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Le projet de l’usine Peugeot en Algérie est toujours d’actualité

Publié le 15/04/2021
Le projet de l’usine Peugeot en Algérie est toujours d’actualité
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Le projet d’une usine automobile Peugeot en Algérie est toujours d’actualité. C’est ce qu’a indiqué l’opérateur et patron du groupe privé Condor, Abderrahmane Benhamadi, dans un entretien paru ce mercredi 14 avril 2021 dans le quotidien El Watan.

« Formé par un montage financier atypique (public, privé algérien et étranger), le projet Peugeot Algérie, détenu à hauteur de 49% par PSA, l’Etat algérien à travers PMO 20%, l’entreprise Belarbi 15,5% et Condor 15,5%, ce qui représente 51% des actions, est toujours d’actualité », a rappelé le Président directeur général (PDG ) de Condor. Ajoutant que « pour la relance du gigantesque projet devant créer de l’emploi et de la richesse, on n’attend que la publication de la nouvelle réglementation régissant l’industrie automobile en Algérie ».

Il faut dire que ce projet s’est fait attendre sachant que le protocole d’accord pour sa création a été signé en 2017. Il a fallu cependant attendre l’été 2019 pour voir les travaux de sa réalisation réellement lancés. Ce retard est dû à un différend sur l’assiette de terrain devant l’accueillir.

Une usine qui se fait attendre

Prévue initialement au niveau de la localité d’El Hamoul, dans le sud de la wilaya d’Oran, le projet avait été délocalisé à Tafraoui dans la même wilaya, située dans l’ouest de l’Algérie. L’usine devait entrer dans sa phase de production au premier semestre 2020 avec une capacité de 25.000 véhicules par an. Une capacité qui devait être revue à la hausse pour atteindre les 50.000 véhicules puis à 75.000 unités à l’horizon 2024, selon les prévisions annoncées alors.

En 2020, le chef de l’Etat a tout remis en cause dans ce dossier relatif au montage de véhicules en Algérie. Pour Abdelmadjid Tebboune, il n’existait pas une réelle industrie automobile en Algérie. Décision a été prise d’ailleurs de suspendre cette “fabrication” jusqu’à nouvel ordre. Le chef de l’Etat voulait repartir sur de nouvelles bases dans ce dossier. Il a annoncé, il y a à peine quelques jours, que le montage des véhicules va être relancé cette année en Algérie.
rien a comprendre........EMBOUTEILLAGE ...........bouchon........une population qui lutte pour pouvoir vivre;;;;;;;;;;;de l'autre on veut construire des usines de voitures.......au lieu tout simplement de favoriser LES TRANSPORTS EN COMMUNS;;;;;;;;;c'est l'anarchie à tout va!.
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