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Saïda Neghza : « Il faut créer 1000 Issad Rebrab, et non pas 1000 Haddad »

Publié le 05/04/2021
Par: Sonia Lyes —01 Avril 2021 Saïda Neghza : « Il faut créer 1000 Issad Rebrab, et non pas 1000 Haddad » Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes, était ce jeudi 1er avril en visite dans une des unités du groupe Cevital à Bejaïa. L’occasion pour elle de mettre en exergue tout ce que fait l’industriel pour la création de richesses et d’emplois.
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Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes, était ce jeudi 1er avril en visite dans une des unités du groupe Cevital à Bejaïa. L’occasion pour elle de mettre en exergue tout ce que fait l’industriel pour la création de richesses et d’emplois.



« Il faut créer 1000 Issad Rebrab, et non pas 1000 Haddad », a-t-elle déclaré sur place à des journalistes. S’adressant « à ceux qui veulent casser ce groupe », elle rappelle qu’il s’agit du « plus grand groupe d’Afrique » qu’il faut encourager car il crée de la richesse.





Neghza dénonce la « Issaba cachée »

Saïda Neghza s’en prend ouvertement à ceux qui mettent des bâtons dans les roues au premier industriel du pays et qui « ont brisé tous les hommes honnêtes », les qualifiants de « Issaba cachée », qui est « toujours présente en force et continue à casser l’Algérie et à saboter le programme du président de la République ». Pour elle, M. Rebrab suit les instructions du gouvernement et du président. « Si ce n’était pas le cas, je ne serais pas ici », dit-elle. « Le groupe Cevital ne travaille pas contre l’Algérie et son président, a-t-elle dit. Rebrab n’est pas contre l’Algérie, n’est pas contre le président et le gouvernement ».

« Pourquoi vouloir casser un homme d’affaires qui veut servir le pays ? », s’interroge-t-elle. « Dans le monde entier, il y a des milliers de Rebrab, nous aussi nous avons besoin de milliers de Rebrab », insiste-t-elle, regrettant le fait que par le passé, « on a créé des Haddad », en référence au propriétaire de l’ETRHB et ancien président du FCE, aujourd’hui emprisonné, après avoir été condamné dans des affaires de corruption.

Comme exemple du « sabotage » dont sont victimes les hommes d’affaires, elle cite cet investisseur d’El Kseur, qu’elle ne nomme pas, et qui aurait été « cassé » par le maire, « dont le rôle est pourtant d’encourager l’investissement ». « Ne cassez pas les entreprises qui sont debout », conclut-elle.
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