Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/"Exclusif. Le principal acteur des scandales Sonatrach Farid Bedjao...
Zone Membre
Publicités

"Exclusif. Le principal acteur des scandales Sonatrach Farid Bedjaoui interpellé en Espagne"

Publié le 26/08/2020
"A P P" ABDOU SEMMAR - 25 AUGUST 2020 Exclusif. Le principal acteur des scandales Sonatrach Farid Bedjaoui interpellé en Espagne:Le sulfureux et tristement célèbre Farid Bedjaoui, le principal acteur des scandales de corruption qui ont ébranlé Sonatrach en 2013, a été interpellé par les autorités espagnoles, a appris Algérie Part au cours de ses investigations. Le jeune milliardaire algérien était en voyage en Espagne au début du mois de juillet lorsqu’il avait été interpellé par les services de sécurité espagnols en application du mandat d’arrêt international dont il fait l’objet depuis août 2013 dans le cadre du scandale Sonatrach 2. Cependant, lors de son arrestation, l’homme d’affaires Farid Bejdaoui s’est défendu très sereinement en affirmant qu’il a été “blanchi” par un verdict officiel rendu par la justice italienne. En effet, les juges de de la cour d’appel de Milan ont annulé le 17 janvier 2020 les condamnations prononcées en première instance dans le cadre de l’affaire de 197 millions d’euros pots-de-vins présumés versés par Saipem, filiale du groupe italien ENI, à des responsables algériens pour l’obtention de contrats d’une valeur globale de 8 milliards de dollars. La cour d’appel avait annulé le verdict sous l’argument que les faits “n’existent pas” et qu’il y a insuffisance de “preuves”. Elle avait acquitté tous les condamnés, en septembre 2018, en première instance dont les Algériens Farid Bedjaoui, accusé d’être l’intermédiaire de l’ancien ministre de l’énergie Chakib Khelil, Samyr Ouaraied et Omar Habour. Mais les autorités espagnoles n’ont pas été convaincues par cet argumentaire et elles ont maintenu en détention préventive Farid Bedjaoui arguant que le mandat d’arrêt international enregistré par INTERPOL est toujours en vigueur. L’affaire a été ensuite transmise à la justice espagnole qui doit trancher sur le sort de Farid Bedjaoui. Cependant, d’après nos sources, la famille de Farid Bedjaoui a reçu des assurances concernant l’impossibilité de son extradition vers l’Algérie. Blanchi par un verdict officiel prononcé par un tribunal Italien, la famille de Farid Bedjaoui a mobilisé plusieurs avocats étrangers afin de plaider sa remise en liberté en attendant l’invalidation du mandat d’arrêt international par INTERPOL au regard des conclusions des poursuites judiciaires enclenchées en Italie. Pour l’heure, aucune source “officieuse” ou “autorisée” n’a voulu confirmer à Algérie Part si les autorités algériennes ont été alertées par les autorités espagnoles concernant cette arrestation. Pour l’heure, Farid Bedjaoui se trouve toujours en Espagne où son dossier est en cours de traitement. D’après nos sources, Farid Bejdaoui s’est déplacé en Espagne au début du mois de juillet passé depuis la Suisse. L’homme d’affaires algérien devra accomplir des démarches judiciaires vis-à-vis de la justice espagnole pour retrouver son entière liberté. Rappelons enfin que la justice algérienne avait émis depuis août 2013 un mandat d’arrêt international contre Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’énergie et des mines, sa femme, ses deux fils et le nommé Farid Bedjaoui. A l’époque, c’était un certain procureur général prés la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, qui avait lancé ce mandat d’arrêt international. Farid Bedjaoui faisait partie des 22 personnes impliquées dans le scandale Sonatrach 2. Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Energie de 1999 jusqu’à 2010, faisait partie également de cette liste des personnalités ciblées par le mandat d’arrêt international dans le cadre de l’affaire Sonatrach 2. En 2016, l’ex-ministre de l’Energie est sorti de cette affaire et le 17 mars 2016, Chakib Khelil revient en Algérie en débarquant à l’aéroport d’Oran où il avait reçu comme un officiel au Salon d’Honneur. Le 22 août 2019, la justice algérienne relance les poursuites à l’encontre de Chakib Khelil et la Cour suprême émet un nouveau mandat d’arrêt international à l’encontre de Chakib Khelil.
« Actualité précédente
"Le procès en appel de Drareni, Belarbi et Hamitouche programmé pour le 8 septembre-"
Actualité suivante »
"Annaba Le masque de Gorgone au musée d’Hippone, 24 ans après »"

Les Commentaires

Le sulfureux et tristement célèbre Farid Bedjaoui, le principal acteur des scandales de corruption qui ont ébranlé Sonatrach en 2013, a été interpellé par les autorités espagnoles, a appris Algérie Part au cours de ses investigations. Le jeune milliardaire algérien était en voyage en Espagne au début du mois de juillet lorsqu’il avait été interpellé par les services de sécurité espagnols en application du mandat d’arrêt international dont il fait l’objet depuis août 2013 dans le cadre du scandale Sonatrach 2.

