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Et les enfants du général Boustila, et le général Belkecir et le fils du général Abderrazak Chérif et les enfa

Publié le 02/09/2020
ALGERIEPART PLUS - 31 AUGUST 2020 Et les enfants du général Boustila, et le général Belkecir et le fils du général Abderrazak Chérif et les enfants du général Kamel Abderrahim ?Toute la toile algérienne s’est enflammée aujourd’hui en lisant les révélations sur la fortune cachée des fils d’Ahmed Gaid Salah. Une polémique nationale s’est déclenchée à travers tout le pays ébranlant ainsi le mythe fondateur d’un “Gaid Salah” pur et irréprochable. En vérité, ces révélations relancent plus que jamais le débat sur les liaisons dangereuses entre le pouvoir politique et l’argent. L’axe majeur du mal qui ronge profondément le pays. Le premier problème contre lequel le président Abdelmadjid Tebboune s’est engagé à lutter dans le but de donner naissance à une “nouvelle Algérie”. Néanmoins, force est de constater que l’argent et le pouvoir est un fléau qui ne résume nullement à la seule famille de l’ex-chef d’Etat-Major de l’ANP, Ahmed Gaid Salah. Pis encore, le patrimoine financier de Boumédiene et Adel, les deux fils du défunt Ahmed Gaid Salah, parait infiniment plus petit que les autres empires bâtis par les enfants des autres généraux et personnalités politiques ayant dirigé pendant des années des institutions sécuritaires ou militaires. Pourquoi personne ne parle des enfants du défunt général-major Ahmed Boustila ? Algérie Part a été le seul média algérien qui avait mené des investigations sur l’empire des enfants de ce général qui avait dirigé la Gendarmerie Nationale de juillet 2000 jusqu’au 15 septembre 2015. 15 ans de règne et d’influence qui ont fait du général-major Ahmed Boustila l’un des hauts gradés les plus puissants du pays. Et pendant que ce général siégeait sur le trône de la gendarmerie nationale, l’un des corps de sécurité les plus stratégiques, ses deux enfants faisaient des affaires et développaient petit à petit un véritable empire. En effet, Mohamed Lamine Boustila et Yassine Boustila sont propriétaires ou actionnaires d’au moins 12 entreprises, a-t-on constaté suite à nos investigations. Parmi ces entreprises, nous pouvons citer ARKAS Terminal A Conteneurs. Spécialisée dans la manutention et le stockage de marchandises, son siège social est situé à Ben Omar dans la commune de Kouba (Alger). Mohamed Lamine Boustila a plusieurs associés dans cette entreprise qui dispose d’un capital de 10 100 000,00 Da. Il s’agit de deux hommes d’affaires turcs : Arkas Lucien et Petrini Stefano. La manutention est un secteur très prisé par le fils du général-major Boustila. Preuve en est, il possède une autre entreprise dans ce secteur basée à Ouargla dénommée Sarl Fennec Logistics. Basée à Sidi Boughofala Bloc 36 Propriété N 39, elle fait dans le stockage sous douane. Le fils du général Boustila a un seul associé dans cette entreprise. Il s’agit de Bendouma Mohamed Kamel, originaire d’El Meniaa. De la manutention jusqu’à la location des engins pour le grands travaux du BTP, le chemin est très court et Mohamed Lamine Boustila le traverse très rapidement puisqu’il détient également une entreprise dans ce secteur. Basée à Khraïcia, dans les environs de Douéra à Alger, NY Public Works est une entreprise de travaux urbains et d’Hygiène publique