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Coronavirus : que sait-on de la nouvelle souche contagieuse au Royaume-Uni ?

Publié le 30/12/2020
"Doctissimo" AFP/Relaxnews Agence de Presse Mis à jour le 30 décembre 2020" Coronavirus : que sait-on de la nouvelle souche contagieuse au Royaume-Uni ?Un premier cas de la nouvelle souche du coronavirus beaucoup plus contagieuse que les autres, qui sévit à Londres et au Sud du Royaume Uni a été déclaré en France. Les déplacements en provenance du territoire britannique sont suspendus alors que la campagne de vaccination débute.
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Quelle est la nouvelle souche du virus au Royaume-Uni ?

"Une variante du virus SARS-CoV-2 de la maladie COVID-19, nommée le « VUI-2020-12-01 », a été détectée au Royaume-Uni", peut-on lire sur le site du Gouvernement. Le nom qui lui a été donné signifie "Variant Under Investigation", variante en cours d'investigation. Cette nouvelle souche comprend plusieurs mutations et entraînerait selon les premières évaluations une contagiosité accrue du nouveau coronavirus.

"Ce virus a diffusé essentiellement durant la période de confinement dans la partie Est et Sud-Est de l’Angleterre ainsi qu’à Londres, représentant dès Novembre 28 à 30% des cas diagnostiqués dans ces régions, et plus de 60% au 18 décembre 2020", rapporte une note du conseil scientifique datant du 22 décembre 2020. Selon le rapport, les analyses de données sont à vérifier mais suggèrent qu'il aurait été détecté surtout chez les enfants, les écoles étant encore ouvertes pendant la période de confinement au Royaume-Uni. Pour le Secrétaire d'Etat à la santé, Matt Hancock, cette souche pourrait jouer un rôle dans la propagation "exponentielle du virus dans le sud-est de l'Angleterre", sans savoir "dans quelle mesure". L'OMS a été informée de cette observation, a-t-il indiqué.


Un nombre de mutations "inhabituellement grand"

Le conseiller scientifique du gouvernement, Patrick Vallance, précise que cette variante contient pas moins de 24 changements par rapport au virus "original", un nombre de mutations qu'il juge "inhabituellement grand", d'autant plus que ces changements sont "associés aux changements dans la protéine que le virus fabrique (...) et à la manière dont le virus se lie aux cellules ou les pénètre" (notamment la mutation nommée N501Y).

Un virus plus contagieux ?

Selon les chiffres fournies par les autorités sanitaires britanniques, le R0 (la capacité de transmission du virus d'une personne à une autre) serait augmenté de +0,4 par rapport aux autres virus, "avec augmentation 'modérée' de la charge virale estimée à partir des valeurs RT-PCR". Cette souche pourrait donc être plus contagieuse que les autres.

En revanche aucune donnée, ne montre à ce jour une différence de gravité, ni de symptômes ou encore de durée de la maladie.

Selon le conseil scientifique c'est la fameuse mutation N501Y de cette nouvelle souche qui pourrait, "augmenter les capacités d'attachement au récepteur ACE2, participant de fait à une augmentation du risque de transmission."

Le récepteur ACE2 est un peu la porte d'entrée du virus Sars-Cov2 vers l'organisme. Le virus s'attache à cette protéine, présente sur le surface des cellules principalement pulmonaires. A partir de cet instant, une balance entre vasoconstriction et vasodilatation est modifiée ce qui entraîne les différentes conséquences en fonction des profils du patients.


Une étude publiée dans la revue scientifique The Cell a révélé que l'épidémie dans les communautés du Royaume-Uni se propageait plus rapidement lorsque le virus contenait la mutation 614G (une mutation déjà observée par des chercheurs américains) que par son ancêtre de Wuhan. Pour autant, si la maladie semble être plus contagieuse, il n'y a pas de preuve scientifique que cette modification entraîne des symptômes plus graves ou plus de décès.

"Les rapports préliminaires du Royaume-Uni indiquent que cette variante est plus transmissible que les virus en circulation précédents, avec une augmentation estimée entre 40% et 70% de la transmissibilité (ajoutant 0,4 au nombre de reproduction de base R0, l'amenant à une fourchette de 1,5 à 1,7)", détaille l'OMS dans un communiqué.