Cependant, lors de son arrestation, l’homme d’affaires Farid Bejdaoui s’est défendu très sereinement en affirmant qu’il a été “blanchi” par un verdict officiel rendu par la justice italienne. En effet, les juges de de la cour d’appel de Milan ont annulé le 17 janvier 2020 les condamnations prononcées en première instance dans le cadre de l’affaire de 197 millions d’euros pots-de-vins présumés versés par Saipem, filiale du groupe italien ENI, à des responsables algériens pour l’obtention de contrats d’une valeur globale de 8 milliards de dollars.

La cour d’appel avait annulé le verdict sous l’argument que les faits “n’existent pas” et qu’il y a insuffisance de “preuves”. Elle avait acquitté tous les condamnés, en septembre 2018, en première instance dont les Algériens Farid Bedjaoui, accusé d’être l’intermédiaire de l’ancien ministre de l’énergie Chakib Khelil, Samyr Ouaraied et Omar Habour.

Mais les autorités espagnoles n’ont pas été convaincues par cet argumentaire et elles ont maintenu en détention préventive Farid Bedjaoui arguant que le mandat d’arrêt international enregistré par INTERPOL est toujours en vigueur. L’affaire a été ensuite transmise à la justice espagnole qui doit trancher sur le sort de Farid Bedjaoui. Cependant, d’après nos sources, la famille de Farid Bedjaoui a reçu des assurances concernant l’impossibilité de son extradition vers l’Algérie. Blanchi par un verdict officiel prononcé par un tribunal Italien, la famille de Farid Bedjaoui a mobilisé plusieurs avocats étrangers afin de plaider sa remise en liberté en attendant l’invalidation du mandat d’arrêt international par INTERPOL au regard des conclusions des poursuites judiciaires enclenchées en Italie.

Pour l’heure, aucune source “officieuse” ou “autorisée” n’a voulu confirmer à Algérie Part si les autorités algériennes ont été alertées par les autorités espagnoles concernant cette arrestation. Pour l’heure, Farid Bedjaoui se trouve toujours en Espagne où son dossier est en cours de traitement. D’après nos sources, Farid Bejdaoui s’est déplacé en Espagne au début du mois de juillet passé depuis la Suisse. L’homme d’affaires algérien devra accomplir des démarches judiciaires vis-à-vis de la justice espagnole pour retrouver son entière liberté.

Rappelons enfin que la justice algérienne avait émis depuis août 2013 un mandat d’arrêt international contre Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’énergie et des mines, sa femme, ses deux fils et le nommé Farid Bedjaoui. A l’époque, c’était un certain procureur général prés la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, qui avait lancé ce mandat d’arrêt international.

Farid Bedjaoui faisait partie des 22 personnes impliquées dans le scandale Sonatrach 2. Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Energie de 1999 jusqu’à 2010, faisait partie également de cette liste des personnalités ciblées par le mandat d’arrêt international dans le cadre de l’affaire Sonatrach 2. En 2016, l’ex-ministre de l’Energie est sorti de cette affaire et le 17 mars 2016, Chakib Khelil revient en Algérie en débarquant à l’aéroport d’Oran où il avait reçu comme un officiel au Salon d’Honneur. Le 22 août 2019, la justice algérienne relance les poursuites à l’encontre de Chakib Khelil et la Cour suprême émet un nouveau mandat d’arrêt international à l’encontre de Chakib Khelil.

"Il a fraudé"

il doit impérativement l'extrader vers l'Algérie pour être juger...qu'il vient s'expliquer avec la justice Algérienne, l'Algérie ne connait les arrangements de blanchissement avec la mafia italienne s'il se croit honnête qu'il rentre dans son pays s'expliquer!...le peuple veut sa peau de voleur, bandit, arnaqueur, il faut qu'il rend les millions qu'il a détourné...la police espagnol doit l'extrader vers son pays d'origine sa place elle est à la prison d'El Harrach!...Belkacem Zeghmati attend son arriver pour le juger!.
Pour l’heure, aucune source “officieuse” ou “autorisée” n’a voulu confirmer à Algérie Part si les autorités algériennes ont été alertées par les autorités espagnoles concernant cette arrestation. Pour l’heure, Farid Bedjaoui se trouve toujours en Espagne où son dossier est en cours de traitement. D’après nos sources, Farid Bejdaoui s’est déplacé en Espagne au début du mois de juillet passé depuis la Suisse. L’homme d’affaires algérien devra accomplir des démarches judiciaires vis-à-vis de la justice espagnole pour retrouver son entière liberté.
Mais les autorités espagnoles n’ont pas été convaincues par cet argumentaire et elles ont maintenu en détention préventive Farid Bedjaoui arguant que le mandat d’arrêt international enregistré par INTERPOL est toujours en vigueur. L’affaire a été ensuite transmise à la justice espagnole qui doit trancher sur le sort de Farid Bedjaoui. Cependant, d’après nos sources, la famille de Farid Bedjaoui a reçu des assurances concernant l’impossibilité de son extradition vers l’Algérie. Blanchi par un verdict officiel prononcé par un tribunal Italien, la famille de Farid Bedjaoui a mobilisé plusieurs avocats étrangers afin de plaider sa remise en liberté en attendant l’invalidation du mandat d’arrêt international par INTERPOL au regard des conclusions des poursuites judiciaires enclenchées en Italie.
Cependant, lors de son arrestation, l’homme d’affaires Farid Bejdaoui s’est défendu très sereinement en affirmant qu’il a été “blanchi” par un verdict officiel rendu par la justice italienne. En effet, les juges de de la cour d’appel de Milan ont annulé le 17 janvier 2020 les condamnations prononcées en première instance dans le cadre de l’affaire de 197 millions d’euros pots-de-vins présumés versés par Saipem, filiale du groupe italien ENI, à des responsables algériens pour l’obtention de contrats d’une valeur globale de 8 milliards de dollars.
Rentre au pays la justice algérienne ne connait pas d'arrangement de blanchissement avec la mafia italienne!.
"Drebki"

