Intrigues à la Casa de Dély Brahim Qui veut pousser Belmadi vers la sortie ?

L’avenir de Djamel Belmadi à la tête de l’équipe national est plus que jamais incertain. L’éventualité de son départ est de plus en plus évoquée par les médias spécialisés, qui, au-delà de leurs extrapolations habituelles, ont cette fois-ci eu le mérite de traiter le sujet avec une certaine lucidité. Dès le 9 avril dernier, moins d’une semaine de la tenue de l’assemblée générale élective de la FAF, qui a vu le candidat du « consensus » remporter une course où il était le seul participant, Djamel Belmadi déjà plaint des « conditions chaotiques qui ne lui permettaient pas d’être dans des positions et dans des dispositions à même de mener à bien ses missions d’entraineur ». C’était clair ; un ressort s’est brisé quelque part, mais personne au sein de la FAF ou dans l’entourage du milieu sportif ne voulait en parler. La confiance de Djamel Belmadi a-t-elle été trahie ? Par qui et dans quel objectif ? Quoi qu’il en soit, il n’a beaucoup apprécié la manière dont Kheiredine Zetchi avait été liquidé, selon le souhait des pouvoirs publics, qui n’ont même pas tenu compte du bon travail qu’il a effectué. Qu’il ait été désigné par le clan Bouteflika, le patron de Paradou a tout de même été pour quelque chose dans le succès de l’EN en terre égyptienne. Il ne méritait pas une telle humiliation. En tout cas, c’est l’avis du sélectionneur national, qui n’a pas admis qu’un président de la fédération qui a accompli un bon travail, qui a gagné une coupe d’Afrique des nations, avec qui, il était sur « la même longueur d’onde », et qui « a tenu tous ses engagements », soit contraint à quitter de cette façon, qui n’a absolument aucun rapport avec le foot. Djamel Belmadi a-t-il réellement envie de changer d’air ? Peu probable, sauf si certains cercles influents ont décidé de le pousser vers la sortie. Ce qui n’est nullement une vue de l’esprit. Depuis que l’EN est devenue une source de joie, d’espoir et d’énergie à un peuple, dont une partie est engagée dans le Hirak, Djamel Belmadi est devenue une cible pour ceux qui s’obstinent à démoraliser les Algériens, en les privant de tout ce qui pourrait contribuer à leur rendre le sourire. Va-t-il donc rompre son contrat, alors qu’en son for intérieur, il ambitionne de remporter une seconde coupe d’Afrique des nations, se qualifier au Mondial de Qatar et y jouer les premiers rôles ? A priori, ce n’est pas son genre. Mais l’attitude du nouveau président de la fédération algérienne de football pourrait changer la donne. Et tout indique donc que le courant ne passera jamais entre les deux hommes, qui n’ont eu aucun contact. Et c’est d’ailleurs, ce qui semble le plus plausible. Le commentateur Hafid Derradji, bien introduit dans certains cercles qui n’ont rien à voir avec le foot, mais qui sont très influents, a déjà évoqué une démission de Djamel Belmadi envoyée au secrétaire général de la FAF ! Faut-il croire le journaliste de BeiN Sports ? Evidemment non, si l’on se réfère au « mauvais » rôle joué par ce dernier dans les tentatives de manipulation du Hirak. Si la déception de Djamel Belmadi est bien réelle, la mauvaise foi de Hafid Derradji l’est aussi.

Mohamed M

C’était clair ; un ressort s’est brisé quelque part, mais personne au sein de la FAF ou dans l’entourage du milieu sportif ne voulait en parler. La confiance de Djamel Belmadi a-t-elle été trahie ? Par qui et dans quel objectif ? Quoi qu’il en soit, il n’a beaucoup apprécié la manière dont Kheiredine Zetchi avait été liquidé, selon le souhait des pouvoirs publics, qui n’ont même pas tenu compte du bon travail qu’il a effectué. Qu’il ait été désigné par le clan Bouteflika.

le patron de Paradou a tout de même été pour quelque chose dans le succès de l’EN en terre égyptienne. Il ne méritait pas une telle humiliation. En tout cas, c’est l’avis du sélectionneur national, qui n’a pas admis qu’un président de la fédération qui a accompli un bon travail, qui a gagné une coupe d’Afrique des nations, avec qui, il était sur « la même longueur d’onde », et qui « a tenu tous ses engagements », soit contraint à quitter de cette façon, qui n’a absolument aucun rapport avec le foot.

ses engagements », soit contraint à quitter de cette façon, qui n’a absolument aucun rapport avec le foot. Djamel Belmadi a-t-il réellement envie de changer d’air ? Peu probable, sauf si certains cercles influents ont décidé de le pousser vers la sortie.

Depuis que l’EN est devenue une source de joie, d’espoir et d’énergie à un peuple, dont une partie est engagée dans le Hirak, Djamel Belmadi est devenue une cible pour ceux qui s’obstinent à démoraliser les Algériens, en les privant de tout ce qui pourrait contribuer à leur rendre le sourire.

Mais l’attitude du nouveau président de la fédération algérienne de football pourrait changer la donne. Et tout indique donc que le courant ne passera jamais entre les deux hommes, qui n’ont eu aucun contact.

"on un mot"

il fallait maintenir une équipe qui gagne.....le démission de KZ met un coup dans le moral des suppoters..........nous sommes mal barré pour la suite!.