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"Amar Saïdani se réfugie au Maroc où il jouit de la protection du régime de Rabat"

Publié le 27/03/2021
"27/03/2021"Amar Saïdani se réfugie au Maroc où il jouit de la protection du régime de Rabat"Par Kamel M. – Des sources généralement bien informées indiquent qu’Amar Saïdani se trouverait au Maroc où le roi Mohammed VI lui assure la protection en contrepartie d’une mission que le Makhzen lui a confiée il y a quelques années, celle de promouvoir le slogan «Etat civil et non militaire», étrangement repris par la seconde édition du Hirak dévoyé par les islamistes. L’ex-président du Parlement a, ainsi, concouru à la dislocation du Département du renseignement et de la sécurité, le redoutable DRS, pour le compte du régime monarchique de Rabat.
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"Amar Saïdani se réfugie au Maroc où il jouit de la protection du régime de Rabat"


Par Kamel M. – Des sources généralement bien informées indiquent qu’Amar Saïdani se trouverait au Maroc où le roi Mohammed VI lui assure la protection en contrepartie d’une mission que le Makhzen lui a confiée il y a quelques années, celle de promouvoir le slogan «Etat civil et non militaire», étrangement repris par la seconde édition du Hirak dévoyé par les islamistes. L’ex-président du Parlement a, ainsi, concouru à la dislocation du Département du renseignement et de la sécurité, le redoutable DRS, pour le compte du régime monarchique de Rabat.






Le Makhzen lui sait, par ailleurs, gré d’avoir déclaré que «le Sahara est marocain, et rien d’autre que marocain», qu’«il a été retiré du Maroc à la conférence de Berlin» et que «l’Algérie, qui verse beaucoup d’argent à l’organisation appelée Polisario durant plus de 50 ans, a payé un prix très élevé, sans que l’organisation fasse quoi que ce soit ou ne sorte de l’impasse». Il avait, dans le même sillage, plaidé pour la réouverture des frontières avec le Maroc, fermées depuis 1994.

«Les relations entre l’Algérie et le Maroc sont plus importantes que ce problème, et la situation est aujourd’hui favorable car il y a l’élection d’un nouveau Président et un changement de régime en Tunisie, l’Algérie se prépare à des élections et le système est en train de changer. La Libye est aussi en train de se transformer, ce qui pourrait aider à la renaissance de l’Union du Maghreb arabe», avait-il renchéri, en ajoutant : «L’argent qui est versé au Polisario devrait partir à Souk-Ahras, El-Bayadh ou Tamanrasset.»

Plusieurs titres de la presse marocaine à la solde du Makhzen avaient repris, avec une exaltation à peine voilée, les propos d’Amar Saïdani, déclarant que sa sortie ne pouvait que «refléter un bouleversement» dans l’orientation à Alger. Réagissant aux propos de l’ancien homme-lige de Gaïd-Salah, le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui l’a qualifié d’«agent du Maroc». Le général Abdelaziz Medjahed l’avait, lui, qualifié de «personnage qui a émergé à l’époque des nains», estimant qu’«il ne connaît rien à l’histoire» et jugeant tout simplement «stupides» ses propos sur le Sahara Occidental.

Si l’innommable Amar Saïdani avait été épargné par la justice grâce à sa position à la tête du FLN et à sa proximité avec les centres de décision politique influents sous Bouteflika, il n’en demeure pas moins qu’il devra être jugé pour plusieurs délits. Il est notamment accusé d’avoir participé au détournement de 4 000 milliards dans l’affaire de la Générale des concessions agricoles (GCA). En 2008, alors qu’il s’apprêtait à quitter Alger à destination de Paris, Amar Saïdani avait été refoulé de l’aéroport, car il était frappé d’une interdiction de sortie du territoire national ordonnée par la justice. En juin 2007, il fut convoqué par le tribunal de Djelfa mais n’a jamais répondu à cette convocation. Cette affaire, qui a éclaté vers la fin de l’année 2006, et qui avait fait la Une des journaux, porte sur des délits de passation de marchés contraires à la législation, contrats fictifs, faux et usage de faux et paiement par anticipation à la réception d’ouvrages. Amar Saïdani y était mêlé à travers sa société-écran Al-Karama.

