"L S A" Publié par A. Bouacha
le 17.09.2020 , 11h00
1152 lectures Annaba
76 harragas interceptés en 24 heures:Annaba
Les gardes-côtes de Annaba n’ont pas chômé durant les dernières 24 heures.
En effet, après les 19 harragas dont 2 mineurs, interceptés aux premières heures de la matinée de mardi, d’autres groupes formant au total 57 candidats à l’émigration clandestine ont été arrêtés en pleine mer, dans la journée de mardi et vers 1 heure du matin de ce mercredi. Tous de nationalité algérienne, ils sont âgés de 3 à 36 ans.
Les 43 harragas, âgés de trois à 36 ans, avaient parmi eux un enfant d’à peine 3 ans qu'accompagnait sa génitrice. Ils ont utilisé plusieurs embarcations artisanales pour détourner l’attention des gardes-côtes.
Les passeurs croyaient qu’au moment où ces derniers s’occupaient de la première embarcation, les autres, pourraient poursuivre tranquillement leur aventure.
Malgré ce subterfuge, ils n’ont pas échappé à la vigilance des gardes-côtes. Les concernés ont tous été ramenés sur la terre ferme où, après avoir été auscultés par le médecin de la Protection civile, les ayant déclarés en bonne santé, les gardes-côtes les attendaient pour un interrogatoire, avant de les présenter devant la justice.
A. Bouacha
Les Commentaires
76 harragas interceptés en 24 heures
0
Publié par A. Bouacha
le 17.09.2020 , 11h00
152 lectures
Les gardes-côtes de Annaba n’ont pas chômé durant les dernières 24 heures.
En effet, après les 19 harragas dont 2 mineurs, interceptés aux premières heures de la matinée de mardi, d’autres groupes formant au total 57 candidats à l’émigration clandestine ont été arrêtés en pleine mer, dans la journée de mardi et vers 1 heure du matin de ce mercredi. Tous de nationalité algérienne, ils sont âgés de 3 à 36 ans.
Les 43 harragas, âgés de trois à 36 ans, avaient parmi eux un enfant d’à peine 3 ans qu'accompagnait sa génitrice. Ils ont utilisé plusieurs embarcations artisanales pour détourner l’attention des gardes-côtes.
Les passeurs croyaient qu’au moment où ces derniers s’occupaient de la première embarcation, les autres, pourraient poursuivre tranquillement leur aventure.
Malgré ce subterfuge, ils n’ont pas échappé à la vigilance des gardes-côtes. Les concernés ont tous été ramenés sur la terre ferme où, après avoir été auscultés par le médecin de la Protection civile, les ayant déclarés en bonne santé, les gardes-côtes les attendaient pour un interrogatoire, avant de les présenter devant la justice.
A. Bouacha