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"Santé publique: Trois syndicats appellent à une grève nationale le 7 avril "

Publié le 01/04/2021
"1er/04/2021"Santé publique: Trois syndicats appellent à une grève nationale le 7 avril" Santé publique: Trois syndicats appellent à une grève nationale le 7 avril par M. M. Pour «non satisfaction» de leurs revendications, trois syndicats de la Santé publique ont décidé d'une journée de grève nationale, prévue mercredi prochain. Il s'agit d'une «première action de protestation», annonce un communiqué commun du Syndicat national des Enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (SNECHU), du Syndicat national des Praticiens de la santé publique (SNPSP) et du Syndicat algérien des Paramédicaux (SAP). Les trois syndicats estiment que la crise sanitaire a révélé la «défaillance de notre système de santé, tant de fois décrié» par les organisations syndicales du secteur. «Malgré cela, le corps des soignants s'est impliqué sur le terrain, pour répondre au besoin urgent de la pandémie Covid-19, de prodiguer tous les soins nécessaires à nos citoyens et cela fait partie de notre devoir», ajoute le communiqué, qui «s'associe à la douleur des familles ayant perdu un proche», au cours de cette crise sanitaire, et rend «hommage aux personnels soignants décédés lors de leurs exercices, ayant contracté la Covid-19». Les SNECHU, SNPSP et SAP rappellent que des mesures annoncées, depuis le début de la crise sanitaire n'ont pas été concrétisées sur le terrain. «Le président de la République, en avril 2020, annonçait que des mesures de restructuration totale du système national de santé seront prises, en même temps que l'amélioration des conditions de travail du personnel de la Santé et l'octroi de la prime d'encouragement», rappelle le communiqué, ajoutant qu'il «était question aussi d'apporter une réflexion sur les statuts des établissements, par la mise en place de la Fonction publique hospitalière». Les trois syndicats constatent qu'«aucune de ces mesures n'a vu le jour». «Pire encore, même l'octroi de la prime d'encouragement prodiguée par le plus haut responsable de l'Etat, comme mesure incitative, se voit gelée depuis le mois de septembre 2020». «Aujourd'hui, le constat demeure amer. Aucune perspective. Après une année de lutte continue contre la pandémie Covid-19, le personnel de la Santé, épuisé, tous corps confondus, est déçu de la non concrétisation sur le terrain des différentes directives du président de la République, concernant l'amélioration des conditions de travail ainsi que la situation socio-économique de ce corps», ajoute le document. Le communiqué qualifie de «catastrophique» la gestion de la crise sanitaire «par la tutelle» à qui il est reproché de ne pas «inclure les véritables acteurs sur le terrain», «mais aussi les conditions de travail désastreuses, le manque de moyens et le burn-out que vivent, au quotidien, les blouses blanches». «Ajouté à tout cela, une entrave quotidienne dans plusieurs wilayas, à l'activité syndicale par certains responsables de l'administration», est-il précisé. Pour toutes ces raisons, les trois syndicats ont décidé d'observer une «journée de grève nationale, le 07 avril 2021 comme première action de protestation» et promettent «d'autres actions, en cas de non satisfaction de nos revendications».
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Santé publique: Trois syndicats appellent à une grève nationale le 7 avril

par M. M.


Pour «non satisfaction» de leurs revendications, trois syndicats de la Santé publique ont décidé d'une journée de grève nationale, prévue mercredi prochain. Il s'agit d'une «première action de protestation», annonce un communiqué commun du Syndicat national des Enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (SNECHU), du Syndicat national des Praticiens de la santé publique (SNPSP) et du Syndicat algérien des Paramédicaux (SAP). Les trois syndicats estiment que la crise sanitaire a révélé la «défaillance de notre système de santé, tant de fois décrié» par les organisations syndicales du secteur. «Malgré cela, le corps des soignants s'est impliqué sur le terrain, pour répondre au besoin urgent de la pandémie Covid-19, de prodiguer tous les soins nécessaires à nos citoyens et cela fait partie de notre devoir», ajoute le communiqué, qui «s'associe à la douleur des familles ayant perdu un proche», au cours de cette crise sanitaire, et rend «hommage aux personnels soignants décédés lors de leurs exercices, ayant contracté la Covid-19».

Les SNECHU, SNPSP et SAP rappellent que des mesures annoncées, depuis le début de la crise sanitaire n'ont pas été concrétisées sur le terrain. «Le président de la République, en avril 2020, annonçait que des mesures de restructuration totale du système national de santé seront prises, en même temps que l'amélioration des conditions de travail du personnel de la Santé et l'octroi de la prime d'encouragement», rappelle le communiqué, ajoutant qu'il «était question aussi d'apporter une réflexion sur les statuts des établissements, par la mise en place de la Fonction publique hospitalière». Les trois syndicats constatent qu'«aucune de ces mesures n'a vu le jour». «Pire encore, même l'octroi de la prime d'encouragement prodiguée par le plus haut responsable de l'Etat, comme mesure incitative, se voit gelée depuis le mois de septembre 2020». «Aujourd'hui, le constat demeure amer. Aucune perspective. Après une année de lutte continue contre la pandémie Covid-19, le personnel de la Santé, épuisé, tous corps confondus, est déçu de la non concrétisation sur le terrain des différentes directives du président de la République, concernant l'amélioration des conditions de travail ainsi que la situation socio-économique de ce corps», ajoute le document.