qui développe également des activités dans la pose de canalisations à grande distance. Le capital de cette entreprise est très considérable puisqu’il a été fixé à 6 000 000,00 Da. Mohamed Lamine Boustila a investi aussi ses sous dans le consulting avec l’entreprise Maliva, basée à Bab Hassen, dans les environs d’Alger. Immatriculée le 16/04/2014, cette entreprise réalisent des études de marchés et des sondages. Une autre agence de consulting appartient au fils de l’ancien patron de la gendarmerie nationale. Elle s’appelle la Sarl Dyna Joob. Basée à Hydra, elle est un organisme de placements des travailles. L’agrément numéro 1460 lui permet de mener cette activité. Le bouillonnant Mohamed Lamine Boustila ne s’arrête pas là et s’associe avec son frère Yassine pour fonder une autre entreprise à Bab Hassen, appelée M Device et spécialisée dans l’importation des produits parapharmaceutiques et instruments médicaux-chirurgicaux. Cette entreprise a été immatriculée le 25/12/2014. En parallèle, son frère, Yassine, lance un autre business dans la restauration rapide avec un associé dénommé Baraka Amara Malika, avec lequel il a fondé 05/09/2016 la Sarl Burger Bar qui active à Dely Ibrahim. Les enfants du général-major Boustila finiront par céder à la tentation du secteur agroalimentaire en créant le 26/01/2017 El Van Food Industry qui produit à Bab Hassen de la chocolaterie et de la biscuiterie. Un certain Sofiane Razali est l’associé de Mohamed Lamine Boustila dans ce projet. Toutes ces entreprises, et d’autres encore qui font l’objet de nos investigations, forment l’empire de la famille Boustila. Un empire qui ne cesse de grandir et d’enrichir ses propriétaires ainsi que ses actionnaires. Le général-major Ahmed Boustila est décédé le 14 octobre 2018 à Paris. Et ses enfants continuent de profiter en toute impunité de l’immense fortune accumulée lorsque leur père fut pendant de longues années l’un des plus puissants généraux algériens. Aujourd’hui encore, personne n’ose leur demander des comptes. Et Ramzi Chérif, fils du général-Major Abderrazak Chérif, l’ancien chef de la 4e région militaire. Son père, certes, a été condamné le 13 novembre 2019 à 15 ans de prison ferme par le tribunal militaire de Blida, mais le fils, Ramzi, jouit toujours de sa liberté alors que les enquêteurs de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée (DCSA) ont découvert au cours de leurs investigations plus de 100 actes de propriété à son nom ! Sans oublier les propriétés immobilières et les immenses assiettes foncières dans la wilaya de Biskra. Et pourtant, la justice n’a jamais inculpé officiellement Ramzi Chérif et elle s’est contentée uniquement de le placer sous contrôle judiciaire. La fortune des enfants de Gaid Salah est également insignifiante face à celle du général Ghali Belkecir, l’ancien patron de la gendarmerie nationale limogée au mois de juillet 2019. Une somptueuse villa à Marbella, la prestigieuse station balnéaire espagnole, des appartements dans le 16e arrondissement de Paris, le plus prestigieux quartier de la capitale française, des sociétés offshore à Dubai et des comptes bancaires pleins craquer aux Emirats, le général Ghali Belkecir est assurément le général algérien le plus fortuné. Mais la justice algérienne n’a jamais ouvert la moindre enquête sur cette fortune suspecte et totalement immorale. Ghali Belkecir