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" Et si c’était le choix de l’Algérie ? Astra Zeneca « peu couteux et efficace » contre la COVID 19"

Publié le 28/12/2020
"Astra Zeneca « peu couteux et efficace » contre la COVID 19"Et si c’était le choix de l’Algérie ?" 28 Déc 2020"Le nombre des contaminations journalières à la Covid-19 est descendu sous la barre des 400. L’Algérie a, en effet, enregistré 392 nouveaux cas positifs, 6 décès et 357 cas de nouvelles guérisons durant les dernières 24 heures. Suite à ce bilan officiel, le nombre global des contaminations est ainsi porté à 98.249 cas, alors que celui concernant les décès, il est établi à 2728 morts, tandis que le nombre des guérisons a atteint 65.862 guérisons, depuis le début de l’épidémie en Algérie. Selon le bilan de la veille, rendu public samedi, 8 wilayas de la région Est n’ont enregistré aucun cas entre vendredi et samedi. Il s’agit des wilayas de Jijel, Annaba, M’sila, Tébessa, Guelma, Souk Ahras, El Tarf et Bordj Bou Arreridj. Durant la même période, Béjaïa a recensé 31 cas, Constantine 22 cas, Batna 12 cas, Biskra 3 cas, Skikda 2 cas, Khenchela et Mila 1 cas chacune. En mot, les chiffres communiqués par le ministère de la Santé sont rassurants ; mais ce qui l’est moins, c’est cette opacité entourant le type de vaccin que l’Algérie compte acquérir d’ici le mois de janvier. Une semaine après l’instruction du chef de l’Etat, rien ne semble bouger du côté du comité scientifique ; alors que la population demeure attentive scrutant la moindre annonce. Décembre tire à sa fin et les autorités sanitaires n’ont pas encore tranché sur le choix du vaccin. En l’absence d’une communication précise et ciblée, l’opinion publique reste livrée à la rumeur et aux fake news. Cette situation pour le moins intrigante ne fait que renforcer leur méfiance. L’Algérie accuse-t-elle des carences au niveau du processus d’homologation, dans la mesure où l’OMS tarde à valider même les vaccins qui sont actuellement utilisés dans certains pays ? La question est posée par de nombreux algériens. Astra Zeneca, un des laboratoires avec qui l’Algérie a entrepris des négociations très tôt, vient d’annoncer qu’il a trouvé « la formule gagnante ». « Nous pensons que nous avons trouvé la formule gagnante et comment arriver à une efficacité qui, avec deux doses, est élevée comme celle des autres », a déclaré le DG de Astra Zeneca, assurant que le vaccin permettrait une « protection de 100% contre les formes sévères de la Covid-19 ». Il y’a lieu de signaler que le vaccin Astra Zeneca est peu coûteux et peut-être conservé dans des congélateurs conventionnels. Ce sont là quelques critères recherchés par l’Algérie et de nombreux pays du tiers-monde. M.M
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En mot, les chiffres communiqués par le ministère de la Santé sont rassurants ; mais ce qui l’est moins, c’est cette opacité entourant le type de vaccin que l’Algérie compte acquérir d’ici le mois de janvier.
Une semaine après l’instruction du chef de l’Etat, rien ne semble bouger du côté du comité scientifique ; alors que la population demeure attentive scrutant la moindre annonce.
Décembre tire à sa fin et les autorités sanitaires n’ont pas encore tranché sur le choix du vaccin.
En l’absence d’une communication précise et ciblée, l’opinion publique reste livrée à la rumeur et aux fake news.
Cette situation pour le moins intrigante ne fait que renforcer leur méfiance.
. L’Algérie accuse-t-elle des carences au niveau du processus d’homologation, dans la mesure où l’OMS tarde à valider même les vaccins qui sont actuellement utilisés dans certains pays ? La question est posée par de nombreux algériens.
Astra Zeneca, un des laboratoires avec qui l’Algérie a entrepris des négociations très tôt, vient d’annoncer qu’il a trouvé « la formule gagnante ».
« Nous pensons que nous avons trouvé la formule gagnante et comment arriver à une efficacité qui, avec deux doses, est élevée comme celle des autres », a déclaré le DG de Astra Zeneca, assurant que le vaccin permettrait une « protection de 100% contre les formes sévères de la Covid-19 ».
Il y’a lieu de signaler que le vaccin Astra Zeneca est peu coûteux et peut-être conservé dans des congélateurs conventionnels. Ce sont là quelques critères recherchés par l’Algérie et de nombreux pays du tiers-monde.
Covid-19. Le vaccin d’AstraZeneca nécessite une « étude supplémentaire »

Le vaccin contre le Covid-19 développé par le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford nécessite « une étude supplémentaire », a indiqué ce jeudi 26 novembre 2020 le directeur général du groupe après des critiques concernant les résultats annoncés.
Soumis aux critiques, le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford ont admis avoir commis des impairs dans leur présentation d’un vaccin contre le coronavirus.






