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BARRES DE FER, SABRES ET EPEES

Publié le 01/09/2020
"L Q O" par Abdou BENABBOU Mardi 1 septembre 2020"BARRES DE FER, SABRES ET EPEES"BARRES DE FER, SABRES ET EPEES par Abdou BENABBOU Le dernier Conseil des ministres a mis le doigt sur le phénomène de la violence d'une ampleur telle qu'il serait en passe de transformer la vie communautaire en enfer si le holà n'est pas mis. Déjà sérieusement et largement terni par une multitude de contrariétés économiques et sociales, le partage de l'espace commun des Algériens n'avait pas besoin d'une décrépitude humaine supplémentaire transformant des sectes générationnelles sorties d'on ne sait prenant plaisir avec barres de fer, sabres et épées à transformer l'existence humaine en reste à jeter dans les poubelles. La violence s'est accaparé l'espace public et les demeures familiales jusqu'à vouloir s'ériger en logiciel indéfectible pour plaquer au cœur de la société des drames chargés d'imbécilité et d'animalité gratuites. Trépasser à cause d'un paquet de cigarettes ou à cause d'un téléphone portable laisse déduire que les élans fatidiques des méchantes humeurs obéiraient à la couvée d'un ADN mortel. Ce terrifiant phénomène du siècle n'est pas une particularité algérienne, loin s'en faut. La violence est mondiale avec l'air d'indiquer que les humains, la démographie effarante aidant, se sentent étouffés et serrés dans un périmètre terrestre de plus en plus étroit. En Algérie cependant, le mal a gagné en innéisme jusqu'à rendre banales des désagrégations de couples et de familles par le sabre et la hache. Avec l'élargissement de la crise multiforme et la misère contagieuse qui s'étale, il n'est pas écarté que naissent des similitudes violentes avec des pays où la vie humaine a une valeur de pacotille et que la liberté soit accordée à des moyens de sauvegarde et de protection illicitement recommandés. Choisir la force de la loi pour mettre un terme définitif à la pieuvre de la violence est certainement recommandé et exigé, mais elle ne suffira pas si les graines qui l'ont fait naître et développer ne sont pas déterrées. Les semences nocives se sont abreuvées de plusieurs sources mortelles allant de l'école et de l'éducation débridées jusqu'aux insensées gouvernances. Le mal est profond et ni les réprimandes ni la répression à elles seules ne suffiront pour sa guérison.
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BARRES DE FER, SABRES ET EPEES
par Abdou BENABBOU


Le dernier Conseil des ministres a mis le doigt sur le phénomène de la violence d'une ampleur telle qu'il serait en passe de transformer la vie communautaire en enfer si le holà n'est pas mis. Déjà sérieusement et largement terni par une multitude de contrariétés économiques et sociales, le partage de l'espace commun des Algériens n'avait pas besoin d'une décrépitude humaine supplémentaire transformant des sectes générationnelles sorties d'on ne sait prenant plaisir avec barres de fer, sabres et épées à transformer l'existence humaine en reste à jeter dans les poubelles.

La violence s'est accaparé l'espace public et les demeures familiales jusqu'à vouloir s'ériger en logiciel indéfectible pour plaquer au cœur de la société des drames chargés d'imbécilité et d'animalité gratuites. Trépasser à cause d'un paquet de cigarettes ou à cause d'un téléphone portable laisse déduire que les élans fatidiques des méchantes humeurs obéiraient à la couvée d'un ADN mortel.

Ce terrifiant phénomène du siècle n'est pas une particularité algérienne, loin s'en faut. La violence est mondiale avec l'air d'indiquer que les humains, la démographie effarante aidant, se sentent étouffés et serrés dans un périmètre terrestre de plus en plus étroit. En Algérie cependant, le mal a gagné en innéisme jusqu'à rendre banales des désagrégations de couples et de familles par le sabre et la hache. Avec l'élargissement de la crise multiforme et la misère contagieuse qui s'étale, il n'est pas écarté que naissent des similitudes violentes avec des pays où la vie humaine a une valeur de pacotille et que la liberté soit accordée à des moyens de sauvegarde et de protection illicitement recommandés.

Choisir la force de la loi pour mettre un terme définitif à la pieuvre de la violence est certainement recommandé et exigé, mais elle ne suffira pas si les graines qui l'ont fait naître et développer ne sont pas déterrées.

Les semences nocives se sont abreuvées de plusieurs sources mortelles allant de l'école et de l'éducation débridées jusqu'aux insensées gouvernances.