Après avoir menti sur ses biens dissimulés en France, alors qu’il présidait aux destinées du FLN, Amar Saïdani fut acculé par les révélations d’Algeriepatriotique et finit par passer aux aveux en reconnaissant avoir acquis un bien onéreux à l’étranger. «Oui, j’ai effectivement acheté un appartement à Paris», avait-il avoué dans un entretien au quotidien arabophone El-Khabar. Le voisin de Sarkozy avait tenu à préciser qu’il avait remis un dossier détaillé sur cette acquisition au chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général Toufik, contre lequel – schizophrénie ou manœuvre défensive ? – il avait débordé d’accusations inimaginables.

Algeriepatriotique avait mis la main, en novembre 2014, sur un document qui confirmait les acquisitions immobilières d’Amar Saïdani dans la capitale française. Il s’agit du contrat d’achat de l’un des deux appartements que nous avions pu «recenser» en avril 2014. D’une superficie de 101,61 m2, cet appartement a été acheté auprès d’un couple mexicain en novembre 2009. Il est situé au 9/15 boulevard Victor-Hugo, à Neuilly-sur-Seine. L’acquisition a été effectuée au nom de la société civile immobilière L’Olivier, créée en juillet 2009 – soit quelques mois auparavant – et gérée par l’une des filles d’Amar Saïdani, Kenza. Le siège social de la SCI L’Olivier, spécialisée dans l’acquisition et l’exploitation de tous biens et droits immobiliers, est sis au 48, rue de la Bienfaisance, dans le très chic VIIIe arrondissement de Paris. Outre Amar Saïdani, sont actionnaires dans cette société tous ses enfants et son épouse.

Pour acquérir l’appartement en question, Amar Saïdani a pris ses dispositions en évitant de payer cash la totalité du prix. En effet, comme le souligne le contrat, à travers la société L’Olivier, il a versé 317 500 euros et contracté un crédit immobilier de 347 500 euros auprès du Crédit du Nord, avec un taux d’intérêt annuel de 3,55%. Le coût de ce crédit est fixé à 147 745 euros, avec possibilité de réévaluation. Il le remboursera en 180 mensualités de 2 700 euros. Pour conclure cette transaction, le concerné a également déboursé plus de 33 000 euros en frais.

K. M.
"Comme un animal"

Il mangent à tous les râteliers.
"manger à tous les râteliers" 

profiter sans scrupule de toutes les situations possibles ; piocher sans hésiter dans tout ce qui peut être bénéfique ; profiter des situations de tous les partis.

Origine et définition

Grâce à votre perspicacité, vous avez deviné que râtelier et râteau sont des mots de même origine, qui est en l'occurrence le mot latin 'rastellum'.
Si le râteau est un instrument de jardinage muni à son extrémité de plusieurs tiges métalliques parallèles (ou dents), le râtelier est une structure à claire-voie disposée le long du mur d'une étable ou d'une écurie et sur laquelle on dépose le fourrage destiné à nourrir les animaux.
C'est parce que le râtelier est également composé d'un ensemble de tiges en bois ou en métal parallèles, et qu'il a donc une apparence similaire à un grand râteau, qu'il est nommé ainsi.
Et lorsqu'un animal, debout à côté d'un collègue, n'hésite pas à piocher dans la partie du râtelier qui est en face de l'autre, on peut dire qu'il ôte sans vergogne le 'pain' de la bouche du voisin.
C'est au milieu du XVIIIe siècle, chez Beaumarchais, dans le Mariage de Figaro que l'expression apparaît, sous la forme "manger à deux râteliers", métaphore où le râtelier désigne une situation généralement porteuse d'avantages, avec une personne qui, bien que disposant pourtant généralement de son propre 'râtelier', n'hésite pourtant pas à profiter sans scrupules de celui de quelqu'un d'autre, à ses dépens.
Mais la métaphore existait déjà un siècle auparavant, dans la forme "je leveray (j'enlèverai) le ratelier à ce gourmand".
Et comme le profiteur ne va certainement pas s'arrêter à un seul 'râtelier' supplémentaire, l'expression a évolué en incluant un 'tous' désignant toutes les situations dont il peut potentiellement profiter.
"Politique"