est, effectivement, accusé de “haute trahison”. Mais il n’a jamais été inquiété pour ses biens mal-acquis et son immense fortune à l’étranger. Comment peut-on prendre au sérieux dés lors ces sources judiciaires qui s’élèvent pour juger les fils de Gaid Salah, mais épargnent magistralement Ghali Belkecir et sa famille ? Et l’immense fortune du général Kamel Abderrahim ? Décédé en octobre 2017, le général Kamel Abderrahim a permis à sa famille avant sa mort de jouir d’une fortune considérable, l’une des plus grosses en Algérie. Et pourtant, rien ne prédestinait ce général puissant de l’armée algérienne au monde des affaires. Les Algériens ne connaissent pas ce personnage excentrique et intrigant. Ancien commandant des forces navales jusqu’à sa retraite (1987-1988), le général Kamel Abderrahim s’est reconverti en homme d’affaires durant les années 90 et fonde l’entreprise IMC, spécialisé dans la commercialisation des produits de dialyse et pharmaceutiques. Depuis plus de 15 ans, le monopole d’importation des équipements et consommables en hémodialyse, ces produits n’étant pas fabriqués, mais montés en Algérie, est détenu par un seul opérateur : La société INDUSTRIES MEDICO CHIRURGICAUX SARL. (IMC) Aucune entreprise n’a pu obtenir le visa technique pour les consommables de dialyse par le ministère de la santé, comme le stipule un autre arrêté du 06/06/2005 fixant le cahier des conditions techniques à l’importation des produits pharmaceutiques destinés à la médecine humaine hormis la société IMC. Cette situation de monopole permet au Général Kamel ABDERRAHIM de fixer les prix comme il l’entend en l’absence de toute concurrence, pénalisant ainsi l’Etat et le malade à qui il impose certains produits obsolètes et abandonnés de par le monde. L’appétit du Général ne s’arrête pas là puisqu’il a, en 2003, investi le marché des cliniques de dialyse en lançant à travers la société RENADIAL un réseau de près de 25 cliniques qui lui assurent plus de 2500 patients ! Grâce ses business, le général Abderrahim a offert à sa famille un monopole quasi-général sur un marché de plus de 500 millions d’euros en Algérie. Qui dit mieux ! Ni El Watan, ni le Soir d’Algérie ni El-Khabar n’ont jamais osé écrire une petite virgule sur ce monopole malsain et totalement immoral pour ne pas dire illicite. Pourquoi ? Parce que les enfants les enfants du général Kamel Abderarhim arrosent bien les journaux algériens avec ses milliards pour acheter leur silence. Cette indignation à deux vitesses face aux fortunes des décideurs algériens relève de la malhonnêteté et de la mauvaise foi. Et malheureusement, aucune justice ne peut être rendu sur la base de la mauvaise foi. Mais qui en est conscient aujourd’hui en Algérie ?
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Toute la toile algérienne s’est enflammée aujourd’hui en lisant les révélations sur la fortune cachée des fils d’Ahmed Gaid Salah. Une polémique nationale s’est déclenchée à travers tout le pays ébranlant ainsi le mythe fondateur d’un “Gaid Salah” pur et irréprochable. En vérité, ces révélations relancent plus que jamais le débat sur les liaisons dangereuses entre le pouvoir politique et l’argent. L’axe majeur du mal qui ronge profondément le pays. Le premier problème contre lequel le président Abdelmadjid Tebboune s’est engagé à lutter dans le but de donner naissance à une “nouvelle Algérie”.

