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"Deux fils de Gaïd Salah sous le coup d’une ISTN"

Publié le 27/08/2020
"TSA" Par: Sonia Lyes 27 Août 2020 à 10:46 Deux fils de Gaïd Salah sous le coup d’une ISTN:
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Deux fils de Gaïd Salah sous le coup d’une ISTN
Politique Par: Sonia Lyes 27 Août 2020 à 10:46
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Deux enfants du défunt chef d’État-major Ahmed Gaïd Salah font l’objet d’une interdiction de sortie du territoire national (ISTN) sur décision du tribunal de Dar El Beida à Alger, rapporte ce jeudi le quotidien El Watan.

Les deux fils concernés sont Adel et Boumediène. Outre les deux cités, ils seraient plus d’une dizaine à avoir fait l’objet d’une décision d’ISTN, dans le cadre de l’ouverture de plusieurs enquêtes par les services de sécurité, selon El Watan.


« Préventive, cette mesure judiciaire a été prise à la veille de l’ouverture des frontières algériennes, qui coïncide avec l’ouverture de plusieurs enquêtes par les services de sécurité dans lesquelles ils sont cités », font savoir des sources sécuritaires citées par la même source.

La décision d’interdire aux enfants de Gaïd Salah de quitter le territoire national serait liée à la récente arrestation et extradition depuis la Turquie, de l’adjudant-chef à la retraite Guermit Bounouira. Les mis en cause auraient en effet été cités lors des « auditions de l’adjudant-chef à la retraite, la boîte noire du MDN, de par sa proximité avec le défunt Ahmed Gaïd Salah », indique El Watan.

Si le dossier de Bounouira a été traité par le tribunal militaire de Blida, celui des deux enfants d’Ahmed Gaïd Salah a été transmis, en leur qualité de civils, au tribunal correctionnel de Dar El Beïda.

Par ailleurs, le port sec (PSDA) appartenant à Adel Ahmed Gaïd, a été suspendu le 21 juillet dernier pour une durée de 60 jours pour non-conformité, rapporte El Watan. La décision prise par la Direction générale des Douanes algériennes (DGD) serait « ferme et non renouvelable ».

« Si après ce délai, les ports secs ne se seront pas conformés aux exigences de l’activité, ils seront fermés définitivement et récupérés par l’État », a indiqué la DGD dans une instruction adressée aux directeurs régionaux des Douanes algériennes, citée par la même source.

"quand je pense à eux"
Le décès du wali Mohamed Mounib Sendid et la mafia du foncier: Les Annabis exigent la vérité

Deux fils de Gaïd Salah sous le coup d’une ISTN
Politique Par: Sonia Lyes 27 Août 2020 à 10:46
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Deux enfants du défunt chef d’État-major Ahmed Gaïd Salah font l’objet d’une interdiction de sortie du territoire national (ISTN) sur décision du tribunal de Dar El Beida à Alger, rapporte ce jeudi le quotidien El Watan.

Les deux fils concernés sont Adel et Boumediène. Outre les deux cités, ils seraient plus d’une dizaine à avoir fait l’objet d’une décision d’ISTN, dans le cadre de l’ouverture de plusieurs enquêtes par les services de sécurité, selon El Watan.


« Préventive, cette mesure judiciaire a été prise à la veille de l’ouverture des frontières algériennes, qui coïncide avec l’ouverture de plusieurs enquêtes par les services de sécurité dans lesquelles ils sont cités », font savoir des sources sécuritaires citées par la même source.

La décision d’interdire aux enfants de Gaïd Salah de quitter le territoire national serait liée à la récente arrestation et extradition depuis la Turquie, de l’adjudant-chef à la retraite Guermit Bounouira. Les mis en cause auraient en effet été cités lors des « auditions de l’adjudant-chef à la retraite, la boîte noire du MDN, de par sa proximité avec le défunt Ahmed Gaïd Salah », indique El Watan.

Si le dossier de Bounouira a été traité par le tribunal militaire de Blida, celui des deux enfants d’Ahmed Gaïd Salah a été transmis, en leur qualité de civils, au tribunal correctionnel de Dar El Beïda.

