"De plus en plus d’Algériens impliqués dans des actes de délinquance en France : Arrêtez de salir l’image de

"De plus en plus d’Algériens impliqués dans des actes de délinquance en France : Arrêtez de salir l’image de notre pays !"


Algeriepart Plus

Malheureusement, c’es l’image de tout un pays qui est salie par quelques énergumènes mal-élevés qui versent dans la déviance la plus répugnante pour porter régulièrement atteinte à l’ordre public en France. Ces dernières semaines, voire depuis plusieurs mois, de plus en plus de ressortissants ou de migrants algériens sont impliqués dans des actes de délinquance qui ont soulevé l’indignation de l’opinion publique française. Ces individus salissent l’image de toute l’Algérie et déshonorent les valeurs nobles de la société algérienne qui ne tolère pas, elle-même, ces comportements immoraux.

L’implication des migrants algériens dans des graves actes de délinquance en France a pris une dimension alarmante à la suite de l’agression dramatique d’un photographe journaliste à Reims le samedi 27 février dernier. Le photo-journaliste Christian Lantenois a été sauvagement tabassé alors qu’il couvrait des regroupements de jeunes dans un quartier prioritaire de la ville de Reims. Une plainte a été déposée et une enquête est ouverte pour tentative de meurtre, selon l’AFP. Le journaliste se trouve actuellement hospitalisé dans «un état très critique mais stable». Cette agression sauvage a choqué la France entière. Et parmi les auteurs de ce drame, nous retrouvons un jeune ressortissant algérien, un certain Anes Saïd K., âgé de 21 ans qui a été placé, par la suite, en détention provisoire.

Le jeune algérien de 21 ans suspecté d’avoir frappé le photo-journaliste a été identifié et interpellé le lundi 1er mars «sur la voie publique». Le ressortissant Algérien n’est pas un inconnu de la justice : «condamné à huit reprises entre 2018 et 2019, notamment pour des faits de vols avec effraction, usage de stupéfiants et violences en réunion, il a été incarcéré à Reims du 16 avril au 19 mai 2020 pour ne pas avoir effectué le travail d’intérêt général auquel il était astreint», avait révélé à ce propos les autorités judiciaires françaises lorsqu’elles ont annoncé son placement en détention provisoire.

Impliqué dans cette agression qui a suscité un immense émoi, aussi bien localement que dans le monde des médias et chez de nombreux responsables politiques, jusqu’à l’Élysée, à savoir la Présidence Français, ce jeune Anes Said n’est, malheureusement, pas un cas isolé. De nombreux ressortissants algériens se sont très mal comportés ces dernières semaines ou ces derniers mois portant ainsi un sérieux préjudice à l’image de notre pays.

Fin septembre 2020, c’est un autre migrant algérien qui a suscité l’indignation générale lorsqu’il avait agressé deux jeunes femmes à Nantes pour les violer. Le jeune algérien, qui était âgé de 29 ans lorsque les faits ont eu lieu, s’est retrouvé dans un feuilleton judiciaire qui a tenu la France en haleine à partir du 28 septembre 2020. Il a été accusé par la justice française d’avoir agressé deux femmes à Nantes, en octobre et décembre 2017.

L’une des femmes a été surprise devant sa porte d’entrée, le matin alors qu’elle essayait d’entrer chez elle. L’agresseur, qu’elle ne connaissait pas, l’a étranglée puis violée. La deuxième femme a été surprise dans sa maison, en pleine nuit, par l’agresseur, qui a brisé une vitre pour entrer chez elle et ensuite la violer. L’ADN de ce migrant Algérien a été retrouvé sur le corps de la première victime, et dans la maison de la seconde victime. Le jeune homme était connu des services de police, mais sous un autre nom et une autre nationalité. Il avait déjà été expulsé vers l’Algérie en 2017, mais il est revenu en France quelques mois plus tard pour se marier.

Fin août 2020, c’est un autre ressortissant algérien qui a suscité un émoi collectif en France. Il s’agit d’un certain Houssame Hatri, en fuite lors de sa condamnation en 2018 à 16 ans de prison pour une agression antisémite avec viol à Créteil en 2014, qui avait été interpellé fin juillet en Algérie.