Néanmoins, force est de constater que l’argent et le pouvoir est un fléau qui ne résume nullement à la seule famille de l’ex-chef d’Etat-Major de l’ANP, Ahmed Gaid Salah. Pis encore, le patrimoine financier de Boumédiene et Adel, les deux fils du défunt Ahmed Gaid Salah, parait infiniment plus petit que les autres empires bâtis par les enfants des autres généraux et personnalités politiques ayant dirigé pendant des années des institutions sécuritaires ou militaires.

Pourquoi personne ne parle des enfants du défunt général-major Ahmed Boustila ? Algérie Part a été le seul média algérien qui avait mené des investigations sur l’empire des enfants de ce général qui avait dirigé la Gendarmerie Nationale de juillet 2000 jusqu’au 15 septembre 2015.

15 ans de règne et d’influence qui ont fait du général-major Ahmed Boustila l’un des hauts gradés les plus puissants du pays. Et pendant que ce général siégeait sur le trône de la gendarmerie nationale, l’un des corps de sécurité les plus stratégiques, ses deux enfants faisaient des affaires et développaient petit à petit un véritable empire.

En effet, Mohamed Lamine Boustila et Yassine Boustila sont propriétaires ou actionnaires d’au moins 12 entreprises, a-t-on constaté suite à nos investigations. Parmi ces entreprises, nous pouvons citer ARKAS Terminal A Conteneurs. Spécialisée dans la manutention et le stockage de marchandises, son siège social est situé à Ben Omar dans la commune de Kouba (Alger). Mohamed Lamine Boustila a plusieurs associés dans cette entreprise qui dispose d’un capital de 10 100 000,00 Da. Il s’agit de deux hommes d’affaires turcs : Arkas Lucien et Petrini Stefano.

La manutention est un secteur très prisé par le fils du général-major Boustila. Preuve en est, il possède une autre entreprise dans ce secteur basée à Ouargla dénommée Sarl Fennec Logistics. Basée à Sidi Boughofala Bloc 36 Propriété N 39, elle fait dans le stockage sous douane. Le fils du général Boustila a un seul associé dans cette entreprise. Il s’agit de Bendouma Mohamed Kamel, originaire d’El Meniaa.

De la manutention jusqu’à la location des engins pour le grands travaux du BTP, le chemin est très court et Mohamed Lamine Boustila le traverse très rapidement puisqu’il détient également une entreprise dans ce secteur. Basée à Khraïcia, dans les environs de Douéra à Alger, NY Public Works est une entreprise de travaux urbains et d’Hygiène publique qui développe également des activités dans la pose de canalisations à grande distance. Le capital de cette entreprise est très considérable puisqu’il a été fixé à 6 000 000,00 Da.

Mohamed Lamine Boustila a investi aussi ses sous dans le consulting avec l’entreprise Maliva, basée à Bab Hassen, dans les environs d’Alger. Immatriculée le 16/04/2014, cette entreprise réalisent des études de marchés et des sondages. Une autre agence de consulting appartient au fils de l’ancien patron de la gendarmerie nationale. Elle s’appelle la Sarl Dyna Joob. Basée à Hydra, elle est un organisme de placements des travailles. L’agrément numéro 1460 lui permet de mener cette activité. Le bouillonnant Mohamed Lamine Boustila ne s’arrête pas là et s’associe avec son frère Yassine pour fonder une autre entreprise à Bab Hassen, appelée M Device et spécialisée dans l’importation des produits parapharmaceutiques et instruments médicaux-chirurgicaux. Cette entreprise a été immatriculée le 25/12/2014. En parallèle, son frère, Yassine, lance un autre business dans la restauration rapide avec un associé dénommé Baraka Amara Malika, avec lequel il a fondé 05/09/2016 la Sarl Burger Bar qui active à Dely Ibrahim.

Les enfants du général-major Boustila finiront par céder à la tentation du secteur agroalimentaire en créant le 26/01/2017 El Van Food Industry qui produit à Bab Hassen de la chocolaterie et de la biscuiterie. Un certain Sofiane Razali est l’associé de Mohamed Lamine Boustila dans ce projet. Toutes ces entreprises, et d’autres encore qui font l’objet de nos investigations, forment l’empire de la famille Boustila. Un empire qui ne cesse de grandir et d’enrichir ses propriétaires ainsi que ses actionnaires. Le général-major Ahmed Boustila est décédé le 14 octobre 2018 à Paris. Et ses enfants continuent de profiter en toute impunité de l’immense fortune accumulée lorsque leur père fut pendant de longues années l’un des plus puissants généraux algériens. Aujourd’hui encore, personne n’ose leur demander des comptes.

Et Ramzi Chérif, fils du général-Major Abderrazak Chérif, l’ancien chef de la 4e région militaire. Son père, certes, a été condamné le 13 novembre 2019 à 15 ans de prison ferme par le tribunal militaire de Blida, mais le fils, Ramzi, jouit toujours de sa liberté alors que les enquêteurs de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée (DCSA) ont découvert au cours de leurs investigations plus de 100 actes de propriété à son nom ! Sans oublier les propriétés immobilières et les immenses assiettes foncières dans la wilaya de Biskra. Et pourtant, la justice n’a jamais inculpé officiellement Ramzi Chérif et elle s’est contentée uniquement de le placer sous contrôle judiciaire.

