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" Tebboune : «Ce peuple est désabusé par des années de gestion folklorique »

Publié le 08/10/2020
"L J I" Par Hocine Adryen Publié le 07 octo. 2020 à 20:22 "Tebboune : «Ce peuple est désabusé par des années de gestion folklorique »Le président de la République Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé mercredi dans le quotidien français l’Opinion, en duplex depuis Alger, dans un long entretien dans lequel il revient sur la situation politique du pays depuis la destitution de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. Cette fois-ci, il a tenu des propos très durs envers l’ancien locataire d’El-Mouradia. D’emblée, le président Abdelmadjid Tebboune a tenu à lever toute équivoque : « La Constitution est un document sacré. En Algérie, plus personne ne pourra la toucher pour réaliser un troisième mandat», promet-il. Pour la première fois, il désigne son prédécesseur comme étant impotent : « Le 22 février 2019, pratiquement toute la population est sortie dans la rue pour exprimer son ras-le-bol par rapport à tout ce qui s’était passé les deux à trois années précédentes et s’était achevé par une comédie de préparation d’une élection pour un cinquième mandat, sachant que le président Bouteflika était devenu impotent ». Selon le chef de l’Etat, le Hirak, « protégé » par l’Armée et les services de sécurité, «a mis fin à cette comédie. Ce mouvement populaire et civilisé s’est exprimé de façon très politique et très pacifique. Ses représentants avaient plusieurs doléances : l’arrêt du processus électoral, la fin du quatrième mandat, un changement radical de la gouvernance». Toujours selon le chef de l’Etat, le mouvement de protestation «est protégé par les services de sécurité contre les risques de provocation et de dérapage avec cette attitude civilisée qu’aucun lampadaire, aucune vitrine n’ont été cassés pendant le déroulement des marches». Ne mâchant pas ses mots sur les dernières années du règne de Bouteflika, le président Tebboune ose même comparer le pays alors à une république bananière, voire folklorique : «Ce furent les premières élections propres et transparentes. Le plus difficile fut de regagner la confiance de ce peuple désabusé par des années de gestion folklorique qui tenait de la république bananière. Il fallait montrer que le changement était radical au niveau de la gestion locale, régionale, nationale. Nous avons procédé à des changements dans tous les corps de l’Etat et nous nous sommes attelés à fournir les efforts pour que l’avant -projet de Constitution soit le reflet réel de la demande populaire de changement, comme je m’y étais engagé durant la campagne… La paix et la sérénité sont revenues. Nous sommes sur le bon chemin du retour de la confiance des Algériens envers leur État et leurs responsables et, à leur tête, leur président de la République.» En réponse aux accusations qui fusent de toutes parts de la part d’ONG, de personnalités nationales et celles d’une partie de l’opposition, il répond sans hésiter : «Nous avons dépassé depuis longtemps la période de l’unanimité et de l’unanimisme. Il y aura toujours des voix discordantes. Chacun voit les choses à sa manière. Une République qui cherche à entamer une vraie démocratisation de la vie publique tient compte de l’avis de la majorité tout en respectant les avis minoritaires. Il y a des ONG qui sont stigmatisées pour leur accointance, leur manière de voir les choses, leur négativisme, il y en a d’autres qui sont respectables, nous tenons compte de leurs avis». Evoquant l’état de santé de l’ancien Président, à la veille de sa destitution, Abdelmadjid Tebboune décrit «un Président malade, il ne parlait pas, il ne marchait pas, cela aurait pu aboutir à une catastrophe». Interrogé sur l’arrestation de journalistes, le président Tebboune s’en défend, rappelant, à ce propos, son engagement sur la liberté de la presse et insistant sur «la nécessité du respect de l’ordre public, mais les arrestations opérées ne sont pas faites sur la base des idées des personnes (…) Je peux vous assurer qu’aucun journaliste n’est arrêté parce qu’il est journaliste, nous respectons les journalistes, j’ai le plus grand respect pour la presse, mais le fait d’être journaliste ne donne pas droit à l’immunité».
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Nationale
Tebboune : «Ce peuple est désabusé par des années de gestion folklorique »


Le président de la République Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé mercredi dans le quotidien français l’Opinion, en duplex depuis Alger, dans un long entretien dans lequel il revient sur la situation politique du pays depuis la destitution de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika.

Cette fois-ci, il a tenu des propos très durs envers l’ancien locataire d’El-Mouradia.

D’emblée, le président Abdelmadjid Tebboune a tenu à lever toute équivoque : « La Constitution est un document sacré. En Algérie, plus personne ne pourra la toucher pour réaliser un troisième mandat», promet-il.

Pour la première fois, il désigne son prédécesseur comme étant impotent : « Le 22 février 2019, pratiquement toute la population est sortie dans la rue pour exprimer son ras-le-bol par rapport à tout ce qui s’était passé les deux à trois années précédentes et s’était achevé par une comédie de préparation d’une élection pour un cinquième mandat, sachant que le président Bouteflika était devenu impotent ».

Selon le chef de l’Etat, le Hirak, « protégé » par l’Armée et les services de sécurité, «a mis fin à cette comédie.

Ce mouvement populaire et civilisé s’est exprimé de façon très politique et très pacifique.

