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France-Algérie, la dernière carte

Publié le 05/06/2021
France-Algérie, la dernière carte
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"France-Algérie, la dernière carte"


Echéance. Dans l'entretien accordé au journal français Le Point, le président Tebboune a fait part de son analyse sur les relations entre la France et l'Algérie. Après avoir rappelé le lourd passé colonial en Algérie que la France ne parvient pas à assumer, Il a conclu que si les deux pays «n'arrivent pas à jeter des passerelles solides entre les deux pays sous la présidence Macron, cela ne se fera jamais, et nos pays garderont toujours une haine mutuelle». Cette prévision, pour le moins pessimiste, repose sur une série de faits et d'étapes qui ont eu lieu depuis l'indépendance de l'Algérie et qui plongent leurs racines jusqu'au XIXe siècle et même au-delà. On connaît la version officielle de la France sur l'origine de «l'expédition militaire» menée en 1830 contre l'Algérie. Laquelle s'était transformée par la suite, en colonie de peuplement puis en annexion pure et simple. Durant 132 années, la France coloniale a fait subir au peuple algérien des exactions autrement plus barbares que les actes de piraterie invoqués à l'époque pour justifier l'invasion. Le président algérien a rappelé la sauvagerie de l'armée coloniale. «Extermination, enfumades, spoliations, l'horreur,...», ont été les mots utilisés par le président Tebboune avant de poser cette question: «Pourquoi tient-on à la reconnaissance de ce qu'ont subi les Arméniens, les juifs, et ignore-t-on ce qui s'est passé en Algérie?». Il a également tenu à préciser que «ce n'est pas la France de Voltaire, la France des Lumières que l'on juge. C'est la France coloniale». Trois présidents français ont tenté de prendre le chemin de la reconnaissance de cette triste histoire. Jacques Chirac a échoué avec son traité d'amitié. Après lui, François Hollande a quitté le pouvoir avec sa seule «espérance d'une relation forte» entre son pays et l'Algérie. Emmanuel Macron lui a succédé et qui est «le plus éclairé d'entre tous» dira de lui Tebboune. Avant d'ajouter que de tous ses prédécesseurs, Macron « a été le plus loin». C'est pourquoi, le président algérien a la conviction que «c'est maintenant ou jamais». En effet, le président Macron a eu le courage de qualifier les atrocités du système colonial de «crime contre l'humanité». Il veut aboutir au souhait du peuple français (métropolitain faut-il préciser) qui, le 8 avril 1962, a voté à 90,81% pour des relations apaisées avec l'Algérie. Macron réussira-t-il là où Chirac et Hollande ont échoué?.

Zouhir MEBARKI 05/06/2021
Echéance. Dans l'entretien accordé au journal français Le Point, le président Tebboune a fait part de son analyse sur les relations entre la France et l'Algérie.

Après avoir rappelé le lourd passé colonial en Algérie que la France ne parvient pas à assumer, Il a conclu que si les deux pays «n'arrivent pas à jeter des passerelles solides entre les deux pays sous la présidence Macron, cela ne se fera jamais, et nos pays garderont toujours une haine mutuelle».

Cette prévision, pour le moins pessimiste, repose sur une série de faits et d'étapes qui ont eu lieu depuis l'indépendance de l'Algérie et qui plongent leurs racines jusqu'au XIXe siècle et même au-delà.

On connaît la version officielle de la France sur l'origine de «l'expédition militaire» menée en 1830 contre l'Algérie.

Laquelle s'était transformée par la suite, en colonie de peuplement puis en annexion pure et simple.

Durant 132 années, la France coloniale a fait subir au peuple algérien des exactions autrement plus barbares que les actes de piraterie invoqués à l'époque pour justifier l'invasion.

Le président algérien a rappelé la sauvagerie de l'armée coloniale.

«Extermination, enfumades, spoliations, l'horreur,...», ont été les mots utilisés par le président Tebboune avant de poser cette question: «Pourquoi tient-on à la reconnaissance de ce qu'ont subi les Arméniens, les juifs, et ignore-t-on ce qui s'est passé en Algérie?».

Il a également tenu à préciser que «ce n'est pas la France de Voltaire, la France des Lumières que l'on juge.

C'est la France coloniale».

Trois présidents français ont tenté de prendre le chemin de la reconnaissance de cette triste histoire.

Jacques Chirac a échoué avec son traité d'amitié.

Après lui, François Hollande a quitté le pouvoir avec sa seule «espérance d'une relation forte» entre son pays et l'Algérie.

Emmanuel Macron lui a succédé et qui est «le plus éclairé d'entre tous» dira de lui Tebboune.

Avant d'ajouter que de tous ses prédécesseurs, Macron « a été le plus loin».

C'est pourquoi, le président algérien a la conviction que «c'est maintenant ou jamais».

En effet, le président Macron a eu le courage de qualifier les atrocités du système colonial de «crime contre l'humanité».

Il veut aboutir au souhait du peuple français (métropolitain faut-il préciser) qui, le 8 avril 1962, a voté à 90,81% pour des relations apaisées avec l'Algérie.

Macron réussira-t-il là où Chirac et Hollande ont échoué? .
Le seul qui pourrait arriver à tout réparer serait le président Emmanuel Macron il est sur la bonne voie il faut poursuivre.

* Soigner la population du Sahara qui sont contaminer par les radiations.

* Décontaminer les zones contaminées par les radiations.

* Indemniser le peuple algérien à la hauteur des dégâts des radiations à tous les niveaux, par la constructions des hôpitaux, écoles, logements, routes, et tous les équipements sportifs, éducations, culturelles, et toutes les demandes auprès de nos ministres et experts dans ces domaines.

* La restitution du canon de baba Meroug.

* La restitution des canons exposés dans la cour des invalides à Paris.

* La restitution de l'ensemble des objets personnel de l'Emir Abdelkader détenu par le Duc d'Omale dans le château de Chantilly.

* La demande officielle du pardon d'avoir envahi l'Algérie en grande pompe au pied du monument des martyrs de la révolution dans la capitale d'Alger.

* la réparation de la toiture de la mairie de la ville d'Annaba comme à son origine détruite par l'OAS.

* Et à toutes les demandes qui sont jugées nécessaires auprès de notre président de la république Algérienne M.Abdelmajid Tebboune et de son premier ministre et son gouvernement.

Et avec la satisfaction totale entre nos deux pays pour une entente cordiale avec une amitié durable pour toujours.

* Un match d'une rencontre de football France/Algérie....à Paris et à Alger.
Avec le président E.Macron il a la volonté d'y arriver il y une très bonne entente entre nos deux présidents il faut poursuivre les négociations.
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