Le mal est profond et ni les réprimandes ni la répression à elles seules ne suffiront pour sa guérison.
La cité du 11 décembre endeuillée le jour de l’Aïd
‘‘Aâmi Djamel’’ tué à l’aide d’un fusil harpon
02 Aoû 2020 Annaba
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‘‘Aâmi Djamel’’ tué à l’aide d’un fusil harpon
Un sexagénaire a été tué le premier jour de l’Aïd El Adha à la cité du 11 décembre par un jeune délinquant, la trentaine, à l’aide d’un fusil harpon dont la flèche lui a transpercé la gorge. Aammi Djamel ‘’ comme aimaient à l’appeler les gens du quartier était une personne très estimée et très affable Le sort a voulu que pendant que les habitants procédaient au sacrifice du mouton de Aid El Adha de l’Aïd voilà qu’un jeune dévoyé âgé de 29 ans, redouté de tous, ne lui transperce la gorge à l’aide d’une flèche d’un fusil harpon. Selon des témoins oculaires, la victime s’était interposée alors que l’auteur avait adressé un coup de sabre à un jeune du quartier, cherchant visiblement à le tuer. Le voyou s’attaquait à toute personne qu’il rencontrait en ce matin de fête. Djamel, un père de famille de 4 enfants, avait voulu assagir le criminel en lui disant « Je suis comme ton père, arrête et rentre chez toi. C’est l’Aïd » mais le voyou l’a aspergé de gaz lacrymogène, en lui disant! En quoi cela te regarde. Le quinquagénaire fut emmené aussitôt à l’hôpital et à son retour des soins qu’on lui avait prodigués, il s’installa devant son domicile et voit revenir le criminel armé d’un fusil harpon. Arrivé à sa hauteur, il tira une flèche à l’aide de son fusil harpon qui transperça la gorge pour presque ressortir par la nuque. Toujours, selon des témoins oculaires, le sexagénaire rendit son dernier souffle sur place. Le tueur avait entretemps pris la fuite. Connu des services de police, pour avoir visité à plusieurs reprises ses locaux, il ne tarda pas à être rattrapé par ces derniers. Ainsi donc, une personne, âgée de surcroit, qui a voulu éviter un drame en s’interposant dans une rixe, a été victime d’un acte barbare, bestial, inhumain, inqualifiable. ‘’Aammi Djamel ‘’était l’ami de tout le monde et résidait au bâtiment D qui est le premier immeuble de la cité du 11 Décembre 1960. En ce jour de Aid El Adha .La consternation était visible sur tous les visages des habitants des quartiers environnants du lieu du crime, de la cité Auzas, Jebenet Lihoud et Bouzered Hocine et même à travers les réseaux sociaux qui ont réclamé la peine maximale et exemplaire afin que ce genre d’individus ne puisse plus nuire à la société.

Ahmed CHABI


La violence s'est accaparé l'espace public et les demeures familiales jusqu'à vouloir s'ériger en logiciel indéfectible pour plaquer au cœur de la société des drames chargés d'imbécilité et d'animalité gratuites. Trépasser à cause d'un paquet de cigarettes ou à cause d'un téléphone portable laisse déduire que les élans fatidiques des méchantes humeurs obéiraient à la couvée d'un ADN mortel.
Ce terrifiant phénomène du siècle n'est pas une particularité algérienne, loin s'en faut. La violence est mondiale avec l'air d'indiquer que les humains, la démographie effarante aidant, se sentent étouffés et serrés dans un périmètre terrestre de plus en plus étroit. En Algérie cependant, le mal a gagné en innéisme jusqu'à rendre banales des désagrégations de couples et de familles par le sabre et la hache. Avec l'élargissement de la crise multiforme et la misère contagieuse qui s'étale, il n'est pas écarté que naissent des similitudes violentes avec des pays où la vie humaine a une valeur de pacotille et que la liberté soit accordée à des moyens de sauvegarde et de protection illicitement recommandés.
Le dernier Conseil des ministres a mis le doigt sur le phénomène de la violence d'une ampleur telle qu'il serait en passe de transformer la vie communautaire en enfer si le holà n'est pas mis. Déjà sérieusement et largement terni par une multitude de contrariétés économiques et sociales, le partage de l'espace commun des Algériens n'avait pas besoin d'une décrépitude humaine supplémentaire transformant des sectes générationnelles sorties d'on ne sait prenant plaisir avec barres de fer, sabres et épées à transformer l'existence humaine en reste à jeter dans les poubelles.


Choisir la force de la loi pour mettre un terme définitif à la pieuvre de la violence est certainement recommandé et exigé, mais elle ne suffira pas si les graines qui l'ont fait naître et développer ne sont pas déterrées.

Les semences nocives se sont abreuvées de plusieurs sources mortelles allant de l'école et de l'éducation débridées jusqu'aux insensées gouvernances.

Le mal est profond et ni les réprimandes ni la répression à elles seules ne suffiront pour sa guérison.






les voyous sont devenus des bestiaux sauvages transformer l'existence humaine en reste à jeter dans les poubelles.
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