Pour tempérer les inquiétudes, pour le Pr. Alan McNally, chercheur à l'Université de Birmingham, il ne faut pas devenir "hystériques" face à cette information, déclare-t-il à la BBC. "Cela ne veut pas dire que c'est plus transmissible ou plus infectieux ou dangereux. C'est quelque chose à surveiller". Il ajoute que "d'énormes efforts sont en cours pour caractériser la variante et comprendre son émergence. Il est important de garder une perspective calme et rationnelle sur la souche car il s'agit d'une évolution virale normale et nous nous attendons à ce que de nouvelles variantes apparaissent et disparaissent et émergent avec le temps. "

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Pas de mortalité plus élevée

Avant d'en savoir plus sur les risques réels posés par la variante, l'OMS a recommandé dimanche à ses membres au niveau mondial d'accroître leurs capacités de séquençage du virus pour mieux identifier les cas présentant la mutation britannique.


Plusieurs pays européens ont décidé dimanche de suspendre tous les vols en provenance du Royaume-Uni après la découverte de cette nouvelle variante, qui est "hors de contrôle" selon le ministre britannique de la Santé.

Selon l'OMS, outre "des signes préliminaires que la variante pourrait être plus contagieuse", elle "pourrait aussi affecter l'efficacité de certaines méthodes de diagnostic", là aussi selon "des informations préliminaires".

Il n'y a en revanche "aucune preuve d'un changement de la gravité de la maladie", même si ce point fait aussi l'objet de recherches.

L'OMS donnera plus d'informations dès qu'elle aura "une vision plus claire des caractéristiques de cette variante", a indiqué une porte-parole dans un courriel à l'AFP.

Au niveau mondial, l'organisation onusienne recommande "à tous les pays d'accroître leurs capacités de séquençage du virus Sars-Cov-2 quand c'est possible et de partager les données au niveau international, notamment si les mêmes mutations problématiques sont identifiées".

L'inquiétude des épidémiologistes

L'information "sur cette nouvelle souche est très préoccupante", selon le Pr Peter Openshaw, immunologiste à l'Imperial College de Londres, cité par Science Media Centre. Notamment parce qu'"elle semble de 40% à 70% plus transmissible".

"C'est une très mauvaise nouvelle", renchérit le Pr John Edmunds, du London School of Hygiene & Tropical Medicine : "Il semble que ce virus est largement plus infectieux que la souche précédente".


Sur sa page Facebook le généticien français Axel Kahn a rappelé qu'à ce jour, "trois cent mille mutants de CoV-2 ont été séquencés dans le monde".

Selon le Dr Julian Tang, de l'Université de Leicester, "cette mutation N501Y circulait déjà sporadiquement bien plus tôt cette année en dehors du Royaume-Uni, en Australie en juin-juillet, aux Etats-Unis en juillet et au Brésil en avril".

"Les coronavirus mutent tout le temps et il n'est donc pas surprenant que des nouveaux variants du Sars-CoV-2 émergent", rappelle le professeur Julian Hiscox, de l'université de Liverpool. "Le plus important est de chercher à savoir si ce variant a des propriétés qui ont un impact sur la santé des humains, les diagnostics et les vaccins".

"Plus il y a de virus produits, donc de personnes infectées, plus il y a de mutations aléatoires et plus grande est la fréquence de mutations avantageuses pour le virus", relève encore le Pr Axel Kahn.

Y a-t-il des cas en France ?

Le ministère de la Santé a confirmé la détection d'un premier cas de la nouvelle souche qui sévit au Royaume-Uni en France, vendredi 25 décembre. Il s'agit d'une homme de nationalité française qui habite à Londres, venu séjourner à Tours (Indre-et-Loire) à partir du 19 décembre. "il a été pris en charge au CHU le 21 et détecté positif", explique le gouvernement dans un communiqué avant d'ajouter que le patient se porte bien et est actuellement isolé à son domicile.




#COVID19 | Les autorités sanitaires françaises confirment la détection le 25 décembre 2020, sur le territoire national, d’une première contamination au variant VOC 202012/01 du virus de la COVID19, variant actuellement très présent dans le sud-est de l’Angleterre.