Algérie : Amar Saïdani, le nouveau patron (contesté) du FLN


29 août 2013 à 20h20 | Par Benjamin Roger


août 2013 à 20h20 | Par Benjamin Roger



Amar Saadani, nouveau secrétaire général du FLN.



Amar Saïdani a été élu, jeudi 29 août, nouveau secrétaire général du FLN. Seul candidat, en raison du désistement de ses deux adversaires, il a été plébiscité à main levée par le comité central du parti, mais sa victoire est largement contestée par ses rivaux.

Amar Saïdani, 63 ans, a été élu jeudi après-midi secrétaire général du Front de libération nationale (FLN). Ce proche de Saïd Bouteflika, l’influent frère cadet du président de la République, succède ainsi à Abdelaziz Belkhadem, destitué en janvier dernier de la tête du parti historique de l’indépendance algérienne.

L’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN) a été plébiscité lors d’un vote à main levée, auquel ont participé 274 membres du comité central du parti, réunis pour l’occasion à l’hôtel El-Aurassi d’Alger. Largement contestée par les adversaires d’Amar Saïdani, cette élection a été précédée de toute une série de rebondissements, mêlant rivalités intra-partisanes et intervention contradictoires des autorités gouvernementales et judiciaires du pays.

Belayat dénonce une réunion « illégale »

En guerre contre Saïdani, – impliqué, selon la presse algérienne, dans des affaires de détournement de fonds – le coordonnateur du bureau politique du parti, Abderrahmane Belayat, a qualifié « d’illégale » cette réunion du comité central. « Le Conseil d’État a annulé l’autorisation accordée au groupe de Boumehdi (pro-Saïdani, NDLR) pour l’organisation de cette réunion, d’où son caractère illégal », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse au siège du parti, qualifiant « d’illégitimes » les résultats de l’élection de jeudi. Le rival de Saïdani a même enfoncé le clou, faisant savoir que le bureau politique préparait la tenue d’une autre réunion du comité central du parti.

Avant le vote à l’hôtel El-Aurassi, trois candidats s’étaient déclarés pour le poste de secrétaire général : Mustapha Maâzouzi, Saïd Bouhadja, et Amar Saïdani. Les deux premiers s’étant finalement retirés, Saïdani avait la voie libre. À l’issue de sa victoire contestée, le nouveau secrétaire général du FLN s’est engagé ’’à unifier et resserrer » les rangs du parti. « Je m’engage à oeuvrer à unifier les rangs du parti et à instaurer la réconciliation entre les militants que j’invite à s’éloigner de tout ce qui peut contribuer à semer la discorde et la division », a-t-il affirmé devant une nuée de journalistes.

Benjamin Roger
"BRAVO SAÏD BOUTEFLIKA"

Amar Saïdani, 63 ans, a été élu jeudi après-midi secrétaire général du Front de libération nationale (FLN). Ce proche de Saïd Bouteflika, l’influent frère cadet du président de la République.

Amar Saadani1 né le 17 avril 1950 à Moularès en Tunisie2, est un homme politique algérien. Il a été entre 2004 et 2007 président de l'Assemblée populaire nationale (APN), puis du 1er septembre 2013 au 22 octobre 2016, secrétaire général du Front de libération nationale (FLN).

Biographie

Selon sa biographie officielle, Amar Saadani détient un baccalauréat littéraire et a fait des études en sciences politiques.

Il est devenu le onzième secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) à l’issue de la 6e session controversée1 de son Comité central tenue en 2013 à Alger.

