Il a été souligné, à cette occasion, la nécessité de déterminer les priorités en matière de prise en charge des préoccupations du développement et d’assumer les responsabilités incombant à chacun, dans le but de faire sortir la ville du marasme dans lequel elle se débat, lequel risque de persister au grand dam de ses habitants. Plus explicite, le chef de daïra de Annaba a estimé que les moyens financiers ne représentent pas un obstacle à la réalisation des projets. L’élaboration des dossiers relatifs à ces derniers recèle par contre des insuffisances qu’il convient d’y remédier, a-t-il noté, en insistant sur le nécessité d’établir un diagnostic avant la mise en œuvre de toute opération de développement, de respecter les délais de réalisation et d’utiliser le code communal en matière d’octroi de marchés publics dans le but de gagner du temps.
L’APC peut tenir des sessions extraordinaires pour approuver des projets et accorder des autorisations pour leur réalisation. Cette journée d’études a également permis de constater la faiblesse des taux de réalisation des projets et de consommation, ainsi que des crédits alloués sur le budget communal. Les questions liées à la conception des cahiers des charges, la facturation et l’élaboration des fiches de clôture au niveau de recettes sur les marchés ont été également abordées dans la perspective d’imprégner un nouveau rythme au développement.
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