December 26, 2020

Le procédé de contact-tracing a été mis en place afin d'identifier des cas contacts à risque, les prendre en charge et les isoler à leur tour. "Un système de détection et de surveillance des cas possibles d’infection ou de portage du variant VOC 202012/01 a été mis en place par Santé publique France et les Centres nationaux de référence, en lien avec les laboratoires d’analyses." Ce processus a également été mis en place pour les personnes revenant d'Afrique du Sud.

Le ministre de la Santé a précisé lundi 21 décembre à Europe 1 :"Nous faisons des études génotypiques, c'est-à-dire que les scientifiques prennent des virus identifiés par PCR chez un certain nombre de malades et font ce que l'on appelle un séquençage génétique. Et donc ils sont tout à fait capables de l'identifier".

Plusieurs résultats de prélèvements positifs auraient évoqué la présence de la souche variante VOC202012/01.


Pour Jean-Daniel Lelièvre, chef de service des maladies infectieuses de l'Hôpital Henri-Mondor dans le Val-de-Marne interrogé par France Info, le variant se trouve "déjà chez nous". Le spécialiste suggère de "prendre des précautions mais pas non plus à affoler les foules".

Des cas recensés au Danemark, en Belgique, aux Pays-Bas et en Australie, une nouvelle souche en Afrique du Sud

Selon l'OMS et l'agence européenne de contrôle des maladies (ECDC), une poignée de cas ont déjà été signalés hors du sol britannique : en Espagne, une dizaine en Italie, en Suède, au Danemark, ainsi qu'un cas aux Pays-Bas et en Australie.

La Belgique a détecté 4 cas de contamination à cette nouvelle variante "début décembre" selon les autorités sanitaires belges. Selon le porte-parole interfédéral de la lutte contre le coronavirus en Belgique, Yves Van Laethem, "c'est peu de chose, mais il n'est pas impossible qu'il y en ait plus". "Comme beaucoup de pays, nous ne pistons pas autant de souches que les Anglais qui font un énorme boulot à ce niveau-là".

Outre ces pays ayant repéré sur leur sol la souche venue du Royaume-Uni, "plusieurs autres pays ont signalé à l'OMS d'autres variantes qui portent certains des changements génétiques de la variante britannique", notamment une mutation dite "N501Y", selon l'OMS.


L'Afrique du Sud, qui a également signalé une variante problématique, considère que cette mutation "N501Y" est à l'origine d'un plus grand nombre de contagions.

Le pays "mène des recherches supplémentaires pour mieux comprendre le lien", souligne l'OMS.

Avec le début attendu de la vaccination, l'ECDC recommande également de surveiller de près les cas de vaccination inefficace, et le cas échéant de procéder à l'identification génétique de la souche des patients concernés.

Face à ces nouvelles, en France, le Conseil de défense a décidé de classer l'Afrique du Sud "dans la catégorie de ceux soumis à un test obligatoire avant embarquement".

La liste des pays décidant de suspendre les arrivées de voyageurs en provenance du Royaume-Uni ne cesse de s'allonger, après la découverte d'une nouvelle variante "hors de contrôle" du coronavirus sur le territoire britannique.

Cette nouvelle souche peut-elle être détectée par les tests ?

"Les techniques de RT-PCR permettent le diagnostic, mais sans l'identifier", rassure le conseil scientifique. "La plupart des tests antigéniques rapides (TRA) ou fondes sur l’ELISA détectent la protéine de nucléocapside du virus SARS-CoV-2. Ils n’ont donc a priori pas de raison d’être affectés par les mutations de la protéine Spike", ajoutent les experts.

Un problème pour le vaccin ?

"Ce variant génétique ne semble pas entraîner, à ce stade des connaissances, une gravité accrue ou une résistance au vaccin", précise dans son communiqué le gouvernement français. Il reprend en cela, les conclusions d'une réunion entre experts des pays de l'Union européenne citées par le ministre de la Santé allemande Jens Spahn : "D'après tout ce que nous savons à l'heure qu'il est et à la suite d'entretiens qui ont eu lieu entre les experts des autorités européennes, la mutation n'a pas d'impact sur les vaccins qui restent tout aussi efficaces".


L'OMS précise que "des études en laboratoire sont en cours pour déterminer si ces virus variants ont des propriétés biologiques différentes ou modifient l'efficacité du vaccin". Ils étudient également les risques de réinfection ainsi que la réponse immunitaire du corps face à cette nouvelle variante.