Ancien cadre syndical (UGTA), il fut député à l’APN en 1997, et membre du comité central du FLN. Il a été, au sein de l’APN, président de la commission des transports, des transmissions et des télécommunications. Réélu député en 2002, il a occupé le poste de vice-président de l’Assemblée avant d’être élu, le 23 juin 2004, président de l’APN.

Le 22 octobre 2016, il démissionne du poste de secrétaire général du FLN, pour dit-il, raisons de santé. Le 4 mars 2020, il annonce démissionner de toutes les structures du FLN.



En 2008, Amar Saadani est mis en cause dans le scandale des détournements estimés à plus de 500 millions de dollars (52 milliards de dinars) de la Générale des concessions agricoles (GCA) via sa société écran Al Karama. Il est convoqué devant la juge d'instruction près du tribunal de Djelfa le 23 juin 2007 et frappé d'une interdiction de sortie du territoire (ISTN).

En 2014, le site web d'investigation français Mondafrique accuse Amar Saadani d'achats d'immobiliers suspects à Paris. Il a dans un premier temps nié toute implication dans cette affaire et prétendu ne détenir aucun actif en France. Il finira par admettre une acquisition, pour sa fille, en juillet 2015 dans les colonnes du quotidien El Khabar. Dans la même affaire le directeur de Mondafrique accusait Saadani de posséder « 300 millions d’euros » dans des banques et de « nombreux immeubles à Paris ».
Urgent. Algérie. Amar Saâdani, ex-dirigeant du FLN, se prononce ouvertement pour la MAROCANITÉ du Sahara

Par M'Hamed Hamrouch le 17/10/2019 à 16h03 (mise à jour le 17/10/2019 à 16h57)


amar saadani


Amar Saâdani, Secrétaire général du FLN.


© Copyright : DR

Dans une interview exclusive à notre confrère «Tout sur l’Algérie», parue ce jeudi 17 octobre, l’ex-SG du tout-puissant Front de libération nationale, Amar Saâdani, jette un gros pavé dans la mare de l’establishment algérien en se prononçant ouvertement pour la MAROCANITÉ du Sahara. Détails.








«Je considère que le Sahara est marocain et rien d’autre». Le propos est d’Amar Saâdani, ex-Secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), au pouvoir depuis l’Indépendance de l’Algérie, en 1962.



«Le Sahara a été enlevé au Maroc au congrès de Berlin. Aussi, je pense que l’Algérie a versé pendant cinquante ans des sommes faramineuses à ce qui est appelé le Polisario et cette organisation n’a rien fait et n’est pas parvenue à sortir de l’impasse», a indiqué ce vieux routier de la scène politique algérienne.




Lire aussi : Le patron du FLN, Amar Saâdani, voudrait que l’Algérie abandonne le Polisario



Évoquant les relations algéro-marocaines, ce vieux cacique du FLN s’est montré optimiste quant à leur avenir. «Je pense que la conjoncture est favorable car il y a l’élection d’un nouveau président et le changement de système en Tunisie, l’Algérie se dirige vers une élection et un changement de système, la Libye aussi vit une transformation», a-t-il relevé.



«La relation entre l’Algérie et le Maroc est plus grande que cette question (Sahara: Ndlr) », a-t-il estimé, soulignant encore que la normalisation des relations entre Alger et Rabat «peut concourir à relancer l’unité maghrébine comme l’ont voulue les vétérans du FLN et de tous les partis nationalistes, du Maroc, d’Algérie, de Tunisie et de toute l’Afrique du Nord».




Et ce n’est pas tout!



L’ex-haut responsable algérien a été on ne peut plus acerbe sur le front polisario, qu’il accuse de voler l’argent du contribuable algérien. «L’argent versé au Polisario, avec lequel ses membres se baladent depuis cinquante ans dans les hôtels de luxe, doit revenir à Souk Ahras, El Bayadh, Tamanrassset et autres villes. C’est mon avis, même s’il doit déplaire à certains », a-t-il asséné.