Par ailleurs, le port sec (PSDA) appartenant à Adel Ahmed Gaïd, a été suspendu le 21 juillet dernier pour une durée de 60 jours pour non-conformité, rapporte El Watan. La décision prise par la Direction générale des Douanes algériennes (DGD) serait « ferme et non renouvelable ».

« Si après ce délai, les ports secs ne se seront pas conformés aux exigences de l’activité, ils seront fermés définitivement et récupérés par l’État », a indiqué la DGD dans une instruction adressée aux directeurs régionaux des Douanes algériennes, citée par la même source.

"ils doivent être jugés"

la lumière n'a pas été faite? Le décès du wali Mohamed Mounib Sendid et la mafia du foncier: Les Annabis exigent la vérité
"Allah yarhamou" UN WALI EXEMPLAIRE!.
"Belkacem Zeghmati"

doit se gratter la tête? LA justice doit être la même pour tout le Monde!.
Le décès du wali Mohamed Mounib Sendid et la mafia du foncier: Les Annabis exigent la vérité
PAR AW · PUBLIÉ JANVIER 3, 2015 · MIS À JOUR JUIN 1, 2018

LE DÉCÈS DU WALI MOHAMED MOUNIB SENDID ET LA MAFIA DU FONCIER

Les Annabis exigent la vérité

Depuis le décès du wali de Annaba, Mohamed Mounib Sendid, le 23 décembre dernier, un climat tendu plane sur la wilaya.

Annaba. De notre Bureau, El Watan, 30 décembre 2014

En effet, plusieurs citoyens ont décidé de marcher, vendredi prochain, sous la casquette de la société civile pour réclamer, pacifiquement, toute la vérité sur la disparition tragique de ce chef de l’exécutif que l’on qualifie à l’unanimité d’«intègre et honnête». Il faut établir la vérité sur ce qui a entraîné la mort de notre wali dans des circonstances obscures. Nous réclamons une enquête dans les plus brefs délais à l’effet de déterminer les auteurs et les traduire devant la justice. Les auteurs ne sont autres que les barons locaux du foncier que toute la population locale de Annaba sait intouchables. Le cas échéant, il faut mettre fin définitivement à la rumeur», fulminent des organisateurs.

Déterminés, ces derniers le sont à plus d’un titre, puisqu’ils comptent déposer une demande d’autorisation de marcher auprès de la wilaya. L’itinéraire débutera sur le cours de la Révolution pour finir devant le siège de la wilaya, où les marcheurs observeront une minute de silence à la mémoire du défunt responsable. «Même si on nous refuse officiellement de manifester pacifiquement, nous allons marcher quand même. Il est de notre droit de réclamer pacifiquement la vérité sur les circonstances de la mort du premier responsable de Annaba. Il y va de la crédibilité de l’Etat», insistent les mêmes sources.

Cette initiative, une première dans les annales de la wilaya, intervient au lendemain des déclarations de plusieurs chefs de parti politique dont le dénominateur commun est la réclamation d’une enquête pour élucider les conditions du décès de Mohamed Mounib Sendid.La dernière en date a été faite dimanche par Abdallah Djaballah, le chef de file du Front pour la justice et le développement (FJD) qui a appelé, à partir du siège de son parti à Annaba, les services de sécurité «à enquêter sérieusement sur les circonstances ayant entraîné la mort du wali de Annaba et à déférer devant la justice les mis en cause pour qu’ils soient punis». Devant un parterre réduit de journalistes et cadres de son parti, il a insisté sur «la célérité de cette enquête», car prévient-il : «En Algérie si on veut étouffer une affaire sensible on lui désigne une commission d’enquête dont les conclusions attendues ne seront jamais rendues publiques».

D’un ton ferme, associé à une gesticulation expressive, l’homme à la calotte blanche a estimé : «C’est un fait très grave, s’il s’avère vrai que le défunt wali qui représente le président de la République dans sa wilaya ait été l’objet de pressions et d’intimidations des barons de la région. Il s’agit de la crédibilité de l’Etat pour éclairer l’opinion publique sur les circonstances réelles de ce drame et mettre fin à la rumeur au niveau local et national.» Un appel qui a été précédé de celui du président de Jil Jadid, Soufiane Djilali, appelant le week-end dernier à partir de la wilaya d’El Tarf, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’ANP et vice-ministre de la Défense nationale, à ouvrir une enquête sur la mort du wali de Annaba.