Londres, le sud-est et une partie de l'est de l'Angleterre reconfinés

Les mesures ne sont pas fait attendre du côté britannique. Les autorités ont décidé de reconfiner Londres, le sud-est du pays ainsi qu'une partie de l'Est dès samedi 19 décembre. "Nous devions reprendre le contrôle, et la seule manière de le faire est de restreindre les contacts sociaux", a expliqué Matt Hancock, interrogé sur Sky News. Les personnes vivant dans ces zones ne pourront pas passer Noël avec des personnes extérieures à leur foyer.

Une reprise limitée des flux vers le Royaume-Uni

Le dimanche 20 décembre, à l'issue d'un Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) présidé par le Président de la République, le gouvernement a décidé "la suspension à compter du 20 décembre à minuit (heure de Paris), et pour une durée de 48 heures, de tous les déplacements de personnes, y compris liés aux transports de marchandises, par voie routière, aérienne, maritime ou ferroviaire en provenance du Royaume-Uni. Seul le fret non accompagné sera donc autorisé". Les flux de personnes ou de transports en direction du Royaume-Uni n’étant pas concernés.


Ce délai de 48h avait pour but de permettre aux autorités françaises et celles des autres pays européens de se concerter afin "de définir une doctrine commune sur la régulation et le contrôle des flux en provenance du Royaume-Uni", comme le précise le Gouvernement. C'est également le moyen de "préparer opérationnellement une réouverture sécurisée des flux en provenance du Royaume-Uni à partir du 22 décembre, et qui s’appuiera sur un dispositif de test obligatoire au départ".

C’est chose désormais actée avec l’annonce de Jean Castex, le 22 décembre, “une reprise limitée des flux de personnes du Royaume-Uni vers la France sous condition sanitaire de tests négatifs, sensibles au variant".

Dans ce communiqué, le Premier Ministre précisait que “seules seront autorisées à se déplacer en France ou à y transiter depuis le Royaume-Uni, les Français et les ressortissants de l’Espace européen, les ressortissants britanniques ou de pays tiers qui résident habituellement en France, dans l’Union européenne ou dans l’Espace européen, ou qui doivent effectuer des déplacements indispensables".

Cette décision concerne tous les voyageurs, quelle que soit leur nationalité, qui devront présenter avant leur départ un test négatif de moins de 72 heures. Ce dispositif s’appliquera jusqu’au 6 janvier au moins.

Covid: les pays qui suspendent les arrivées depuis le Royaume-Uni

Une cinquantaine de pays ont suspendu depuis dimanche les arrivées de voyageurs en provenance du Royaume-Uni après la découverte d'une nouvelle variante du coronavirus sur le territoire britannique. Les restrictions, qui ont été allégées mercredi par trois pays voisins dont la France, s'étendent parfois à d'autres zones où la nouvelle souche a été détectée, comme Afrique du sud et Danemark.


France et Belgique

Le 20 décembre à minuit, la France suspend tous les déplacements de personnes en provenance du sol britannique, la Belgique les liaisons aériennes et ferroviaires.

A partir de mercredi, retour possible des ressortissants des deux pays, et des résidents sur leur territoire ou dans l'espace européen. La France, qui exige un test négatif au coronavirus et au variant, autorise également le retour des chauffeurs de poids lourds de toutes nationalités.

Pays-Bas

La suspension des vols et ferries de passagers en provenance du Royaume-Uni, et des vols en provenance d'Afrique du sud, prend fin mercredi. Tous les arrivants doivent présenter un test négatif récent.

Allemagne (jusqu'au 6 janvier)

Suspension des liaisons par "train, bus, bateau et avion" avec Royaume-Uni et Afrique du sud. Interdiction d'entrée pour les personnes arrivant de ces deux pays.

Italie (jusqu'au 6 janvier)

Suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.

Entrée interdite aux personnes y ayant séjourné au cours des 14 derniers jours. Test obligatoire pour toute personne se trouvant déjà en Italie en provenance de ce territoire.

Espagne (jusqu'au 5 janvier) et Portugal (depuis mardi)

Suspension des vols en provenance du Royaume-Uni, et des liaisons maritimes vers l'Espagne.