La fortune des enfants de Gaid Salah est également insignifiante face à celle du général Ghali Belkecir, l’ancien patron de la gendarmerie nationale limogée au mois de juillet 2019.

Une somptueuse villa à Marbella, la prestigieuse station balnéaire espagnole, des appartements dans le 16e arrondissement de Paris, le plus prestigieux quartier de la capitale française, des sociétés offshore à Dubai et des comptes bancaires pleins craquer aux Emirats, le général Ghali Belkecir est assurément le général algérien le plus fortuné. Mais la justice algérienne n’a jamais ouvert la moindre enquête sur cette fortune suspecte et totalement immorale. Ghali Belkecir est, effectivement, accusé de “haute trahison”. Mais il n’a jamais été inquiété pour ses biens mal-acquis et son immense fortune à l’étranger. Comment peut-on prendre au sérieux dés lors ces sources judiciaires qui s’élèvent pour juger les fils de Gaid Salah, mais épargnent magistralement Ghali Belkecir et sa famille ?

Et l’immense fortune du général Kamel Abderrahim ? Décédé en octobre 2017, le général Kamel Abderrahim a permis à sa famille avant sa mort de jouir d’une fortune considérable, l’une des plus grosses en Algérie. Et pourtant, rien ne prédestinait ce général puissant de l’armée algérienne au monde des affaires. Les Algériens ne connaissent pas ce personnage excentrique et intrigant. Ancien commandant des forces navales jusqu’à sa retraite (1987-1988), le général Kamel Abderrahim s’est reconverti en homme d’affaires durant les années 90 et fonde l’entreprise IMC, spécialisé dans la commercialisation des produits de dialyse et pharmaceutiques.

Depuis plus de 15 ans, le monopole d’importation des équipements et consommables en hémodialyse, ces produits n’étant pas fabriqués, mais montés en Algérie, est détenu par un seul opérateur : La société INDUSTRIES MEDICO CHIRURGICAUX SARL. (IMC)

Aucune entreprise n’a pu obtenir le visa technique pour les consommables de dialyse par le ministère de la santé, comme le stipule un autre arrêté du 06/06/2005 fixant le cahier des conditions techniques à l’importation des produits pharmaceutiques destinés à la médecine humaine hormis la société IMC. Cette situation de monopole permet au Général Kamel ABDERRAHIM de fixer les prix comme il l’entend en l’absence de toute concurrence, pénalisant ainsi l’Etat et le malade à qui il impose certains produits obsolètes et abandonnés de par le monde. L’appétit du Général ne s’arrête pas là puisqu’il a, en 2003, investi le marché des cliniques de dialyse en lançant à travers la société RENADIAL un réseau de près de 25 cliniques qui lui assurent plus de 2500 patients !

Grâce ses business, le général Abderrahim a offert à sa famille un monopole quasi-général sur un marché de plus de 500 millions d’euros en Algérie. Qui dit mieux ! Ni El Watan, ni le Soir d’Algérie ni El-Khabar n’ont jamais osé écrire une petite virgule sur ce monopole malsain et totalement immoral pour ne pas dire illicite. Pourquoi ? Parce que les enfants les enfants du général Kamel Abderarhim arrosent bien les journaux algériens avec ses milliards pour acheter leur silence.

Cette indignation à deux vitesses face aux fortunes des décideurs algériens relève de la malhonnêteté et de la mauvaise foi. Et malheureusement, aucune justice ne peut être rendu sur la base de la mauvaise foi. Mais qui en est conscient aujourd’hui en Algérie ?



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