« Maintenant que nous avons trouvé ce qui semble être une meilleure efficacité, nous devons la valider, donc nous devons faire une étude supplémentaire », a déclaré, ce jeudi 26 novembre, Pascal Soriot, directeur général du groupe, dans une interview à l’agence Bloomberg.
Suivez ici l’actualité de ce jeudi 26 novembre sur le coronavirus

Les résultats de cette nouvelle étude internationale « pourraient être plus rapides » à obtenir, « car nous savons que l’efficacité est élevée donc nous avons besoin d’un plus petit nombre de patients », a-t-il précisé.

Selon lui, ces procédures ne devraient pas retarder l’approbation des régulateurs dans l’Union européenne et au Royaume-Uni mais le feu vert des autorités américaines pourrait prendre plus de temps.


Efficace à 70 % mais avec de grands écarts

Selon les résultats intermédiaires d’essais cliniques de grande échelle réalisés au Royaume-Uni et au Brésil, le laboratoire britannique avait annoncé lundi que son vaccin était en moyenne efficace à 70 %.


Cependant, derrière ce résultat en moyenne se cachent de grands écarts entre deux protocoles différents : l’efficacité est de 90 % pour les volontaires qui ont d’abord reçu une demi-dose, puis une dose complète un mois plus tard, mais de seulement 62 % pour un autre groupe, qui a pourtant été davantage vacciné, avec deux doses complètes à un mois d’écart.
Suivez ici l’actualité de ce jeudi 26 novembre sur le coronavirus

Les résultats de cette nouvelle étude internationale « pourraient être plus rapides » à obtenir, « car nous savons que l’efficacité est élevée donc nous avons besoin d’un plus petit nombre de patients », a-t-il précisé.

Selon lui, ces procédures ne devraient pas retarder l’approbation des régulateurs dans l’Union européenne et au Royaume-Uni mais le feu vert des autorités américaines pourrait prendre plus de temps.


Efficace à 70 % mais avec de grands écarts

Selon les résultats intermédiaires d’essais cliniques de grande échelle réalisés au Royaume-Uni et au Brésil, le laboratoire britannique avait annoncé lundi que son vaccin était en moyenne efficace à 70 %.


Cependant, derrière ce résultat en moyenne se cachent de grands écarts entre deux protocoles différents : l’efficacité est de 90 % pour les volontaires qui ont d’abord reçu une demi-dose, puis une dose complète un mois plus tard, mais de seulement 62 % pour un autre groupe, qui a pourtant été davantage vacciné, avec deux doses complètes à un mois d’écart.

Suivez ici l’actualité de ce jeudi 26 novembre sur le coronavirus

Les résultats de cette nouvelle étude internationale « pourraient être plus rapides » à obtenir, « car nous savons que l’efficacité est élevée donc nous avons besoin d’un plus petit nombre de patients », a-t-il précisé.

Selon lui, ces procédures ne devraient pas retarder l’approbation des régulateurs dans l’Union européenne et au Royaume-Uni mais le feu vert des autorités américaines pourrait prendre plus de temps.


Efficace à 70 % mais avec de grands écarts

Selon les résultats intermédiaires d’essais cliniques de grande échelle réalisés au Royaume-Uni et au Brésil, le laboratoire britannique avait annoncé lundi que son vaccin était en moyenne efficace à 70 %.


Cependant, derrière ce résultat en moyenne se cachent de grands écarts entre deux protocoles différents : l’efficacité est de 90 % pour les volontaires qui ont d’abord reçu une demi-dose, puis une dose complète un mois plus tard, mais de seulement 62 % pour un autre groupe, qui a pourtant été davantage vacciné, avec deux doses complètes à un mois d’écart.

Alors que l’injection d’une demi-dose était originellement due à une erreur, ce qui explique que seuls 3 000 patients aient suivi ce protocole, les résultats semblent montrer que ce premier schéma entraîne une meilleure réponse immunitaire.

Lire aussi : Covid-19. Six questions sur ces vaccins qui pourraient vous être administrés dans quelques semaines

La taille de ce groupe, ainsi que le fait que ce résultat soit dû à une erreur, a suscité des critiques.

Le chef scientifique de l’opération Warp Speed, montée par le gouvernement de Donald Trump pour soutenir le développement et la distribution des vaccins, Moncef Slaoui, a par ailleurs précisé que la cohorte avec la demi-dose avait un âge limite de 55 ans, excluant les groupes plus à risque.

La nouvelle étude sera donc chargée d’évaluer l’efficacité du vaccin à ce dosage plus faible.

Plus facile à stocker

Pour l’instant moins probant que celui de Pfizer/BioNTech ou de Moderna, le vaccin d’AstraZeneca présente cependant l’avantage d’utiliser une technologie plus traditionnelle que ces deux concurrents, ce qui le rend moins coûteux et plus facile à stocker puisqu’il peut être conservé dans des réfrigérateurs et non à très basse température.


Lundi, AstraZeneca avait dit avancer rapidement dans la fabrication prévue de 3 milliards de doses, qui seront disponibles en 2021. À titre de comparaison, Pfizer et son partenaire BioNTech ont annoncé 1,3 milliard de doses d’ici fin 2021.


Le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford développent un vaccin contre le coronavirus. | DADO RUVIC/REUTERS
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Le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford développent un vaccin contre le coronavirus.




"source info"

Ouest-France
avec AFP Publié le 26/11/2020 à 19h08
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