ton tour viendra...tu dois rendre les 300 MILLIONS d'euros que tu a volé à notre peuple!bouchareb, chakib votre tour viendra aussi!.
Ya rabi faite qu'il l'extrade en Algérie, que justice soit faite amine amine amine amine amine.
Rappelons enfin que la justice algérienne avait émis depuis août 2013 un mandat d’arrêt international contre Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’énergie et des mines, sa femme, ses deux fils et le nommé Farid Bedjaoui. A l’époque, c’était un certain procureur général prés la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, qui avait lancé ce mandat d’arrêt international.
Farid Bedjaoui faisait partie des 22 personnes impliquées dans le scandale Sonatrach 2. Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Energie de 1999 jusqu’à 2010, faisait partie également de cette liste des personnalités ciblées par le mandat d’arrêt international dans le cadre de l’affaire Sonatrach 2. En 2016, l’ex-ministre de l’Energie est sorti de cette affaire et le 17 mars 2016, Chakib Khelil revient en Algérie en débarquant à l’aéroport d’Oran où il avait reçu comme un officiel au Salon d’Honneur. Le 22 août 2019, la justice algérienne relance les poursuites à l’encontre de Chakib Khelil et la Cour suprême émet un nouveau mandat d’arrêt international à l’encontre de Chakib Khelil.

Extradition

Description
DescriptionL'extradition est une procédure juridique par laquelle un État livre l'auteur d'une infraction à un État étranger qui le réclame, pour qu'il puisse y être jugé ou exécuter sa peine. L'extradition est souvent permise par l'existence d'un accord préalable entre deux États mais pas nécessairement. Wikipédia
Extradition

Description
DescriptionL'extradition est une procédure juridique par laquelle un État livre l'auteur d'une infraction à un État étranger qui le réclame, pour qu'il puisse y être jugé ou exécuter sa peine. L'extradition est souvent permise par l'existence d'un accord préalable entre deux États mais pas nécessairement. Wikipédia

A Dubaï, Farid Bedjaoui prépare sa défense et menace d’impliquer de hauts responsables algériens
vendredi 5 avril 2013
par Samir Allam





Farid Bedjaoui, principal suspect dans les affaires de corruption à Sonatrach, se trouve actuellement à Dubaï, aux Emirats arabes unis. Poursuivi en Italie et au Canada, le neveu de Mohamed Bedjaoui sait que la justice va finir par le rattraper.

Certes, son extradition depuis les Emirats arabes unis sera plus difficile à obtenir que depuis un pays occidental. Mais il sait que la justice italienne finira par le rattraper, d’autant que d’autres scandales de corruption pourraient éclater dans ce pays. En plus de Saipem, Farid Bedjaoui aurait également aidé Astaldi, une autre compagnie italienne, à obtenir des contrats en Algérie.

Grâce aux multiples commissions obtenues dans des contrats en Algérie et aux sommes engrangées via le fonds d’investissement Rayan Investment, à qui Sonatrach a confié 2 milliards de dollars, la fortune de Farid Bedjaoui et de ses frères est estimée à plus de 2,5 milliards de dollars.

Les frères Bedjaoui ont touché des commissions sur plusieurs gros contrats en Algérie : l’autoroute Est-Ouest, les chemins de fer, l’énergie et l’eau. Grâce à ces sommes, ils possèdent des biens dans de nombreux pays : Canada, France, Espagne, Emirats arabes unis, etc. Aujourd’hui, le spectre de la faillite plane sur la famille.

Selon nos sources, Farid Bedjaoui a tenté d’entrer en contact avec les autorités algériennes pour « négocier ». Mais ses émissaires n’ont eu aucune réponse encourageante. En cette période, où les enquêtes sur les scandales de corruption se multiplient, tout le monde cherche d’abord à se protéger. Mais Farid Bedjaoui estime qu’on lui fait porter le chapeau dans des affaires de corruption dans lesquelles beaucoup de personnes en Algérie, dont de hauts responsables toujours en poste, sont impliquées, selon les mêmes sources. A des visiteurs qu’il a reçus chez lui, il y a quelques jours, il a affirmé qu’il ne tomberait pas seul. S’il est pris par la justice, il dénoncera ses complices
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires