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Annaba. Environnement et état des routes

Publié le 20/01/2007

Cela dure et perdure. Pratiquement, l’ensemble des rues de Annaba et de ses banlieues sont dans un état déplorable. Certaines sont même devenues impraticables, au grand dam des automobilistes qui ne savent plus à quel saint se vouer.

Effectuer des travaux d’utilité publique, tels que la réfection des canaux d’évacuation d’eaux usées, d’acheminement d’eau potable ou divers réseaux de communication et de conduite de gaz domestique, relève d’initiatives à encourager et à multiplier.

Cependant, cela ne doit pas être accompli au détriment de l’environnement et des chaussées carrossables. A Annaba, et cela semble être entré dans les moeurs, depuis belle lurette, on a pris les mauvaises habitudes d’éventrer les rues pour effectuer des travaux, sans les remettre dans l’état où elles étaient. Ce qui, à la longue, a fait tâche d’huile partout à travers les artères de la ville, leur conférant une multitude de nids de poule, ressemblant à de vastes morceaux de gruyère. Les automobilistes sont contraints de conduire en slalomant, à croire qu’ils sont en état d’ébriété avancé, alors que c’est le déplorable état des chaussées qui les oblige à faire des dribbles pour éviter les trous. Tout un chacun se demande, et particulièrement les automobilistes dont en premier lieu les chauffeurs de taxi, quand va-t-on enfin revêtir les chaussées à travers l’ensemble de la ville et de ses quartiers périphériques.

Lorsqu’il pleut, certaines cités deviennent inaccessibles en voiture, à l’image de Sidi Aissa côté Géni-Sider, la cité des Martyrs par le longement de l’Oued, ou encore Oued D’heb et la cité Auzas, pour ne citer ce celles-là. Et pourtant, le bitumage et la remise en l’état des chaussées, devaient selon les instructions des pouvoirs publics, s’effectuer juste après la fin des travaux d’intervention pour le remplacement ou la pose des différents réseaux de communication. Malheureusement, tel n’est pas le cas, et l’on continue à creuser sans combler ce qui a été éventré.

 L'Est Républicain > 20/01/2007> Omar Touati

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