Ses représentants avaient plusieurs doléances : l’arrêt du processus électoral, la fin du quatrième mandat, un changement radical de la gouvernance».

Toujours selon le chef de l’Etat, le mouvement de protestation «est protégé par les services de sécurité contre les risques de provocation et de dérapage avec cette attitude civilisée qu’aucun lampadaire, aucune vitrine n’ont été cassés pendant le déroulement des marches».

Ne mâchant pas ses mots sur les dernières années du règne de Bouteflika, le président Tebboune ose même comparer le pays alors à une république bananière, voire folklorique : «Ce furent les premières élections propres et transparentes.

Le plus difficile fut de regagner la confiance de ce peuple désabusé par des années de gestion folklorique qui tenait de la république bananière.

Il fallait montrer que le changement était radical au niveau de la gestion locale, régionale, nationale.

Nous avons procédé à des changements dans tous les corps de l’Etat et nous nous sommes attelés à fournir les efforts pour que l’avant -projet de Constitution soit le reflet réel de la demande populaire de changement, comme je m’y étais engagé durant la campagne… La paix et la sérénité sont revenues.

Nous sommes sur le bon chemin du retour de la confiance des Algériens envers leur État et leurs responsables et, à leur tête, leur président de la République.»

En réponse aux accusations qui fusent de toutes parts de la part d’ONG, de personnalités nationales et celles d’une partie de l’opposition, il répond sans hésiter : «Nous avons dépassé depuis longtemps la période de l’unanimité et de l’unanimisme.

Il y aura toujours des voix discordantes.

Chacun voit les choses à sa manière.

Une République qui cherche à entamer une vraie démocratisation de la vie publique tient compte de l’avis de la majorité tout en respectant les avis minoritaires.

Il y a des ONG qui sont stigmatisées pour leur accointance, leur manière de voir les choses, leur négativisme, il y en a d’autres qui sont respectables, nous tenons compte de leurs avis».

Evoquant l’état de santé de l’ancien Président, à la veille de sa destitution, Abdelmadjid Tebboune décrit «un Président malade, il ne parlait pas, il ne marchait pas, cela aurait pu aboutir à une catastrophe».

Interrogé sur l’arrestation de journalistes, le président Tebboune s’en défend, rappelant, à ce propos, son engagement sur la liberté de la presse et insistant sur «la nécessité du respect de l’ordre public, mais les arrestations opérées ne sont pas faites sur la base des idées des personnes (…) Je peux vous assurer qu’aucun journaliste n’est arrêté parce qu’il est journaliste, nous respectons les journalistes, j’ai le plus grand respect pour la presse, mais le fait d’être journaliste ne donne pas droit à l’immunité».

"Cette gouvernance de voyous avait anéanti l'espoir de tout un peuple"

Ce n'est pas étonnant de voir des milliers d'algériens devenant des "HARAGAS".

Nos réseaux n'arrêter pas de tirer la sonnette d'alarme! pour signaler déjà depuis deux décennies les dérapages du gouvernement de voyous.

A commencer par la construction de l'autoroute "EST OUEST" menée par le ministre des travaux public Amar Ghoul qui était devenu "le kilomètre d'autoroute le plus cher au Monde, à cause des pots de vin à tout bout de champ!.

Ensuite nos réseaux signalaient les dérives de la construction du stade de Tizi Ouzou par Ali Haddad, est un dirigeant d'entreprise algérien, fondateur et PDG du Groupe ETRHB Haddad, et président du Forum des chefs d'entreprises qui avait couté deux fois le stade du Baern de Munich! la pareil pot de vin et détournement des milliards à tout và!.

Ensuite nos citoyens, réseaux, le peuple avait signalé les dépenses colossales, faramineuses sommes d'argent pour la construction de la grande mosquée d'Alger! alors que "L'Algérie compte 15 000 zones d'ombre habitées par 8,5 millions de citoyens, vivaient misérablement dans des baraquements et gourbis sans eau ni éclairage...loin de tout modernismes!...avec des hôpitaux datant de l'époque coloniales...et pendant ce temps là le président et des personnalités aller se soigner à Paris et en Suisse!.

Une quantités de dérives et Dilapidation de deniers publics, corruption en matière de marchés publics et abus de fonction délibéré par un agent public en violation des dispositions législatives sont les principales charges retenues contre l'ancien ministre de l'Industrie et des Mines Youcef Yousfi!...les bouchareb...la liste est longue.

Chakib Khellil et son fils spirutuel Faid Béjaoui...avec toutes les magouilles ils ont Décapité, le fleuron de l'industrie algérienne Sonatrach!.

Enfin les historiens pourront écrire des tonnes de livres sur toutes les dérives qui a subi le pays entier avec leur peuple...l'Aéroport d'Alger et dans chaque projet...nouvelles aventures de corruptions...pour finir notre justice à été impartiale et tout les membre du gouvernement...Tliba... ont fini en prison et d'autre en fuite...jusqu'au secrétaire du FLN Amar Saadaini.

Nous espérons et nous pensons qu'avec le président et le nouveau gouvernement avec l'aide de Dieu nous allons construire une Algérie Nouvelle amine!.

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