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Retour prochain au pays du président Tebboune La fin des spéculations

Publié le 02/12/2020
"'Retour prochain au pays du président Tebboune La fin des spéculations"L'épisode de sa maladie marque la grande cohésion nationale, la maturité de la société et un sens très élevé de l'idée que se font les Algériens de leur pays. épisode de sa maladie marque la grande cohésion nationale, la maturité de la société et un sens très élevé de l'idée que se font les Algériens de leur pays. Les Algériens soulagésLes Algériens soulagés Le dernier communiqué de la présidence de la République annonçant la guérison du chef de l'Etat a radicalement changé la donne politique à l'intérieur et à l'extérieur. La perspective d'un retour de Abdelmadjid Tebboune au palais d'El Mouradia a fait baisser la tension de plusieurs crans. En effet, les cercles qui échafaudaient des scénarii les plus invraisemblables et s'y étaient vu jouer un rôle ont déchanté. L'article 102 de la Constitution, la vacance du pouvoir, la période de transition avec Dieu sait comme instances fantoches bricolées dans les salons des hauteurs de la capitale et ailleurs, n'ont désormais plus de poids et, l'opinion nationale, qui affichait une inquiétude légitime, au vu de la pléthore d'«acteurs» nationaux et étrangers et le foisonnement d'«idées» et d'articles de presse sur le sujet, revient au calme qui la caractérise depuis la fin de la crise institutionnelle qui a secoué le pays tout au long de l'année 2019. Il faut dire, à ce propos, que tout au long du mois d'absence du président de la République, les Algériens n'ont eu, à aucun moment, la moindre velléité d'en découdre avec l'Exécutif. Bien au contraire, il y a lieu de souligner la grande sérénité dont a fait montre la société civile et politique durant tout le mois de novembre. Hormis quelques voix très minoritaires, sans influence sur l'opinion nationale, l'écrasante majorité de la classe politique a respecté l'homme et l'institution présidentielle, de sorte qu'aucun mouvement social ou politique n'a été enclenché. Cette maturité exemplaire de la société algérienne a été pour beaucoup dans l'échec des tentatives pilotées de l'étranger et qui visaient la déstabilisation du pays. La dernière en date, émanant du Parlement européen, a été reçue par la rue algérienne avec dédain. À l'exception de quelques organisations, dont tout le monde connaît la véritable obédience, la résolution du PE n'a pas été relayée dans la population. Les réseaux sociaux, qui constituent une jauge de la dynamique sociétale, n'ont pas retenu cette énième tentative des lobbies étrangers, comme leur sujet de discussion. Ce qui a par contre «chauffé» la Toile, ces derniers jours, c'est justement la maladie du président de la République. Les Internautes qui, parfois usent de la parodie, ont commenté à leur manière cette actualité, mais l'essentiel de l'attitude des Algériens par rapport à cette question était très loin des commentaires que font les médias étrangers sur ce qu'ils qualifient indûment de «traumatisme» de la société algérienne sur la maladie de ses présidents. Ça aurait été vrai, on n'aurait jamais assisté à la grande sérénité qui traverse la société ce dernier mois. Maintenant que le retour au pays du président de la République est acté et que les autres alternatives imaginées, ici et là, s'en trouvent caduques, le harcèlement que subit l'Algérie par presse, ONG et PE interposé, trouvera sa limite. En d'autres termes, le président de la République a sonné la fin de la récréation à travers un simple communiqué. Cet épisode marque la grande cohésion nationale, la maturité de la société et un sens très élevé de l'idée que se font les Algériens de leur pays. L'Algérie ne tient pas à un homme ou à une institution. L'Etat est fort et débout par la force de sa société. Si d'autres pays ont été détruits après la chute de leurs leaders respectifs, l'Algérie repose sur des rivières de sang de ses martyrs. L'absence du président de la République aurait pu durer plus longtemps encore, les tentatives de semer le chaos dans le pays n'atteindront pas les Algériens. N'ont-ils pas décidé en toute souveraineté de supporter quatre longues années un président impotent, sans que personne n'ait pu déstabiliser la République, malgré de multiples tentatives des lobbies? Et c'est souverainement qu'ils ont décidé d'écarter Bouteflika. C'est dire qu'en Algérie, un président incarne une institution chère au peuple algérien. Abdelmadjid Tebboune en a la charge. Et les Algériens, qu'ils aient voté ou pas, lui reconnaissent le statut acquis démocratiquement. Il reviendra bientôt au pays pour servir son peuple. Ce dernier l'observera faire et s'il décide de le suivre, il le fera souverainement. Saïd BOUCETTASaïd BOUCETTA 00:00 | 02-12-2020 Share
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La fin des spéculations.
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