Le communiqué qualifie de «catastrophique» la gestion de la crise sanitaire «par la tutelle» à qui il est reproché de ne pas «inclure les véritables acteurs sur le terrain», «mais aussi les conditions de travail désastreuses, le manque de moyens et le burn-out que vivent, au quotidien, les blouses blanches». «Ajouté à tout cela, une entrave quotidienne dans plusieurs wilayas, à l'activité syndicale par certains responsables de l'administration», est-il précisé.

Pour toutes ces raisons, les trois syndicats ont décidé d'observer une «journée de grève nationale, le 07 avril 2021 comme première action de protestation» et promettent «d'autres actions, en cas de non satisfaction de nos revendications».
"Il y a vraiment de quoi?"

si les caisses sont vide les solutions existes: le président doit prendre une décision de faire appel au FMI pour protéger la population!.
Le communiqué qualifie de «catastrophique» la gestion de la crise sanitaire «par la tutelle» à qui il est reproché de ne pas «inclure les véritables acteurs sur le terrain», «mais aussi les conditions de travail désastreuses, le manque de moyens et le burn-out que vivent, au quotidien, les blouses blanches». «Ajouté à tout cela, une entrave quotidienne dans plusieurs wilayas, à l'activité syndicale par certains responsables de l'administration», est-il précisé.
Pour toutes ces raisons, les trois syndicats ont décidé d'observer une «journée de grève nationale, le 07 avril 2021 comme première action de protestation» et promettent «d'autres actions, en cas de non satisfaction de nos revendications».
"le président et notre gouvernement"

doivent agir au plus vite! notre peuple ne peut pas toujours rester "les yeux lever au ciel" pour attendre un miracle?.
"Exemple de ce qui fait en France par leur président"

"Nous sommes trop lents ! " Cette nuit, Macron a appelé à une relance européenne plus forte et plus rapide"

Évoquant les 1.900 milliards de dollars du plan de relance des États-Unis, le président Macron, dans son discours de cette nuit tenu à l'issue du sommet des 27, a estimé que cette réponse allait leur permettre de retrouver très vite leur trajectoire antérieure. En comparaison, il a estimé que la relance actuelle de l'UE était insuffisante, que faute d'une réponse plus forte et plus rapide, elle risquait de sortir de crise plus tardivement.



Le président français Emmanuel Macron a estimé jeudi que l'Europe devra "améliorer" et "compléter" sa réponse économique et budgétaire à la crise du Covid-19 afin que la relance soit "plus vigoureuse" et ne diverge pas trop de celle des Etats-Unis.


"C'est un des enseignements de la crise pour l'Europe comme pour la France: il nous faut simplifier drastiquement nos réponses. Nous sommes trop lents, nous sommes trop complexes, nous sommes trop engoncés dans nos propres bureaucraties", a ajouté le chef d'Etat devant la presse à l'issue du sommet européen qui s'est tenu en visioconférence.

Résumant les discussions entre les 26 autres dirigeants de l'UE, Emmanuel Macron a souligné que la sortie de la crise passait "par un maintien des mesures de soutien budgétaire aussi longtemps que durera la crise sanitaire et la mise en oeuvre rapide du plan de relance européen" de 750 milliards d'euros qui avait été adopté en juillet.

Avec cet engagement "extrêmement fort", l'UE "a apporté une réponse à la hauteur" à la suite de la première vague de l'épidémie du printemps 2020. Mais, suite aux 2e et 3e vague (...), il nous faudra sans doute compléter cette réponse", a-t-il ajouté.

"La force de la réponse américaine et du plan annoncé il y a quelques jours par le président Biden et son Congrès nous placent face à une responsabilité historique", a estimé le chef de l'Etat, en faisant allusion à la décision d'injecter 1.900 milliards de dollars dans l'économie américaine.

Sur la base des projections, "on voit bien que les États-Unis vont retrouver à peu près mi-2021 le niveau absolu qui était le leur avant la crise et surtout vont très rapidement retrouver la trajectoire qui était la leur", a-t-il souligné. Alors que l'UE ne retrouvera ce niveau "qu'au printemps-été 2022", soit "un décalage de trajectoire qui est préoccupant parce que c'est une perte de croissance potentielle", selon lui.

"Cela suppose une réponse sans doute plus vigoureuse et je pense que c'est cette discussion qu'il nous faut avoir entre Européens", a-t-il conclu, en appelant à "investir encore plus vite et plus fort sur nos priorités sectorielles".
Le chef de l'Etat veut ainsi "lancer le débat et "planter une graine" sur ce sujet qu'il n'a pas encore abordé avec ses homologues, selon une source diplomatique française.
Finalement les trois grandes missions du FMI sont : d'accorder des prêts aux pays en difficulté financière ; de conseiller les États membres quant à leur politique économique ; d'apporter une assistance technique et des offres de formation aux États membres dans le besoin.
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