Il a été arrêté le 23 juillet par la police algérienne à Maghnia (nord-ouest) et incarcéré. Il sera rejugé en Algérie – qui n’extrade pas ses ressortissants comme la grande majorité des pays – pour ce crime. Le fugitif avait été localisé à Maghnia dès février grâce aux écoutes et aux surveillances réalisées auprès de son entourage par les enquêteurs français de la Brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF), saisie en janvier.

Ce ressortissant algérien est impliqué dans l’un des crimes les plus crapuleux ayant été commis récemment en France. Le 1er décembre 2014, Laurine et son compagnon d’alors, Jonathan, de confession juive, avaient été agressés par trois hommes, qui les avaient ligotés, bâillonnés avant de fouiller l’appartement à la recherche d’argent liquide, sous prétexte que « les juifs, ça met pas l’argent à la banque » et menaçant de les « buter ». La jeune femme avait été violée par l’un d’eux. Houssame Hatri s’était amusé à lâcher des couteaux sur le dos de Jonathan « pour (ses) frères en Palestine », avant de jeter au sol les symboles juifs et de proposer de les « gazer » à la lacrymogène.

L’agression avait provoqué à l’époque un fort émoi dans la communauté juive et la classe politique. Le ministre de l’Intérieur de l’époque Bernard Cazeneuve avait ensuite fait de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme une « cause nationale » du gouvernement français.

Début novembre 2020, c’est un autre migrant algérien, cette fois-ci un migrant en situation irrégulière, qui a suscité une autre polémique à la suite de condamné à six mois de prison avec sursis pour agression sexuelle sur une mineure handicapée. Les faits se sont déroulés entre janvier et juin 2020. Anouar, jeune un Algérien en situation irrégulière de 27 ans, a été reconnu coupable de deux agressions sexuelles sur une jeune fille handicapée de 14 ans. Il a été jugé par le tribunal correctionnel d’Avignon qui l’a condamné à six mois de prison avec sursis, en plus d’une interdiction de deux ans de se présenter dans la ville de Sorgues, où se sont déroulés les faits. Inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes, ce ressortissant algérien a, par ailleurs, été reconduit aux Pays-Bas.

Il faudra de longues pages pour répertorier tous les faits divers, incidents dramatiques ou actes de délinquance spectaculaires dans lesquels, malheureusement, certains de nos compatriotes ont joué les principaux rôles. Cette criminalité ne peut, naturellement, effacer toute la splendeur et noblesse de la grande communauté algérienne en France qui compte aussi de nombreux médecins, ingénieurs, entrepreneurs ou intellectuels ayant participé au rayonnement de la France. Mais, force est constater, que ces derniers mois, la multiplication de l’implication des ressortissants algériens dans des actes de délinquance d’une très grande gravité devra nous interpeller sur le danger des fléaux sociaux qui engloutissent de nombreux de nos compatriotes établis en France. Ces comportements nourrissent l’extrémisme et la xénophobie d’une partie de la société française et porte un préjudice à l’image de notre pays. N’est-il pas temps de se mobiliser contre cette délinquance dangereuse pour la dissocier définitivement de l’image de notre pays qui n’a guère besoin d’être rabaissée ?

"Une triste réalité"

Une minorité qui font honte à toute la communauté maghrébine et qui renforce de jour en jour la position du R N et Marine Lepen sera gagnante au prochaine élection!.

"Ce n'est étonnant"

Que le mouvement "qénération Identitaire" de plus en plus d'adhérents!.

Génération identitaire

Description

Génération identitaire est un mouvement politique identitaire créé en 2012, actif principalement en France. Le mouvement est considéré par certains médias américains comme nationaliste blanc, néofasciste et islamophobe, bien que le mouvement ne se soit jamais défini comme tel. Wikipédia

Fondateur : Damien Rieu

Création : septembre 2012

Siège social : 5, montée du Change; 69005 Lyon; France

Sigle : GI

Objet social : Défense et promotion des identités locales, régionales, française et européenne.