Vous êtes ici >> Accueil/Annaba Actualités/Algérie: Le docteur Bekkat met en garde et rappelle :
Zone Membre
Publicités

Algérie: Le docteur Bekkat met en garde et rappelle :

Publié le 17/05/2021
Le docteur Bekkat met en garde et rappelle : ‘‘La période d’alerte sanitaire toujours en vigueur’’
« Actualité précédente
Algérie: Fin de calvaire ?
Actualité suivante »
Pour mettre fin à l'occupation en Palestine

Les Commentaires


Malgré ses rapports plus ou moins conflictuels avec le ministre de la Santé, le docteur Mohamed Bekkat Berkani est toujours membre du comité scientifique. Sa mise à l’écart de cette structure à cause de ses déclarations jugées inopportunes par Abderrahmane Benbouzid n’a jamais été confirmée. Il est également membre de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE). Une double casquette qui le place parmi les autorités scientifiques et médicales les plus influentes, dont les interventions sont suivies avec beaucoup d’intérêt. Il a été sollicité par la chaîne III de la radio nationale, dans la perspective d’une ouverture très attendue des frontières, du moins aériennes, mais aussi de l’approche de la campagne électorale, afin d’expliquer à l’opinion les mesures, qui pourraient être prises par rapport à une probable reprise des vols internationaux (opérations de rapatriement des ressortissants algériens bloqués à l’étranger entre autres). D’emblée, il a insisté sur « l’obligation d’effectuer des tests PCR 36 heures à l’avance, suivis du test antigénique en plus de l’obligation de confinement en cas de positivité des tests ». Rappelant que la « période d’alerte sanitaire demeure toujours en vigueur », il a indiqué que « les compagnies aériennes et maritimes ont la responsabilité de veiller à la sécurité sanitaire de tous les voyageurs dans les espaces de transit ou dans les aéronefs ». Aussi, il n’a pas manqué de préciser que « les mesures barrières doivent demeurer obligatoires, comme le port du masque, la mise à disposition des passagers du gel hydro-alcoolique ainsi que le respect de la distanciation physique sans oublier l’aération des locaux ». « Les compagnies aériennes, y compris Air Algérie au cas où celle-ci est autorisée à reprendre les vols internationaux, sont responsables de la sécurité sanitaire de tout voyageur », a-t-il souligné, avant de rappeler qu’ « il n’est pas question d’importer cette maladie, alors que nous sommes en phase de stabilisation ». Tout en faisant savoir que « la décision de commencer à rapatrier nos ressortissants mais aussi celle de permettre aux Algériens qui travaillent hors du pays de quitter le territoire, appartient aux autorités politiques et ce, en fonction des priorités à définir pour ouvrir de manière progressive nos frontières », le docteur Mohamed Bekkat Berkani n’a pas omis de mettre en exergue le rôle de l’Algérie, qui, selon lui, figure parmi « les premiers pays à avoir rapatrié des dizaines de milliers de ses ressortissants à commencer par les étudiants qui étaient bloqués au début de la pandémie à Wuhan ». Abordant les élections législatives, qui vont avoir lieu dans moins d’un mois, il a indiqué avoir déjà établi un protocole sanitaire remis au président de l’ANIE. Il a ajouté que ce protocole sanitaire a été déjà appliqué lors du référendum sur la Constitution en novembre 2020, en observant que cette fois, la difficulté réside dans la gestion du « nombre de personnes qui seront présentes dans les bureaux de vote compte tenu du nombre de candidats en lice qui demandent à être observateurs ». Pour le professeur Rachid Belhadj, directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha d’Alger, « l’Algérie peut rapatrier ses ressortissants bloqués à l’étranger mais avec des conditions draconiennes et un suivi rigoureux et une insistance de surveillance sanitaire à la moindre alerte ». Le même responsable a estimé que la reprise de l’opération de rapatriement « est très difficile à prendre et exige une gestion stricte », rappelant que « l’épidémie a été importée par nos ressortissants à l’étranger ». « Tant que le virus est là, la prudence doit être de règle. On ne doit pas courir le risque d’avoir une source d’autres vagues à gérer », a-t-il mis en garde.

Mohamed M


faisant confiance à notre ministre de la santé

qui avait promis la fabrication du vaccin Russe Spoutnik 5 en Algérie AU 1er septembre 2021...il a intérêt d'être à la hauteur de ses promesses...PLUS QUE TROIS MOIS! si non il ira balayer le sable dans le désert ou aller cintrer des bananes en Côte d'ivoire ou direction el harach à lui de choisir! le peuple on a marre des belles promesses ....qui vivra verra!.
Pour ajouter un commentaire, vous devez être membre de notre site !

Identifiez-vous :


Ou Inscrivez-vous gratuitement !

Dernières brèves

Articles similaires