«C’est une affaire qui relève du DRS, sous son commandement, car elle implique la mafia du foncier, une organisation criminelle nationale qui s’est considérablement développée, étendant ses tentacules dans toutes les wilayas où des walis vivent sous la même menace que celle que subissait le défunt Mohamed Mounib Sendid», soutient-il. Mais le la a été donné préalablement par la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Mme Louisa Hanoune, lorsqu’elle a qualifié le défunt wali de Annaba de «martyr de la lutte contre la mafia du foncier».

Selon elle, d’autres walis sont la cible de cette mafia si les responsables du décès dramatique du wali de Annaba ne sont pas arrêtés. Tout a commencé au lendemain d’un important glissement de terrain survenu le 7 septembre dernier sur le CW n°15 – reliant la commune de Annaba à celle de Seraïdi via Sidi Aïssa. L’incident a scindé la route bitumée en deux. Première mesure conservatoire, le wali de Annaba a décidé l’arrêt immédiat de tous les travaux des chantiers dans cette zone, devenue un risque latent. C’est à partir de là que les pressions sur le désormais ex-wali ont connu leur apogée, car ce sont en totalité des chantiers de promotion immobilière appartenant à des personnes influentes, dont un est la propriété d’un parent de Louisa Hanoune et d’autres de prête-noms de hauts gradés militaires.

Devant une telle pression de reprendre les travaux au détriment de la sécurité des riverains, le commis de l’Etat n’a pas résisté. Mohamed Mounib Sendid est décédé à l’hôpital Montsouris de Paris le 23 décembre, où il avait été évacué le 27 novembre dernier, victime d’un infarctus survenu le 25 octobre suite à un stress poussé. Il a payé de sa vie en laissant derrière lui une veuve et quatre enfants. Une enquête s’impose.
Gaidi Mohamed Faouzi

La législation algérienne reste muette
Le code de procédure ne prévoit pas de disposition, expliquent des avocats : «Il faudra trouver le fait avéré bien précis, qui a un lien direct avec le décès, pour que le procureur s’autosaisisse et ouvre une enquête.»

Et d’ajouter que dans le cas du wali de Annaba, il n’y a que des rumeurs et des propos relayés par les réseaux sociaux, ce qui «ne constitue pas de faits ou d’informations qui puissent expliquer la mort du wali». Ils précisent que même si la famille du défunt décidait de déposer plainte, celle-ci risquerait d’être rejetée : «Si la famille ou les proches ne trouvent pas ce fait avéré qui peut expliquer la cause du malaise cardiaque, la plainte sera tout simplement rejetée.»

Pour nos interlocuteurs, la mort du wali de Annaba «n’est pas suspecte dans la mesure où il a eu un malaise cardiaque qui a nécessité son transfert vers un hôpital à l’étranger. Il n’y a donc pas d’élément qui puisse justifier l’ouverture d’une enquête.
Et aucune disposition dans le code de procédure pénale n’évoque une telle situation. Ce qui se dit sur les réseaux sociaux et se raconte dans les cafés à Annaba n’est que spéculation qui ne repose que sur la rumeur. Comme vous le savez, en matière de droit, la rumeur n’a jamais été considérée comme une preuve ou un élément de preuve pouvant susciter l’ouverture d’une procédure judiciaire».

Salima Tlemçani
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Devant une telle pression de reprendre les travaux au détriment de la sécurité des riverains, le commis de l’Etat n’a pas résisté. Mohamed Mounib Sendid est décédé à l’hôpital Montsouris de Paris le 23 décembre, où il avait été évacué le 27 novembre dernier, victime d’un infarctus survenu le 25 octobre suite à un stress poussé. Il a payé de sa vie en laissant derrière lui une veuve et quatre enfants. Une enquête s’impose.
Gaidi Mohamed Faouzi
victime d’un infarctus survenu le 25 octobre suite à un stress poussé. Il a payé de sa vie en laissant derrière lui une veuve et quatre enfants.
La législation algérienne reste muette??????????????????????
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