUX"!.
NOTRE justice ferait mieux de mettre en prison sadaini Amar
Paraît que le pouvoir s'achète
Liberté, c'est tout c'qui nous reste
Si le scénario se répète
On sera acteurs de la paix
Si faux, vos discours sont si faux
Ouais, si faux, qu'on a fini par s'y faire
Mais c'est fini, le verre est plein
En bas, ils crient, entends-tu leurs voix?
La voix d'ces familles pleines de chagrin
La voix qui prie pour un meilleur destin
Excuse-moi d'exister, excuse mes sentiments
Et si j'dis que j'suis heureux avec toi, je mens
Excuse-moi d'exister, excuse mes sentiments
Rends-moi ma liberté, je te l'demande gentiment
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
Ils ont cru qu'on était morts, ils ont dit "bon débarras"
Ils ont cru qu'on avait peur de ce passé tout noir
Il n'y a plus personne, que des photos, des mensonges
Que des pensées qui nous rongent, c'est bon, emmenez-moi là-bas
Oui, il n'y a plus personne, là-bas, il n'y a que le peuple
Che Guevara, Matoub, emmenez-moi là-bas
J'écris ça un soir pour un nouveau matin
Oui, j'écris pour y croire, l'avenir est incertain
Oui, j'écris car nous sommes, nous sommes main dans la main
Moi, j'écris car nous sommes la génération dorée
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
Libérez li rahi otage, libérez lmerḥouma, kayen khalel f lqada'
Libérez ceux qui sont otages, nous, c'est tout c'qu'on a
On a que la liberta
W ḥna homa l'ibtila', ah ya ḥoukouma, w nnar hadi ma tetfach
Ceci est notre message, notre ultima verba
Soolking w Ouled El Bahdja
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
La liberté, la liberté, la liberté
C'est d'abord dans nos cœurs
La liberté, la liberté, la liberté
Nous, ça nous fait pas peur
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