Ni endettement extérieur ni planche à billets : Le pétrole pour absorber les déficits

Ni endettement extérieur ni planche à billets : Le pétrole pour absorber les déficits
Aïmene BenabderrahmaneAïmene Benabderrahmane, Premier ministre et ministre des Finances
SAID GADA 26 OCTOBRE 2021 À 10 H 45 MIN 1622
Quels sont les moyens de résorber le déficit budgétaire qui est abyssal sans recourir ni à la planche à billets ni à l’endettement extérieur ? Ce n’est pas sophistiqué, ni compliqué, comme le préconisent de nombreux experts. Le Premier ministre et ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a une réponse toute simple : «Le prix référentiel du baril de pétrole a été fixé à 45 dollars, alors que le prix du baril est actuellement aux environs de 85 dollars.

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Ainsi, le Fonds de régulation des recettes où sera versé ce surplus, contribuera à l’absorption de ce déficit». Selon le Premier ministre qui s’exprimait avant-hier devant les membres de la commission des finances de l’Assemblée populaire nationale (APN), «l’Algérie est l’un des rares pays dans la région où la dette intérieure atteint des niveaux faibles, et qui n’a pas eu recours à l’endettement extérieur durant la période de la crise sanitaire en dépit de ses répercussions sur les économies du monde, et ce, grâce aux mesures adoptées par les pouvoirs publics en la matière». Pris sous cet angle, on peut croire que le gouvernement a bel et bien accompli un immense exploit.

Quels sont les moyens de résorber le déficit budgétaire qui est abyssal sans recourir ni à la planche à billets ni à l’endettement extérieur ? Ce n’est pas sophistiqué, ni compliqué, comme le préconisent de nombreux experts. Le Premier ministre et ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a une réponse toute simple : «Le prix référentiel du baril de pétrole a été fixé à 45 dollars, alors que le prix du baril est actuellement aux environs de 85 dollars.

Ainsi, le Fonds de régulation des recettes où sera versé ce surplus, contribuera à l’absorption de ce déficit». Selon le Premier ministre qui s’exprimait avant-hier devant les membres de la commission des finances de l’Assemblée populaire nationale (APN), «l’Algérie est l’un des rares pays dans la région où la dette intérieure atteint des niveaux faibles, et qui n’a pas eu recours à l’endettement extérieur durant la période de la crise sanitaire en dépit de ses répercussions sur les économies du monde, et ce, grâce aux mesures adoptées par les pouvoirs publics en la matière». Pris sous cet angle, on peut croire que le gouvernement a bel et bien accompli un immense exploit.

Le pétrole pour absorber les déficits

Actuellement nous faisons des économies sur les ventes du pétrole et du gaz!

ça serait un bon moment d'y penser pour nous construire le" METRO d'Annaba".

Et pourquoi pas une deuxième ligne de téléphérique pour remédier au problème des pannes d'une seule ligne qui est souvent en pannes qui dur des années!.

Pour donner un peu de gaitée à notre ville ça serait également le bon moment de relancer des salles de cinémas!.

Pour maintenir notre jeunesse il faut moderniser notre ville il n'y a rien du tout niveau animation?...Walou!

cinéma jadis plusieurs sall! de nos jours fermées abondonnées!.

Colisé, Variétées, Vox, Empire, Olympia, Rex, Marignane, Régent, Pax, Majestic...