Irlande (jusqu'au 31 décembre)

Suspension des liaisons aériennes avec la Grande-Bretagne.


Luxembourg (jusqu'au 3 janvier)

Suspension des vols passagers réguliers en direction et en provenance du Royaume-Uni.

Pays nordiques

Norvège, Danemark et Suède (48 heures depuis lundi): suspension des vols en provenance du Royaume-Uni. La Suède ferme sa frontière avec le Danemark.

Finlande (jusqu'au 4 janvier): suspension des vols de passagers en provenance du Royaume-Uni.

Reste de l'Europe
●Suisse (jusqu'à nouvel ordre): interruption des liaisons aériennes avec Royaume-Uni et Afrique du sud. Quarantaine de dix jours pour toute personne venue de ces deux pays depuis le 14 décembre.
●Autriche (au moins jusqu'au 1er janvier): suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.
●Estonie, Lettonie, Lituanie: suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.
●Bulgarie, Roumanie (deux semaines à compter de lundi après-midi), Hongrie (depuis lundi soir): suspension des liaisons aériennes avec la Grande-Bretagne.
●Croatie (48 heures depuis dimanche): suspension des liaisons aériennes de passagers en provenance du Royaume-Uni.
●Macédoine; Albanie (jusqu'au 6 janvier): suspension des vols en provenance du Royaume-Uni, isolement de 14 jours pour toutes les personnes y ayant séjourné.
●République tchèque et Pologne (depuis lundi): suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.

Russie (une semaine à compter de mardi minuit)

Suspension des liaisons aériennes avec le Royaume-Uni.


Canada (72 heures depuis dimanche soir)

Suspension des vols de passagers en provenance de Grande-Bretagne.

Asie
●Hong Kong (depuis lundi minuit): suspension des vols de passagers en provenance de Grande-Bretagne.
●Inde (jusqu'au 31 décembre): suspension des vols en provenance de Grande-Bretagne.

Moyen-Orient
●Turquie: suspension des liaisons aériennes en provenance de Grande-Bretagne, du Danemark, des Pays-Bas et d'Afrique du sud.
●Iran et Jordanie (deux semaines): interruption des vols en provenance de Grande-Bretagne.
●Israël (depuis dimanche): interdiction d'entrée aux ressortissants étrangers en provenance du Royaume-Uni, du Danemark et d'Afrique du Sud.
●Les Israéliens qui rentrent de ces pays seront confinés dans des hôtels gérés par l'armée.
●Arabie saoudite (au moins une semaine depuis dimanche): suspension des vols internationaux et fermeture des accès terrestres et maritimes au territoire. Isolement de deux semaines pour tous les passagers arrivés à compter du 8 décembre d'Europe ou d'une région du monde où la nouvelle variante du virus a été signalée.
●Oman (une semaine à partir de mardi): fermeture des frontières aux déplacements des personnes.
●Koweit : interdiction des vols du Royaume-Uni.

Maghreb

Maroc (depuis dimanche): suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.

Tunisie (jusqu'à nouvel ordre): suspension de tous les vols à l'arrivée, au départ et au transit entre ses aéroports et ceux de Grande Bretagne, Afrique du Sud et Australie.


Algérie : arrêt des rapatriements de ressortissants algériens de Grande-Bretagne (seuls qui étaient autorisés depuis la fermeture des frontières le 17 mars).

Amérique latine
●Salvador et Panama : interdiction d'entrée à quiconque ayant séjourné au Royaume-Uni ou en Afrique du sud dans le mois écoulé. Idem au Paraguay pour les séjours dans les deux dernières semaines.
●Argentine, Chili : suspension des vols en provenance du Royaume-Uni.
●Pérou : suspension des vols en provenance d'Europe, interdiction d'entrée des étrangers non résidents qui ont séjourné au Royaume-Uni au cours des deux dernières semaines.

Maurice (depuis lundi minuit)

Fermeture des frontières avec Grande-Bretagne et Afrique du Sud.

Mesures sans suspension
●Liban: test PCR pour toute personne arrivant du Royaume-Uni, quarantaine en cas de test positif dans des centres prévus à cet effet.
●Grèce: quarantaine obligatoire de dix jours pour tous les voyageurs en provenance de Grande-Bretagne.






"Le vaccin se transforme en mutant"

beaucoup plus terrible!.
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