Pour rappel, Amar Saâdani avait appelé son pays, du temps même où il était secrétaire général du FLN (2015), à lever la main sur le dossier du Sahara, estimant que ce dossier était du seul ressort des Nations unies.


Par M'Hamed Hamrouch

Amar Saâdani, ex-SG du FLN: "le Sahara est marocain et rien d’autre"


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Le Sahara est marocain et cette question doit prendre fin, alors que l’Algérie et le Maroc doivent ouvrir leurs frontières et normaliser leurs relations, a déclaré l’ancien secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Amar Saâdani.



Amar Saâdani, ex-SG du FLN:






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Le 17 octobre 2019 à 16:34

Modifié le 17 octobre 2019 à 16:47








"En vérité, je considère que le Sahara est marocain et rien d’autre", a affirmé Amar Saâdani dans un entretien accordé au journal en ligne "Tout Sur l’Algérie" (TSA), publié jeudi.

"Aussi, je pense que l’Algérie a versé pendant cinquante ans des sommes faramineuses à ce qui est appelé le polisario et cette organisation n’a rien fait et n’est pas parvenue à sortir de l’impasse", a-t-il dit.

Il a estimé de même que "l’argent versé au polisario, avec lequel ses membres se baladent depuis cinquante ans dans les hôtels de luxe, doit revenir à Souk Ahras, El Bayadh, Tamanrassset et autres villes algériennes".

Relevant que la relation entre l’Algérie et le Maroc est plus grande que cette question, l’ancien président de l’Assemblée parlementaire nationale (APN) a jugé que "la conjoncture est favorable, car il y a l’élection d’un nouveau président et le changement de système en Tunisie, alors que l’Algérie se dirige vers une élection et un changement de système et la Libye aussi vit une transformation".

"Tout cela peut concourir à relancer l’unité maghrébine comme l’ont voulue les vétérans du FLN et de tous les partis nationalistes du Maroc, d’Algérie, de Tunisie et de toute l’Afrique du Nord", a soutenu Amar Saâdani dans cet entretien dans lequel il a longuement abordé la prochaine élection présidentielle prévue en décembre prochain en Algérie.

Vidéo : Amar Saïdani choque les algériens : la France nous a donné l'indépendance

24 janvier 2015, 14h44





Un lapsus révélateur ou une déclaration sérieuse de Amar Saâdani, le patron actuel du FLN ? En tout cas, cette phrase lancée par Amar Saïdani au terme d’une réunion avec les membres du bureau politique de son parti est, pour le moins que l’on puisse dire, hallucinante !

Les valeureux martyrs de la Guerre d’Indépendance se retourneront dans leurs tombes en écoutant les sornettes que le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, raconte en 2015. “Vous connaissez l’importance du sud du pays ? L’histoire nous éclaire. La France nous a donné l’Indépendance, mais nous a demandé de lui laisser le Sud. Le message peut être compris par tout le monde”, a-t-il déclaré devant des caméras de plusieurs télévisions algériennes. Amar Saïdani ignore peut-être que lIndépendance du pays a été arrachée après une terrible Guerre et une lutte acharnée qui ont duré plus de sept ans, au terme desquelles la cause algérienne contre le colonialisme français est sortie victorieuse.

La méconnaissance de l’histoire de la glorieuse guerre de libération nationale, de surcroît par le premier responsable du FLN, et cette rocambolesque déclaration incarnent une méprise intolérable. Sur les réseaux sociaux et le web, les internautes algériens n’ont pas tardé à exprimer leur indignation.

Agérie focus
"Deux nos jours"

Saîd Bouteflika libéré coule des jours heureux avec une retraite bien mérité.

Et notre honorable Amar Saadani secrétaire du parti éminent du FLN passe une retraite bien mérité parmi les palmerais de Marrakech.
"écoeuré"

je m'en vais faire une balade de 10km en vélo...pauvre de nous! quel pays tout de même!...plus d'homme! plus de dignité!...les râteliers ont des beaux jours devant eux!.
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