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Annaba. Deuxième édition salon du Medinalgeria

Publié le 13/11/2008
 Un climat d’affaires fertile:   Libérer le débat de la vision classique des échanges économiques algéro-français, presque exclusivement structurés par les flux commerciaux, produits de consommation et petits équipements contre produits énergétiques, est ce à quoi veulent aboutir les animateurs de la rencontre régionale organisée, avant-hier, à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Seybouse de Annaba.

Ainsi, les représentants de la CCI Paris et leurs homologues de la CACI ont, cette fois-ci, opté pour l’élargissement des relations partenariales à tout ce qui a trait à la ville de par le caractère stratégique dont elle revêt dans le développement durable. Il s’agit notamment de l’urbanisme, le mobilier urbain, l’assainissement, l’éclairage public, l’hygiène et la sécurité urbaine, l’environnement et les espaces verts. La rencontre régionale, initiée par la CACI, la CCI Paris et de la Safex, s’inscrit dans le cadre de la promotion de la deuxième édition du salon international « MedinAlgeria », qui se tiendra du 13 au 16 décembre prochain au palais des expositions de la Safex.

Rappelons que dans les différentes rencontres, organisées par la CCI Seybouse dans la perspective de propulser la coopération entre Paris et Alger, les opérateurs économiques nationaux de la région ont toujours fait valoir la fertilité du climat d’affaires en Algérie. « Bien que marqués par l’assouplissement du code des investissements non discriminatoire entre nationaux et étrangers, de la fiscalité, du système bancaire et par un gigantesque chantier d’infrastructures (routes et chemins de fer) offrant une assiette d’investissements rentables et sécurisés, les Français demeurent sceptiques au marché de l’investissement algérien », considèrent certains d’entre eux.

La France, qui demeure le premier fournisseur de notre pays, avec une part de marché de près de 22 % et qui reçoit 10 % de ses exportations, entend orienter ses aspirations vers le développement d’une authentique logique partenariale. Du côté algérien, il est attendu de renforcer la présence des entreprises françaises sur le marché domestique. C’est du moins ce que laisse déduire Mme Dafri, une industrielle de Annaba activant dans récupération des déchets en papier lorsqu’elle affirme : « Certes, la France est le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie : plus de 200 de ses entreprises y sont présentes, notamment dans l’agroalimentaire, mais l’on souhaite une diversité sectorielle de ses investissements.

L’occasion nous est donnée dans le cadre de cette rencontre régionale pour le dire aux représentants de la CCI Paris ».

El Watan > 13/11/08 > N. Benouaret
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